………………même la baguette magique est impuissante à rehausser le misérable basset que je vois dans la glace….quand je me regarde!….Malédiction!
………………même la baguette magique est impuissante à rehausser le misérable basset que je vois dans la glace….quand je me regarde!….Malédiction!
Loin de moi l’idée de vous rabaisser par mes remarques facétieuses… mais toujours affectueuses, chère Hécate si Grande Magicienne.
Loin de moi l’idée de vous rabaisser par mes remarques facétieuses… mais toujours affectueuses, chère Hécate si Grande Magicienne.
Je vous assure que lors de moment de déprime,je me « sentais » comme un basset parmi la foule…tout est trop haut,les dessus d’étagères,les livres des rayonnages …je n’aurais jamais découvert les romans de R.Alexis si le Destin les avaitt placés très haut…A quoi ça tient!…. ça fait « Veillées des chaumières » cette conversation 🙂
Je vous assure que lors de moment de déprime,je me « sentais » comme un basset parmi la foule…tout est trop haut,les dessus d’étagères,les livres des rayonnages …je n’aurais jamais découvert les romans de R.Alexis si le Destin les avaitt placés très haut…A quoi ça tient!…. ça fait « Veillées des chaumières » cette conversation 🙂
On pourrait l’envoyer à « Femmes actuelles », au courrier des lectrices.. Ce serait drôle Sniff!!!!!
Bon, ça suffit, arrêtez de vous lamenter; vous êtes très bien; et même si RA avait été sur un rayon au-dessus, avec vos grands pouvoirs et votre magnétisme, il n »y aurait pas eu besoin d’échelle. Vous savez, moi je me suis sentie grande bique longtemps.. J’aurais bien aimé être un peu plus petite.
Bon vous croyez que nous allons faire pleurer dans les chaumières? Je m’en vais réfléchir à tout cela dans mon lit douillet contre ma bouillote perso.. Bonne nuit, ma grande.
On pourrait l’envoyer à « Femmes actuelles », au courrier des lectrices.. Ce serait drôle Sniff!!!!!
Bon, ça suffit, arrêtez de vous lamenter; vous êtes très bien; et même si RA avait été sur un rayon au-dessus, avec vos grands pouvoirs et votre magnétisme, il n »y aurait pas eu besoin d’échelle. Vous savez, moi je me suis sentie grande bique longtemps.. J’aurais bien aimé être un peu plus petite.
Bon vous croyez que nous allons faire pleurer dans les chaumières? Je m’en vais réfléchir à tout cela dans mon lit douillet contre ma bouillote perso.. Bonne nuit, ma grande.
Cruel destin pour qui accueillit tant de culs! Amant je m’y vautrais et répandais dessus… N‘aurais-je pas pour lui un semblant de pitié Avec un peu de gout je le restaurerais Peut-être accepterait-il encore d’y recevoir Et pour des jeux plus fous mes copines d’un soir
Cruel destin pour qui accueillit tant de culs! Amant je m’y vautrais et répandais dessus… N‘aurais-je pas pour lui un semblant de pitié Avec un peu de gout je le restaurerais Peut-être accepterait-il encore d’y recevoir Et pour des jeux plus fous mes copines d’un soir
Quelle somptueuse versification sur CANAPÉ, cher Ledif Trocas, pour un si modeste cliché! Merci.
Donatien dirait qu’en effet ce serait bien triste destinée de sofa que celle des plaisirs solitaires.
Quelle somptueuse versification sur CANAPÉ, cher Ledif Trocas, pour un si modeste cliché! Merci.
Donatien dirait qu’en effet ce serait bien triste destinée de sofa que celle des plaisirs solitaires.
