Gertrudomètre: septième version.


La tension de Gertrude
à l’aplomb
de son circuit fusible

JC, Gertrudomètre n°7, avril 2009
Huile et crayon sur fragments de plomb,
 poulie, fil, fil de laiton, clous, miroir, plomb fusible, ressort sur médium
2,5 x 8,5 x 20 cm.

Mode d’emploi:

En suivant le Fil,
captez dans le miroir l’image virtuelle de ses neuf représentations sans péter un Plomb.

Fil de Plomb sur
gertruderose

Bientôt: Sortie de la Relique la plus Mystérieuse

 

15 réflexions sur « Gertrudomètre: septième version. »

  1. Merci. Bien utile pour moi qui m’apprête à gravir le Plomb du Cantal. Cela va peut-être me donner le moyen de renouveler, d’autre manière, la célébre expérimentation de Pascal au Puy de Dôme. Si l’on admet que la pression émotionnelle est de O G (Gertrude) au niveau de la mer, quelle sera-t-elle au sommet du Plomb du Cantal ? Je vous le dirai demain.

  2. Le Gertrudomètre, un instrument de mesure indispensable à la conquète des sommets.
    Mais je vois que vous (G)ravissez également les degrés du mont Gertrude.
    Ravie de votre passage, cher Vincent.
    Revenez souvent poser vos mots à l’aplomb de mon crâne.

  3. J’en ferai bon usage grâce à vous et gravirai allais-grement ces monts bien venus-là, mais il serait impertinent et quelque peu inconséquent pour moi de confondre le point 0 G avec le point G 0. De plus en toute méconnaissance de cas.

  4.   Ô JULIETTE….BRICOLEUSE, ENOÛTEUSE…ce fil, ce jeu de poulies, de miroirs, de passages était , vous le saviez, un filet où prendre mon âme !…car, oui, les mots ce soir, vont vers vous jaillis de ma voix muette, de ma tête emplie d’assourdissants messages, que, mes doigts jadis si habiles avec les fils de soie, les perles,le pinceau trempé dans le liquide céramique et le vitrail sans aucune connaissance, bricoleuse de reflets, de passages aussi, que mes doigts trébuchent sur sur les touches de ce clavier  les portant vers vous….car je n’ai qu’eux à ma disposition.
          Peut-être le saviez-vous que j’allais rencontrer une femme exposant des dessins, de nus, des nus à n’en plus finir, et, que j’allais me heurter à des visions, des visions avec vous…qui posiez nue en quelque période.
        Et , vous étiez là…avec moi, vous ne le saviez pas, non…Si ?…peut-être pas…Si…Qui sait?…
        Et j’avais, il ya une semaine,été arrêtée par ces croquis d’une hardiesse transcendée.
      Il y avait un livre ouvert destiné aux passants…la page était vierge et à peine ai-je osé écrire,puis me décidant, oui, j’avais mis quelques mots ,brefs,signés Hécate, car, oui, ce nom d’emprunt est mon masque!
      Er aujourd’hui, oui…elle était là, celle qui avait fait tout cela.ET nous avons parlé un peu…oui, car c’était, comme si, à travers elle, j’allais à Juliette…Et j’ai dit mon ressenti, et l’ouverture s’est faite…Ô brève…mais intense, car de vérité…
       Je pensais à vous…Vous nue, posant…vous dans cette morgue, penchée sur les morts…et ,je ne sais pas ce soir,si ce sont les morts qui parlent par ma voix d’ombre et vous disent…Ô Pârques  ,ÔTriples moires,Ô Triblog et son Capitaine !…aux portes de la Mort, que demandiez-vous à la chair roide avant la décomposition ?
        Quelle force poussait cette main ferme esquissant le traît?…Cette force, je ne suis pas certaine de l’avoir….
        Je suis vivante encore…et ma voix, vous n’en connaissez pas le son, pas encore…
    J’ai  la votre dans ma mémoire…j’a en moi votre vibration,aujourd’hui présente comme une force incroyable…
        Je n’ai pas voulu laisser, à cette artiste, ni mon nom, ni mon adresse comme elle le voulait, avant de nous quitter.
       Hécate…seulement Hécate, l’ombre d’un instant…préférant laisse agir le hasard…car la rencontre, Juliette, c’était davantage la nôtre…Le peu de choses que j’ai dites,mais véritables,il me semblait que c’est à vous que je les disais…
      Ce matin su le blog de VS, j’évoquais la grande dame, Geneviève Besse avec laquelle j’eus l’honneutr de « travailler » avec pour ma part les mots de Saint-John -Perse…
      De grands noms  ont croisés ma route,d’ornièreset de fleurs, ô combien éphémères, mais dire lesquels m’ont donnés le plus,parmis ces noms des plus hauts comme des plus humbles, je ne sais départager celà.
      Je sais qu’une pierre scintille à l’oeil d’un corbeau, audessus de mon lit, à mon chevet, avec des roses encloses par les soins d’une embaumeuse,et, cest comme un miracle…Pourquoi comme?….C’est bien d’un miracle dont je parles!…sur le papier peint de couleur rose cendrée de cette chambre d’un dernier étage d’immeuble!…Un miracle est là!
       Le ciel jusqu’à sa dernière goutte de jour veille sur les arbres,et planent les oiseaux quand tombe la nuit à pas de loup,et, que le château de mes rêves s »étend à l’infini….Une bricoleuse en déjoue les serrures, elle entre par où elle veut…Effrayée?…Qui sait…J’ai peur de l’effrayer encore…quand elle me lira.
       Nos châteaux sont nombreux, dEspagne, deSolitude, dePeine,d’Espoir, de  Certitude (si peu ).
       Nos châteaux?…de cartes!…J’abats les miennes…AI-je jamais joué,d’ailleurs…si peu.
      Le jeu de la Vérité n’est pas un jeu. Pourquoi le nommer ainsi?
      Un jeu la Vérité?…Tout le contraire!!!
       La nudité du mort.
      La nudité du vivant.
     Pas celle du corps…encore que…
                                L’AUTRE
    Rien n’est prévu de ceque je dis ici. RIEN.
    Tout s’est déversé dans la rue, devant ces croquis, dans ce bus,dans ce soleil haut encore.
     J-ai perdu quelques pétales en route…
    Qu’importe!…le parfum est dans l’encensoir de l’heure et , je crois sentir l’odeur des roses…c’est une illusion. Croyez-vous?…
     Croyez,Juliette,à la ferveur de cet instant de l’heure favorable…UN instant suspendu…à partager…sans inquiètude,je vous prie de l’accepter un peu…un tout petit peu…
                     A vous
                                     Votre Hécate

  5. Armengol, vous devenez bavard pour un homme des potagers de la montagne; vous comprenez maintenant pourquoi je suis moins au Club avec tous ces passionnants commentaires auquels je me dois de répondre.
    Mais je comprends qu’il ne faut pas vous chatouiller sur le dôme des volcans d’Auvergne.

    J’apprécie toujours beaucoup vos magnifiques pseudos!

  6. Ah! les pierres noires des volcans d’Auvergne!!!je connais un peu…une cathédrale noire…toute drapée de noire!
    Qu’Armengol me pardonne…je suis confuse de prendre un peu de place ici…
                                                                   Amitié d’hécate

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