23 réflexions sur « Rose attack! »

  1. Une bataille de rose …….de quoi piller toutes les roses qui fleurissent de toute part ,c’est meieux que les confettis …Charmeur déjà ce moment à s’envoyer des pétales comme des boules de neige  !

  2. madame si mes boulettes ont quelques traits un peu vieux vieux
    dis toi bien qu’à mon âge tes pétales ne seront guère mieux
    le temps aux plus belles choses se plait à faire un affront
    il a nécrosé mon vit il aseptisera ton con

    oh! que j’ai honte

    oh! comme je m’en veux
    mais je n’ai pas su me retenir, et c’est parti d’un coup comme ça tout seul comme uns éjaculaton de jeune puceau

    je vais devoir me punir pour ces horreurs

    deux heures d’autoflagellation s’imposent

  3. Dans le film de Ruiz…tiré du roman dont je parle ,il y a un crâne qui se transmet ,le fils reçoit des mains de son père ,le crâne de sa mère bien-aimée …( scène qui m’a fait penser à qui ,hein ?…………………………….à GERTRUDE !!!! )

  4. Un crâne est-il un héritage comme les autres?

    Je viendrai déposer une couronne au pied de votre impressionnant monument laqué de rouge.

    Ce n’est pas mauvaise volonté de ma part, mais en ce moment je ne prends pas assez le temps de lire les textes des écrivains de la Toile dont vous êtes.

    Où est mon fouet que je fustige! 🙂

    Et le Plaiethore, serait-il noyé dans un jus de carottes?

    Je sens que je vais bientôt le bombarder de betteraves, celui-là; quant à vous je vous réserve quelques plumes corvidesques de derrière les fagots.

  5. En fait ,vous ne trouveriez point ce leg de crâne dans le livre ,pas plus celui qui apparait dans le cadran de l’horloge …Ruiz joue avec les vanités …en peintre cinématographique  ,ce vieux monsieur discret est d’une culture insoupçonnable ,un qui est de cette période où le surréalisme et qui sait en glisser un soupçon ici et là .

    Le rideau de ce théâtre à tiroirs où la vie s’enchaîne à la mort , où les morts revivent ,le temps d’une évocation ,l’arbitraire ,les contraires ,les passions ,les grilles des couvents ,les portes entrebaillées ,l’irisation de la lumière que diffuse un voilage sur une fenêtre ,la bougie soufflée alors qu’on aperçoit le crâne dans son coffret sculpté ….tout cela ce soir sur Arte ! …

    D’où ma chronique certes un peu longue ; je conçois que le temps ne soit extensible à volonté …

    Plaiethore a disparu …J’hésite à frapper trois petits coups à son vaisseau d’ Alien ,mais je m’interroge ….

    J’attends bien des surprises de votre part ,et le plus échevelé des romans Camilien me surprendra bien moins que vous chère Gertrude .

                                                                                      Je reprends mon souffle  ,ou ,mieux je le dépose à moitié expiré à vos pieds .

                                                                             Romantiquement vôtre

                                                                                                                      Magicienne

  6. Je suis toujours épatée de votre souffle, chère Magicienne, vous qui éveillez mon crâne sans relâche.

    C’est moi qui fait traîner mon chapeau bas, très bas dans la poussière sous les petits orteils de vos petits petons.

    Raaaaahhhh! J’ai la pression…! Comment vous surprendre encore?

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