Certes,certes et qu’elle jolie façon de dire la chose…
Certes,certes et qu’elle jolie façon de dire la chose…
Chère CLéMENCE Chère GERTRUDE dire la chose est une chose, la faire en est une autre je n’en dirai pas plus, laissons parler l’apôtre: Madame, quel est votre mot, Et sur le mot et sur la chose ? On vous a dit souvent le mot, On vous a fait souvent la chose. Ainsi, de la chose et du mot Vous pouvez dire quelque chose. Et je gagerais que le mot Vous plaît beaucoup moins que la chose. Pour moi, voici quel est mon mot, Et sur le mot, et sur la chose : J’avouerai que j’aime le mot, J’avouerai que j’aime la chose. Mais, c’est la chose avec le mot, Mais, c’est le mot avec la chose, Autrement, la chose et le mot A mes yeux, seraient peu de chose. Je crois même, en faveur du mot, Pouvoir ajouter quelque chose ; Une chose qui donne au mot Tout l’avantage sur la chose : C’est qu’on peut dire encore le mot, Alors qu’on ne fait plus la chose. Et pour peu que vaille le mot, Mon Dieu, c’est toujours quelque chose ! De là, je conclus que le mot Doit être mis avant la chose. Qu’il ne faut ajouter au mot Qu’autant que l’on peut quelque chose. Et pour quelque jour où le mot Viendra seul, hélas, sans la chose, Il faut se réserver le mot Pour se consoler de la chose. Pour vous, je crois qu’avec le mot, Vous voyez toujours autre chose. Vous dites si gaiement le mot, Vous méritez si bien la chose, Que pour vous, la chose et le mot Doivent être la même chose. Et vous n’avez pas dit le mot Qu’on est déjà prêt à la chose, Mais quand je dis que le mot Doit être mis avant la chose, Vous devez me croire à ce mot, Bien peu connaisseur en la chose. Eh bien, voici mon dernier mot, Et sur le mot et sur la chose : Madame, passez-moi le mot Et je vous passerai. la chose. Je vous ai copié le mot et collé la chose dans le cas très improbable – car je vous devine l’une te l’autre très cul tivées- où vous ne connoîtriez point le bon abbé Gabriel Charles de LATTAIGNANT « Gabriel Charles l’atteignant en plein minou Clémentine croit devoir lui baiser les genoux tandis qu’elle se baisse elle voit surgir une chose: un vrai mat de cocagne avec un bout tout rose… » mais je m’arrête là car je n’oublie pas que je suis sur un blog de dame, qu’en plus je ne connois ni des lèvres ni des dents, dont je pourrais choquer la fragile pudeur.
Je sais votre clémence et pense que vous pardonnerez ce petit délire matutinal pondu à l’heure précise (3h57) où se réveille une libido toujours aussi gourmande et jamais totalement satisfaite. ΦΙΛΙΚΆ
Chère CLéMENCE Chère GERTRUDE dire la chose est une chose, la faire en est une autre je n’en dirai pas plus, laissons parler l’apôtre: Madame, quel est votre mot, Et sur le mot et sur la chose ? On vous a dit souvent le mot, On vous a fait souvent la chose. Ainsi, de la chose et du mot Vous pouvez dire quelque chose. Et je gagerais que le mot Vous plaît beaucoup moins que la chose. Pour moi, voici quel est mon mot, Et sur le mot, et sur la chose : J’avouerai que j’aime le mot, J’avouerai que j’aime la chose. Mais, c’est la chose avec le mot, Mais, c’est le mot avec la chose, Autrement, la chose et le mot A mes yeux, seraient peu de chose. Je crois même, en faveur du mot, Pouvoir ajouter quelque chose ; Une chose qui donne au mot Tout l’avantage sur la chose : C’est qu’on peut dire encore le mot, Alors qu’on ne fait plus la chose. Et pour peu que vaille le mot, Mon Dieu, c’est toujours quelque chose ! De là, je conclus que le mot Doit être mis avant la chose. Qu’il ne faut ajouter au mot Qu’autant que l’on peut quelque chose. Et pour quelque jour où le mot Viendra seul, hélas, sans la chose, Il faut se réserver le mot Pour se consoler de la chose. Pour vous, je crois qu’avec le mot, Vous voyez toujours autre chose. Vous dites si gaiement le mot, Vous méritez si bien la chose, Que pour vous, la chose et le mot Doivent être la même chose. Et vous n’avez pas dit le mot Qu’on est déjà prêt à la chose, Mais quand je dis que le mot Doit être mis avant la chose, Vous devez me croire à ce mot, Bien peu connaisseur en la chose. Eh bien, voici mon dernier mot, Et sur le mot et sur la chose : Madame, passez-moi le mot Et je vous passerai. la chose. Je vous ai copié le mot et collé la chose dans le cas très improbable – car je vous devine l’une te l’autre très cul tivées- où vous ne connoîtriez point le bon abbé Gabriel Charles de LATTAIGNANT « Gabriel Charles l’atteignant en plein minou Clémentine croit devoir lui baiser les genoux tandis qu’elle se baisse elle voit surgir une chose: un vrai mat de cocagne avec un bout tout rose… » mais je m’arrête là car je n’oublie pas que je suis sur un blog de dame, qu’en plus je ne connois ni des lèvres ni des dents, dont je pourrais choquer la fragile pudeur.
