Sang peur, sens reproche, mais avec Os

 

Vu la chute vertigineuse

de sa fréquentation,

Gertrude décide de partir en guerre.

 

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Ça va saigner* !

 

*Composition de la Seine de crime: Jus de betterave et sucre de canne

 

 

Après plus de trois ans de web

La Rose

commence à sucrer les fraises

et

La Noire

se fait menaçante 

 

100 réflexions sur « Sang peur, sens reproche, mais avec Os »

  1. Comment ? Guerre et sang ? ….Jus de betterave …du sucre coloré à défaut d’orgie de chocolat .Ah!……le pavillon du grand mâte est en chocolat noir avec os en + !!!!!!!!

    Misaine …et mitaines ,la guerre en dentelles …

  2. Il est navrant que le sang doive couler, pour qu’on remarque enfin que la betterave dipose d’une grande teneur en bétalaïnes.

    Ca me donne envie de manger des crapaudines tiens!

  3. Sucre de canne et jus de betterave : « Faim » d’une recette avec, en plus, de l’eau de rose… Et dés qu’il s’agit de guerre, c’est toujours d’une violence à corps perdus.

  4. Ah! Ah! Je vois que l’on a trouvé tout seul le chemin des catacombes gertrudiennes pour venir parler cuisine dans mon bac à cendres!

    Sache qu’ici il est de mise de parler d’os de Rrose pour donner du corps au ragout.

    Bien à toi et reviens souvent!

  5. Les corps à corps sont des guerres éperdues………….qu’importe le décor ,seuls les corps importent aux protagonistes !

    Un lit d’os sculpté  aux tentures du baldaquin brodées de croix et de lys ,des pétales de rose …

  6. Ah, AhAh, Gertrude, ceci dit en passant, fugitivement, que j’aimerais couler – de longs jours – avec vous… et qu’ils sont bons les fonds marins – avec ou sans boîtes noires -… comme des fonds de veau (marin). Décidément, je lis trop Prévert ! Je vous embrasse, exilement, je vous embrasse. Jus de betterave et sucre de canne, colonisateur et colonial réconciliés, à jamais et à la mort… de l’autre – surtout du moins fort !

  7. La guerre du sucre n’aura pas lieu, mais je m’inquiète de l’effet de ma boite noire, mais vide, sur vos vapeurs des sens. Mais une chose est sure, c’est que sans partir dans tous les sens, ce sang sans sens a comme un goût de revenez-y au point de vous faire réapparaitre, cher Vincent, vous que je croyais perdu au fond de l’os séant.

    J’en suis ravie au point d’en perdre la tête.

    Au sec….! Je coule!

  8. Ce ‘ravie’, me ravit, oh la la ! … mais c’est Gina qui est ravi au lit, vieille histoire italienne pour laquelle, depuis l’adolescence, j’ai beaucoup de penchant (comme pour l’Italie, en général et en particulière), oh la la ! N’en déplaise à Manhattan Transfert… CQFDSKETC… Quant au sec, c’est votre affaire…

  9. « L’Os et ses revenants » ça sonne bien (sonne l’heure) comme groupe de rock au Cabaret du Néant. Je nous vois bien , vous et moi, en duo, Armengol aux percussions avec des tibias et des péronés sur de vieilles calebasses, Plaiethore à la trompette des morts, Vincent L au violon, Émile au triangle, Ledif en train de souffler dans une flute en nonosse, et surtout le grand chef d’orchestre Revenant Zeherit!

  10. Je ne creuserai pas plus loin vos références transal-pines ni ne tenterai pas de comprendre vos rébus transferés en sigles, ni vos transports fluviaux à moinsse qu’ils ne soyent zamoureux, par contre je constate votre forme éblouissante. 🙂

  11. Ma très chère Hécate, je vous néglige mais je pense à vous… Excusez un pauvre homme perdu… et éperdu (et cela va perdurer !). Vous, Gertrude, taisez vous oneilles et rongez votre os en silence, s’il vous plaît… L’une après l’autre ! 

  12. Quoi, moi, me taire????

    Un crâne à qui on a donné la parole?

    D’abord je n’ai plus d’oreilles ni de bouches, seulement des orifices béants.

    En plus j’ai déjà copieusement rongé tous mes os y compris l’enclume, le marteau et l’étrier.

     

    Et puis, et puis, je suis un Os jaloux et vous êtes un homme perdu (qui ne perdurera pas autant que môa) à oser, dans mon espace, faire des déclarations enflammées à une magicienne dont les pouvoirs sur les éperdus ne sont plus à prouver.

