Der angeforderte Blog existiert nicht*

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Je suis revenue, certains sont partis…

Vagues à l’âme sur le sable, aussi fugitives qu’une bulle d’été, les illusions s’envolent dans une larme virtuelle.

Et Gertrude reste.

Je ne me lasserai jamais de ce

Requiem

 

Cet article est dédié
aux éclats humoresques qui n’en finissent plus de tinter
dans le vide cristallin.
Merci *Maestro
 

30 réflexions sur « Der angeforderte Blog existiert nicht* »

  1. J’avais constaté la disparition du chardon…Je ne voulais pas y croire !…La Maestro de l’illusion et du rêve , peut-être est-il encore dans les draperies de quelques contes …?

      

  2. Automne, hiver, printemps, été [bisons fûtés, ces vieux chinois qui faisaient commencer le cercle des saisons par l’automne…]… mais ce qui a été… aura futaille, n’est-ce-pas ! 

  3. N’oubliez pas que mon très sain patron périt, martyrisé, noyé dans une futaille de bon vin de Valencia (DOCC – Denominacion de Origen Cristiana Controlada)… Rien à voir avec cet autre qui s’efforçait de faire le Paolo que l’on nous a conté…, ni même encore avec ce Xavier ou Javier, dont je ne dirai rien… Sachez aussi, Chère, que je ne confonds pas vacuité (même si les ‘vacuum wine containers’ – vulgairement appelés ‘cubitainers’ – n’ont pas ma prédilection) et vanité… Que cela soit dit une fois pour Cent !

  4. Mais mon cher Vin-cent, de la noyade dans la futaille à l’immersion dans le vain, il n’y a qu’un pas; quant aux cubitainers (quel vilain mot!) je ne les aime moi non plus, pas plus d’ailleurs que les rubicubes; pour les premiers, au contenu tout juste bon à attirer les mouches, pour les deuxièmes, un pretexte à leur faire subir quelques outrages.

    Mais entre le bon vin et le bon vain, mon coeur balance.

     

    Ne vous inquiétez pas pour moi: je suis moi même parfois sidérée de mes associations d’idées!

  5. Vous êtes fille, comme je suis fils (qu’importe la visible différence !), d’une longue tradition philosophique qui, depuis les vieux taoïstes d’en temps (pourquoi pas !), a su associer le vrai très bon Vain et le très sain bon vin. Même si, à cette époque, semble-t-il, pré ou para-noétique, du moins dans ces, plus bizarres que barbares, contrées, le divin nectar s’accommodait du sorgho ou du riz… On ne peut pas tout avoir ! La sagesse et la vigne, et ce qu’en disait Joseph Delteil ! (Non, pas celui qui a fini par se faire hara-kiri en bouffant du poisson avarié !) J’admets que c’est tiré par la queue de la raie au beurre noir – et à l’oeil – mais ça reste de bon ton, j’espère ! Il ne faut pas craindre d’en faire trop car cela nous sera compté…

  6. Oulala! À cette heure-ci du dimanche , jour du saigneur et temps de mâtin, je m’en vais toute fille traditionelle comme la baguette de bon pain que je suis, me lamper un coup de Chirouble (j’adore ça! et je connais un petit resto à Paname…) pour m’aider à voir double et à mettre définitivement un peu d’A dans mon vin.

    Je constate au passage que vous faites toujours état de vos relations (c’est qui ce Delteil encore?); mais continuez donc ainsi à en faire trois tonnes, vous serez bien lesté, le jour venu, dans votre futaille.

  7. Pour ce qui est du Chirouble, j’adhère…, c’est mon vin préféré (vous m’inviterez à déguster ?) – je tiens cela de ma mère – la seule chose… avec mon foutu caractère ! – Quant à Joseph D., vous ne connaissez pas ? Étoile montante du surréalisme, à 26 ans, il décide de quitter Paris pour aller cultiver la vigne dans le Languedoc et, en fin de carrière, il décide de ramener son oeuvre littéraire à seulement 10 bouquins et de détruire le reste. C’est comme la vigne : plus on taille de manière drastique, meilleure est la qualité ! Pour le reste, ouvrez votre Wikipédia !

  8. Je reconnais volontiers mes lacunes (j’ai d’ailleurs horreur des choses trop pleines, également des mornes plaines), ainsi que mon état lacustre voire vaseux, mais n’en profitez pas pour m’insulter.

    Wilkinaute vous-même!

    Quant au Chirouble, faudrait pas passer le cep avant le raisin, et pousser le liège un peu loin.

    Je le boirai à votre santé.

     

    J’irai donc voir Joseph qui n’était pas charpentier, par des chemins de traverses non wilkipédestres.

  9. Vos préjugés m’intéressent ! Une anecdote pourtant : le regretté Raoul Ruiz (décédé il y a deux ou trois jours), cinéaste de renom, exilé chilien, a décidé finalement de s’installer en France et d’adopter le français car il avait été subjugué par l’élocution de Pierre Bellemarre à la télévision et à la radio… C’était dans des temps déjà très anciens… 

  10. J’ai toujours pré-jugé que Bellemarre était une triste cire (je n’irai pas à dire qu’il était un triste sire, encore moins un tigre) , ce n’est un mystère pour personne, même à Lisbonne, ils savent ça; et il n’y a pas de quoi se marrer.

    Pauvre Ruiz!

  11. Quoi???? Vous V., vous n’avez plus rien à dire…. J’y crois pas…

    Seriez-vous un fan de Bellemarre, comme ma belle mère; prions que cette dernière n’ait jamais Internet! Elle est aussi fan des Grosses Têtes, c’est dire!

    Moi je préfère Bellmer. C’est plus désarticulé, si je puis oser cette association d’élocution.

  12. Il est vrai que les pélerins venue de la Petite et de la Grande Bretagne, de la Terre des Hommes Colériques et du Pays de Petits-Pois affectionnaient le cabotage (et le sabotage pour certains IRAlandais irrédentistes) pour venir s’amender à Saint James of Compost’l. On leur doit d’ailleurs d’avoir nommé notre belle côte atlantique et finalement, et finement, tout l’arrière-pays qu’il finirent par touristiquer, ‘Royaume des plantes à genêts’, et l’idée de déporter leurs indésirables en Guyenne (terre non soumise aux accords de Schengen).

  13. Diable! Cela devient trop technique pour moi tout ça, à croire que vous voulez me noyer dans une futaille de sciences et de cervoise tiède, moi qui ai bénéficié d’une scolarité sans histoire, bien à l’abri dans le seul condominium franco-britannique du monde.

  14. Tout de même la mort de Ruiz m’a fait très triste …. »Les mystères de Lisbonne  » ,son dernier film est son testament ,sa façon d’y appréhender la mort était si forte ,si douce aussi . Requiem …

  15. C’est arrivé que je fasse la chronique livre+film …trois fois …C’est vrai que ce serait tentant ,mais je vais moins au ciné qu’autrefois et ,pas question de parler d’un film ,ou d’un livre sans m’y être plongée …

  16. Mais si! Le Maestro Zeherit existe, bien heureusement! Juste qu’il nous a privé, j’espère momentanément, de sa présence webique et mélomane (c’est grâce à lui que j’écoute à présent France Musique et que mes oreilles s’éduquent tout doucement.)

  17. J’ai pensé au Maestro hier ,j’ai vu le dernier film de Lars von Trier « Mélancholia » avec presque tout le long la musique de Wagner de « Tristan et Isolde » ,le son est fabuleux !!!!!!!!!!

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