36 réflexions sur « Le Catalogue Os & Cie »

  1. Et comment ,ça ,vous comptez et contez à ravir !!!!!!!!!!

    Je vais revenir ultérieurement étant donné un rendez-vous obscur ce soir avec une Comtesse peu fréquentable 🙂

  2. J’ai chipé dans le frigo de la Plaie un vieux morceau de mozzarella fumée… Une idée comme ça, afin de m’astiquer le crâne de puanteur en reliquant ma Défundulcinée.

     

    Je pue ma Promise ! Je pue très fort !

    … Je vous aime, tel un fier fromage vermoulu !!!

  3. Ah, mon Transi c’est que vous puez comme un vieux bouc de saint Nectaire de cour de ferme et en plus vous êtes troué comme un gruyère! Qu’il me pousse une farandole de godmichés en Os!

    Vous puez! oooooouuuuuiiiiiiiiiii!!!!!!!!! Vous puez!!!!!!! et je brûle!!!!

    Reliquez-moiiiiiiiiiiii!!!!!!!

  4. Vous venez de me décoincer la mâchoire, coincée depuis des millénaires !

    Je pue et je ris !

    Vous me rendez si… Couillon… C’est bien comme cela que l’on dit chez vous en parlant des zamoureux transos ?

  5. Chais pas ! Ce sont les cakes de Massilia qui crient après cette adèle… Qui doit sentir forcément la mortadelle pour provoquer une telle réaction de grande gueule et de grattage de couillongs.

  6. Toussa est bien suspect et sens la carabistouille massillienne, cong!


    Bon je m’en vais me coucher pour mieux réfléchir à comment vous supplicier.

    Bonne nuit mon Défunt d’Amour.

  7. Avant d’aller traînasser à mon rendez-vous,j’ai feuilleté ce catalogue d’Os Juliettissime ,retrouvant ici et là ,des moments déjà inscrits dans « notre  » passé ,si vous permettez ce « notre « …La feuille de platane ,et ce que j’écoutais par-delà ,les promenades avec l’eau coulant sous les ponts d’Isidore, la voix captée au hasard dévidant les chants…

    Que d’heures ,que de mois …tout ici a une histoire entre Gertrude ,Juliette et ses rencontres…entre ses monologues parlés ,ses dialogues muets au mât de son navire existentiel…fusée d’espace ,expérience d’expériences ,patiente Juliette …tissant ses reliques ,ses ouvrages de dame ,des sauvage artiste au coeur enchâssé de fils ,de perles ,de paillettes ,decendres dormantes sous le verre de la Princesse ,âme bleue ,pétales de roses conjuguées d’incarnat et de pâleur jusqu’à l’ultime ,passion dépassionnée de chair ,articulée d’ossements ,portraits désincarnés de GERTRUDE qui sont autant de cris muets ,muselés par le pinceau ,le travestissement plus révélateur que  le dénudement du crâne seul ,un théâtre immense sans cesse improvisé et qui va selon une mise en scène d’apparence maîtrisée.

    La Judith extraordinaire entre or et bitume et le choc de ce regard de Juliette ,bravache ,impavide ,d’arrogance et de volonté ,tête forte ,yeux reconnaissables toujours brillants sous le bombé de l’orbe ,yeux qui damnent et se livrent tout en dérobant ce qu’ils veulent ,décident …

    Les mots me manquent …Je ne peux tout curer au fond de la Magicienne ,elle aussi tient le frein de son verbiage . Il n’est que Vent ,et tout ici s’infuse par les yeux ,par le ressenti indicible …jusqu’à l’indécence .

                                                              votre H.( un peu patraque ce matin,la gorge en feu …un cierge qui a mal passé ,qui sait ,un cierge de qui vous savez pardi   🙂 )

  8. Je tente mes gargarismes à l’absinthe à 70degrès et j’avale…ensuite ! L’armada des pastilles et autres jalonnent mes heures ,c’est que …je n’entends pas me retrouver HS!

    Je peste et je rage !…Oyez d’ici mon esprit en révolte ,et brûlez un cierge à mon rétablissement . Mon messager de jais est en bonne route ,il a pris quelques grammes et il n’a plus de sirop …à avaler. Il a daigné être aimable avec son vétérinaire 🙂

                                                           votre Fée ( verte )

  9. Ma très chère Magicienne, me voici démunie, dépouillée, mise à nue par vos sortilèges m’aiment; vous savez dans quel état j’erre des compliments à mes piètres expériences. Que d’hommages à mon plumage après les fromages du puant chéri. AAAAAHHHH, je me noie dans ces douceurs dont seule vous connaissez les philtres, dans cet amour dont vous savez si bien lier vos consentantes victimes.

    Merci… vous gagnez…. un coeur.

  10. Je m’y emploie de mon mieux juré ,j’avale ,j’enfourme tout ce que je peux ,je somnole ,je couve ce mal mal à propos …

    A vous lire ,plus haut ,je souris un peu …( vous comprendrez le moment venu 🙂 )

  11. Sincèrement désolé pour vos maux de gorge Magicienne ; je n’étais pourtant que destiné à Thérèse… Ou à Adèle… Ou à Marie-Claire…

    🙂

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