L’Essence de Gertrude

JC, G-I, 1985, Huile, cendre, bitume sur feutre, 300 x 400 cm
Photographie DV.

Cela fait vingt deux mois
que les effluves de Gertrude
s’entêtent en ligne

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14 réflexions sur « L’Essence de Gertrude »

  1. L’essence de Gertrude…Les sens?…L’essentiel…
    Porte? ou gibet? Une entrée de l’autre côté…une sortie?…Dans un décor en ruine ,celà est apogée de romantisme …noir!
            
    Je crois que là…Je ne sais aujourd’hui en dire plus. Vous m’étonner ,vous savez…
                 Il n’y en pas deux comme vous 🙂
                                                                votre Hécate

  2. Un gibet, plutôt une décapitation..
    Une porte, peut-être pour manquer basculer dans un fragile équilibre instable,
    une chute probable à trop taquiner le point de rupture..
    Ce qui est sur:la confrontation de mon corps à cette pièce de 80 kg dont l’accrochage fut plus que périlleux!
    Merci de votre regard, Magicienne.

  3. Diantre!…80kg …

    Vous donnez le frisson…Ne rompez point ,Madame…:)
                                            Qui a dit la femme sexe faible ?…
                                                                                                       votre H .

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