    Je n’approuve pas… Na!

  13. Bon, soit, prenons rendez-vous ! J’ai une petite ‘garçonnière’ sur les Champs et, lors d’un prochain séjour dans le Gai Paris, nous pourrons en débattre et en découdre jusqu’à l’os, crânement, si vous le voulez bien… Tout le plaisir sera pour moi… et pour vous donc, par voie de conséquence… Ceci dit sans présomption ! Certes, rien à voir avec CQFDSKETC…

  14. Bien sûr, cela fait partie du scénario, vous pourrez l’enlever le moment venu, mais, please, rien dessous… Prélude à l’après-midi d’un fauve…

  15. Euh…. Là je crois que vous avez un peu confondu les initiales; moi c’est G comme Gertrude pas comme Gina.

    C’est qu’avec ou sans tablier, il n’y a toujours rien en dessous. Rien, vous dis-je, le Néant!

    Ah ces zommes, toujours c’est Q et Fesse…. Des est-ce cas?

  16. Ceci, dit un petit ‘home’ saint-sulpicien, pas loin de chez Catherine D., ça vous dirait. À la manière d’O. Histoire vécue… Et pour rester dans la continuité bussyienne, manière K. Histoire d’A… comme Art… Et pour, finalement, respecter vos vanités…

  17. Je connais Catherine M , sa vie S et son traité d’A qui n’a rien à voir avec l’Angelus de Millet.

    Mais cher Vincent vous sexagérez un peu d’y mêler Saint Sulpice et de prendre les histoires d’os pour des histoires d’O sans eau ni s, et de penser boire ainsi mes vanités cul sec.

  18. J’avoue que je n’en ai lu que le traité d’art contemporain; le reste, je l’imagine; c’est toujours mieux d’imaginer.

    ça me plait cette dualité chez cette femme si intelligente. Enfin peut-être que ce n’est pas une dualité.

  19. Ceci dit (Brahim !) un fort bon vieux wiskhey dans le creux d’une de vos vanités, je ne dis pas non – j’aime les vieux cognacs mais ne les supporte pas… Apportez a genuine and very old single malt, j’aviserai pour le reste… À cul sec… mais non seulement…

  20. Je ne dis jamais la vérité, mes mensonges y pourvoient ! Mais ma proposition est honnête… comme tout ce qui est humainement honnête est honnête… Pour moi, JEU est un autre ! 

  21. Ceci dit (Brahim, bis repetita), placez vos actions dans le sexe de la femme – vous être bien placée ! Une valeur qui ne cesse de monter…, bientôt cotée en bourse (jeu de mot machiste !)… Un conseil d’ami (qui vous veut son bien)…

  22. C’est Charles Cros qui proposait, typographiquement, de créer un point d’ironie ! Quant aux angelos joufflus, voire bouffis, soufflant dans la flûte, image trop con-notée (comme dirait Gertrude)…

  23. … et quant au petit dieu moqueur, P.P. Pasolini a fini par épuiser l’image dans ses ‘Contes de Canterbury’… mais la remarque n’en demeure pas moins fine et juste. Gertrude, au secours !

  24. J’ai un vague souvenir de Robbe-Grillet comme d’une torture rampante (et non d’un lièvre glissant), lecture imposée à mes dix sept ans.

    Je crois y avoir pris un certain plaisir.

  25. Mourir là, dans ses conditions, quelle destin roturier ! La reine Victoria, elle, était moche, mais au moins elle avait du panache… Dommage qu’elle ne se soit pas arrangé, sur ce plan-là, avec Félix Faure – qui avait des goûts plutôt simoniens (pas de Saint, plutôt de Michel), c’eût été une Entente plus que Cordiale. B…, My God! Vous venez, on essaie ?!

  26. Excusez les ‘fautes’ de français à répétition… Décidément, il faut que je sorte de mon exil et renoue avec la FranceTerre… et pratique la langue avec plus de dextérité… À Paris, ça peut servir !

  27. … Et puis finir comme ça, en beauté, associant, dans un même dernier élan, petite et grande mort, reconnaissez que c’est le pied… Bien sûr, la belle, a dû, elle, pour la vérité officielle, se dérober de l’Élysée par une porte du même nom… 

  28. Euh…

    Vous savez l’autre CQFD… n’a pas eu le temps de devenir président, lui.. Il a fait le truc à l’envers, si je puis m’exprimer ainsi…

     

    Mais il est toujours possible d’emprunter une voie rapide sur berge.

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