30 réflexions sur « Décomposition composée. »

  1. rien de tel que de peindre au jus de crâne pour remettre en place les réalités quotidiennes
    p.s. : j’ai l’adresse d’1 bon dentiste pour cette dent qui manque… il a été rayé de l’Ordre pour nécrophilie mais je pense qu’il saura faire ça si vous le payez en petites coupures de 5 dollars

  2. peut-être parce qu’ayant perdu dans la panique & le bordel ambiant la moitié de mes dents lors du grand incendie de San Francisco en 1906 & l’autre moitié lors de la grande crue de la Seine à Paris en 1910 (je voulais fuir la Californie & ses incendies…) je suis jaloux ?
    mais sapristi ! j’ai bien noté votre intérêt pour les pieds sur mon blog blanc !…

  3. Wat au point mort, pas même le plus léger frémissement… Je vais de ce pas chercher mon plumeau à écrouir les heures.

    Le temps d’aller et de revenir, et tout est reparti… Quelle maitrise dans le débouché et rebouché de flacon !

  4. Moi non plus, je n’écoute jamais les infos, d’ordinaire, ou ce qui en tient lieu…
    Mais ta réaction me conforte bien qui s’agit là d’une superposition fortuite et instable, tenant en équilibre sur une forme de cynisme incroyable, prête à basculer quand la conscience s’en mêle..
    Ma petite expérience ayant pour but de focaliser l’attention sur quelque chose qui n’est pas forcément ce que l’on croit ou sur ce que l’on pourrait prendre comme l’évidence.
    Merci d’avoir eu cette patience.

  5. Et dire qu’il y a huit mois j’écrivais ici « je reviendrai ». Et dire qu’il y a déjà 2 ou 3 jours je m’adressais à Vous, chez moi, en parlant de Mort-Fine.

    Et me voici aujourd’hui. Et vous savez pourquoi…

     

    Depuis la mi-journée mon palpitant joue du palpé-roulé sur de la feuille d’or, s’aplatit comme cendre pour s’immiscer sous les couches des secrets empilés en décomposition superposée, s’amuse à s’intercaler entre des mots, si beaux, si percutants, qu’ils s’éclatent en bulles d’émoi sur mes prunelles luisantes.

    Les gestes sont hypnotiseurs… Et cette tenue particulière du crayon de départ me fascine.

    J’ai occulté tous les sons des litanies trop terrestres, mais j’ai bien entendu le tic tac de la pendule, si bien accordé au pam poum de mon cœur…

     

    Saigneur ! Je me noie ! Je me fonds !

    Saigneur ne venez pas me secourir ! Laisser moi mourir en paix et râler en doré !

     

    J’ai encore à vous écrire… Ailleurs… Merci. A l’infini.

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  6. Ne me remerciez pas…
    J’ai trouvé que ce feuilletage vous allait tout en contraste; ce reflet d’or sur l’instabilité de la cendre et l’obscurité du bitume. Une autre façon d’exprimer pour moi qui ne suis pas très douée pour les mots.

  7. Groupama ! Mon dieu, mon dieu… et les cours de la bourse… Nancy – c’est chez moi ! 4 morts ! Nous ne résoudrons pas tout tout de suite !!! Ça, c’est sûr ! Et l’autre dinde psycho rigide… et la catastrophe chimique dans une usine chimique, et, la relance de la machine consommation !  Je n’écoute plus tout ça, c’est au-dessus de mes forces… tout cela me donne l’impression d’une trame, toujours la même, dans laquelle on déverse une soupe putride, toujours la même, et encore à nouveau toujours encore la même… J’ai préféré sans lez son, finalement. Lorsque l’on entend ça, on peut se demander si le fait d’être sourd n’est pas une bénédiction, finalement. Merci pour silence final ponctué de tic-tac et de scritch scratch.

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