Interlude: Les promenades de Gertrude.


HYPERFOCALE

JC, 21/05/09, Saint Avertin


En cherchant à ouvrir une fenêtre sur le Monde,

Le Capitaine élabore le prochain Gertrudomètre.


Vol spéculaire manifeste sur un nid de reflets
Laboratoire VS

10 réflexions sur « Interlude: Les promenades de Gertrude. »

  1. Quand les « Phalènes »  étaient un château du parc de Beaugaillard ( 1855-1900) je n’étais pa au monde;mais je fis quelques pas au château des « Phalènes cependant et une partie de son parc enchantait mes rêveries…

  2. Et par les jours buissonniers,en haut de l’Ecorcheveau, sous une tonnelle il y avait une ombre de grappes et de feuillages où on buvait bière et limonade…un peti caboulot de la semaine et des dimanches…C’était la Pinterie…

  3. Nous ne possédons aucune certitude…et sur l’eau périlleuse de ce miroir liquide nous voguons un peu , nos deux regards plongent à la recherche d’un fragment de vie, une émotion troublera  la surface d’un frisson l’espace d’un soupir,ensuite lissée de nouveau, cette eau enclose dans la photographie demeurera immuable, pareillement et pourtant plus jamais tout à fait la même, gardant en elle ce secret un instant dévoilé  et quand même invisible…Un miroir de magicienne est au fond…de ce lit…d’eau ;le rideau est tiré…et l’onde transparente referme sa paupière…Qui donc à pleuré?…Personne …ne répondra…Y a-t-il une seule larme qui puisse   trahire  quoi que ce soit sur l’eau?….Un corbeau le sait, mais son vol est un silence,et son passage fugitif, une ombre à peine…une profondeur soudain, qu’un rayon de lumière effacera…

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