12 réflexions sur « Gertrude horizon »

  1. J’ai bien ri, imaginant ma grand mère, laquelle possédait un frère de ce vaisselier…Les confitures y étaient bien alignées! Devant celui-ci, soit elle aurait tout cassé pour épousseter, soit elle serait morte prématurément d’une attaque, ce qui m’aurait privée d’elle. J’ai essayé de discerner quelques objets puis me suis abandonnée au charme esthétique de ce déballage…pour me demander ensuite comment la Rose payait ( nature? espèces? chèques? actions? Faillite?) …et comment la Noire fumait (un champ? sa rage? des harengs? du hasch?). Voilà qui me met la tête ailleurs!!!

  2. Tout est bien fermé, le joli bordel bien rangé, Gertrude sous sa cloche à fromage, le capitaine est en voyage, c’est sûr. Si son rafiot la pousse jusqu’au canal, il y a toujours du nouveau à la galerie 54 !

  3. À vrai dire, la Rose se paye ma tête depuis des lustres et le cerveau inexistant de la Noire fume en permanence, mais j’ai renoncé depuis longtemps à élucider, pour l’une, l’origine des fonds et pour l’autre le carburant, tant je crains de faire des découvertes inacceptables.

     

    J’ai également renoncé à épousseter en positivant les élevages de poussières; que votre grand-mère se rassure, il n’y a rien ici qui mérite son attention confiturière. Que du bluff en conserve.

     

     

  4. J’ai bien songé à votre canal sur les rives d’un autre fleuve tranquille; mais trop alanguie, j’ai juste laissé dériver mes pensées en bord d’os et mon imaginaire dans votre riche galerie;

     

    Virtuel, quand tu nous tiens…

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