34 réflexions sur « Quatre ans sous le chapeau »

  1. Dans ce chapeau là, le fil rouge ne fait pas la loi !

    On dirait même qu’il essaie de se tirer en douce !

    Il faut dire qu’à l’envers et à l’endroit, Gertrude n’a pas beaucoup de veine(s) !

  2. Bigre, voilà une composition qui, en plus d’enchanter les mirettes, donne du fil au moulin et du chapeau à moudre.

    Quelque soit le temps passé et le temps à venir, on est toujours là maintenant quelque part, et franchement, je trouve ça ridicule et frustrant, cette limitation spatio-temporelle est une injure au bon sens et ne peut qu’être l’œuvre d’un Dieu aux petits pieds manquant tristement et cruellement d’ambition.

  3. Quand tu penses qu’un simple pullover n’est fait que d’un fil, j’ai l’impression que nous sommes tous des petits tricoteurs qui participons au Grand Tricot universel.

    Et gros malin qui fera filer le tout; mais cela lui prendra un certain temps pour refaire la pelote; jusqu’à ce qu’un nouveau malade du tricot passe par là.

  4. Non, c’est une vieille peau de Haute-Loire que j’ai transporté  de La Chaise-Dieu à Dieupentale alors qu’elle faisait du stop, raide alcoolisée, dans un fossé altiligérien.

    Cela m’a coupé quatre heures « de conversations » et un nettoyage du fauteuil passager de ma Punto.

  5. La musique que j’écoutai au moment où, je ne sais trop pourquoi, j’ai écrit le premier commentaire (sans doute pour donner un signe de vie, un coucou comme ça en passant).

    J’ajoute : quatre, un chiffre rond, rond comme une queue pelle !

  6. Il faut célébrer comme il se doit le quatre, le seul chiffre rond qui ne fait pas de bulle lorsqu’on souffle dessus. Le quatre, beau comme un cheval, riche, fort, stable, évolutif comme personne. Je ne peux pourtant pas dire que le quatre est supérieur au trois, là on touche à l’intouchable, à l’indicible, à l’impalpable… mais qui sait ce que nous réserve l’ouverture de la quatrième dimension… La boite de Pand’os n’avait-elle pas quatre faces…

  7. …dit le petit canard… sans dire pourquoi depuis trop longtemps, 29 jours, il me semble, sans rien de nouveau ici… rien de définitivement noir, rien de résolument sombre, rien de joyeusement obscur, aucune ténébreuse facétie, pas même l’ombre d’une ombre… Faut-il encore croire à ce Noir Complet… ?

    Le noir fait-il peur… ?

  8. Le noir complet est-il plus dangereux que le jour complet… Le jour complet n’est-il pas aussi effrayant que le noir complet… Le chat noir est-il la face obscure du chat blanc… Les merveilles de la nuit sont-elles moins belles que la splendeur du jour…

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