Gertrude à la plage…

 

Gertrude à la plage…

Scenario d’Os douce

pour coquillages vains

 

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JC, aout 2010, coquillages peints, huile sur coques, carte postale, plume

 

28 réflexions sur « Gertrude à la plage… »

  1. Je comprends pourquoi il pleuvait à seaux ce matin sur Paname, c’est celui que vous avez ramené de la plage, il était fait pour une autre bassin que Parisien, mais où avez vous la tête chère Gertrude…

  2. Ce puzzle est à moi d’abord ! L’autre là…

    Ce sont mes miettes de plage de bonheur vacant, tendrement rassemblées dans un joli contenant argenté 🙂

  3. …Bonsoir Gertrude…je reviens d’un paysage de mer, et pas la moindre trace d’arrête de sirène, l’ossuaire de l’Océan est resté silencieux à l’invocation des nages estivales… Vous avez là une jolie plume d’écriture océane qui pourrait me faire penser à une bien étrange carte aux trésors…il suffit de suivre les coquillages à la trace !!! Peut-être gît-il sous celui qui n’est pas retourné, à moins qu’un crâne rieur ne s’y cache et n’accueille un pauvre navigateur échoué avide de découvertes d’or et de diamants… 

  4. Ravie que mes modestes cartes postales vous fassent naviguer par ici et merci de vos compliments sur le sable de ma toile; votre plumage n’est pas mal non plus, cher Vincent.

    Oui, Gertrude est toujours planqué là à guetter le voyageur qui n’échoue jamais par hasard sur son île.

  5. Quand le facteur chance passe l’écluse, les vanités du factor* Gertrudien, redondantes comme les pièces d’un puzzle amer, échappent à l’oblitération assassine du transit postal. Vain indice : la visite du cabinet des curiosités, succursale de la Galerie 54, se fait sur rendez-vous.

    * mot latin signifiant créateur, fabricant

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