Je sais votre clémence et pense que vous pardonnerez ce petit délire matutinal pondu à l’heure précise (3h57) où se réveille une libido toujours aussi gourmande et jamais totalement satisfaite. ΦΙΛΙΚΆ
Voilà un canapé défoncé qui inspire…voir ,s’il soupire?
Voilà un canapé défoncé qui inspire…voir ,s’il soupire?
inspirer soupirer expirer pire encore que de souffle il faut pour exister heureux de trouver encore quelque canapé pour s’y reposer et aimer
inspirer soupirer expirer pire encore que de souffle il faut pour exister heureux de trouver encore quelque canapé pour s’y reposer et aimer
Vous voila maniant le verbe Comme on se couche sur l’herbe, Avez-vous d’Eros le carquois Pour la nuit avoir tant d’émoi?
Vous voila maniant le verbe Comme on se couche sur l’herbe, Avez-vous d’Eros le carquois Pour la nuit avoir tant d’émoi?
attention chère Hécate mes carquois est encore bien garni de flèches vénéneuses… à mon âge maintenant je fais moins de malheureuses j’ai appris d’autres arts pour faire les filles heureuses et que dans la vie on peut danser sans valseuses
attention chère Hécate mes carquois est encore bien garni de flèches vénéneuses… à mon âge maintenant je fais moins de malheureuses j’ai appris d’autres arts pour faire les filles heureuses et que dans la vie on peut danser sans valseuses
Éh bien il s’en passe des chÔses sur ce vieux sofa que je croyais expiré depuis des lustres mais qui à l’évidence a encore du ressort et quelque âme qui grince.. Vous avez la libido de 3h57 bien poétique à visiter mes ouvrages de dames, pas patronesses, je vous rassure.
Éh bien il s’en passe des chÔses sur ce vieux sofa que je croyais expiré depuis des lustres mais qui à l’évidence a encore du ressort et quelque âme qui grince.. Vous avez la libido de 3h57 bien poétique à visiter mes ouvrages de dames, pas patronesses, je vous rassure.
Oh, vous complétez ma répnse, chère Hécate.. Vous avez vu ça?
Oh, vous complétez ma répnse, chère Hécate.. Vous avez vu ça?
Je n’ai pas du le photographier par hasard. 🙂
Je n’ai pas du le photographier par hasard. 🙂
Houla, je ne rajouterai rien…
Ni n’enlèverai d’ailleurs…
Houla, je ne rajouterai rien…
Ni n’enlèverai d’ailleurs…
🙂
🙂
Il semblerait que tout le monde ne fut pas de cet avis. Aucune cacaouète ne vaut le vécu d’un sofa, cher Armengol.
Il semblerait que tout le monde ne fut pas de cet avis. Aucune cacaouète ne vaut le vécu d’un sofa, cher Armengol.
Me voilà toute cantounnée…….
Me voilà toute cantounnée…….
Point de ledif trocas cette nuit?…J’attendrais….j’attendrai…que passe le poète de la Crète…pédakimou….cardiamou…Je crois que l’on dit cela…?…en Grèce… Hekate
Point de ledif trocas cette nuit?…J’attendrais….j’attendrai…que passe le poète de la Crète…pédakimou….cardiamou…Je crois que l’on dit cela…?…en Grèce… Hekate
Eh bien.. Vous êtes toujours là à camper sur mon canapé sulfureux.. Avez-vous lu certains coms sur la Rose et chez Mimile?
Eh bien.. Vous êtes toujours là à camper sur mon canapé sulfureux.. Avez-vous lu certains coms sur la Rose et chez Mimile?
J’en ai lu des coms…chez les deux….Et il y a une certaine Juliette grecque…Ma douée!…
J’en ai lu des coms…chez les deux….Et il y a une certaine Juliette grecque…Ma douée!…
Je renifle certains trucs à des kilomètres.. Vous me suivez?
J’ai à présent une certaine expérience..
Je renifle certains trucs à des kilomètres.. Vous me suivez?
J’ai à présent une certaine expérience..
