20 réflexions sur « Paris tenu, pari ténu »

  1. Oulala! En ce vendredi suaire, je rassemble mes esprits animaux ,animistes et cas autiste, pour me ruer comme la vérole sur le bas clergé, sur ma bible en teck pour y rechercher frénétiquement le rayon maté ma tique et y dégoter le dico pâte à physique à des cois, cher Alfredo Zubu.

  2. Si l’homme a été assez génial (comme on apprend que les figures géométriques, leurs lignes étant extérieurement prolongées, construisent d’autres figures de propriétés semblables et de plus grandes dimensions) pour s’apercevoir que ses muscles pouvaient mouvoir par pression et non plus par traction un squelette extérieur à lui-même et préférable locomoteur parce qu’il n’a pas besoin de l’évolution des siècles pour se transformer selon la direction du plus de force utilisée, prolongement minéral de son système osseux et presque indéfiniment perfectible, étant né de la géométrie; il devrait se servir de cette machine à engrenages pour capturer dans un drainage rapide les formes et les couleurs, dans le moins de temps possible, le long des routes et des pistes; car servir les aliments à l’esprit broyés et brouillés épargne le travail des oubliettes destructives de la mémoire, et l’esprit peut d’autant plus aisément après cette assimilation recréer des formes et couleurs nouvelles selon soi. Nous ne savons pas créer du néant, mais le pourrions du chaos…

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