Peindre des coquillages.

JC, 2003, Sans titre, Huile sur papier, 12,5 x 12,5 cm

                         Prélever un coquillage dans son environnement, le choisir pour des raisons aussi diverses que des critères de perfection, de rareté, et même d’anomalies, l’exposer ou le ranger dans une boîte, l’étiqueter, c’est de toute façon changer son statut d’élément naturel, lui conférer toute l’ambiguïté d’un objet entre esthétique et scientifique, c’est lui modifier son destin en l’excluant du cycle de la vie et de la mort.

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