J’imagine qu’avec ce vieux canapé,ces arrières de boudoirs,(ces glaces sans tains doivent raviver le vôtre)votre expérience doit s’étendre à l’aise…
J’imagine qu’avec ce vieux canapé,ces arrières de boudoirs,(ces glaces sans tains doivent raviver le vôtre)votre expérience doit s’étendre à l’aise…
Jusque dans mes poussières d’étagère!
Vous comprenez merveilleusement bien, ma magicienne.
Jusque dans mes poussières d’étagère!
Vous comprenez merveilleusement bien, ma magicienne.
Diable!….quelle folie allez-vous faire encore?…
Diable!….quelle folie allez-vous faire encore?…
Rien; au contraire je me tiens coite.
Rien; au contraire je me tiens coite.
Ma foi…gardez celà de côté…mais effectivement…je vois un petit quelque chose que notre chère Gertrude pourrait avoir détecté…Je n’y songeais plus toute occupée par ailleurs,mais son os a dû ressentir un léger frisson…avant -coureur…
Ma foi…gardez celà de côté…mais effectivement…je vois un petit quelque chose que notre chère Gertrude pourrait avoir détecté…Je n’y songeais plus toute occupée par ailleurs,mais son os a dû ressentir un léger frisson…avant -coureur…
Là, je ne suis plus…
Là, je ne suis plus…
La date limite de consommation de ce petit canapé est largement dépassée, je vais donc voir la tronche des cacahuètes pour accompagner mon Champagne
LIJCA
Les sofas croient toujours avoir de l’esprit, Ils sont pénibles, Je préfère les cantous qui parlent en roulant les « R » Comme dans » Roucoulade sur la route rurale « Ainsi parlait Sarah Fouchtra
La date limite de consommation de ce petit canapé est largement dépassée, je vais donc voir la tronche des cacahuètes pour accompagner mon Champagne
LIJCA
Les sofas croient toujours avoir de l’esprit, Ils sont pénibles, Je préfère les cantous qui parlent en roulant les « R » Comme dans » Roucoulade sur la route rurale « Ainsi parlait Sarah Fouchtra
Est-là « Le sopha des égarements » de Clémence?….
Est-là « Le sopha des égarements » de Clémence?….
Des seuls égarements photographiques…… 🙂
Des seuls égarements photographiques…… 🙂
:)………………………( H…)
:)………………………( H…)
C’est quoi ça?
Une Hécate allongée comme madme de Récamier?
C’est quoi ça?
Une Hécate allongée comme madme de Récamier?
un tantinet…oui…bien possible…
un tantinet…oui…bien possible…
Enfin une « petiote » Mme de Récamier
Enfin une « petiote » Mme de Récamier
………………même la baguette magique est impuissante à rehausser le misérable basset que je vois dans la glace….quand je me regarde!….Malédiction!
………………même la baguette magique est impuissante à rehausser le misérable basset que je vois dans la glace….quand je me regarde!….Malédiction!
Loin de moi l’idée de vous rabaisser par mes remarques facétieuses… mais toujours affectueuses, chère Hécate si Grande Magicienne.
Loin de moi l’idée de vous rabaisser par mes remarques facétieuses… mais toujours affectueuses, chère Hécate si Grande Magicienne.
Je vous assure que lors de moment de déprime,je me « sentais » comme un basset parmi la foule…tout est trop haut,les dessus d’étagères,les livres des rayonnages …je n’aurais jamais découvert les romans de R.Alexis si le Destin les avaitt placés très haut…A quoi ça tient!….
ça fait « Veillées des chaumières » cette conversation 🙂
Je vous assure que lors de moment de déprime,je me « sentais » comme un basset parmi la foule…tout est trop haut,les dessus d’étagères,les livres des rayonnages …je n’aurais jamais découvert les romans de R.Alexis si le Destin les avaitt placés très haut…A quoi ça tient!….
ça fait « Veillées des chaumières » cette conversation 🙂
On pourrait l’envoyer à « Femmes actuelles », au courrier des lectrices.. Ce serait drôle Sniff!!!!!
Bon, ça suffit, arrêtez de vous lamenter; vous êtes très bien; et même si RA avait été sur un rayon au-dessus, avec vos grands pouvoirs et votre magnétisme, il n »y aurait pas eu besoin d’échelle.
Vous savez, moi je me suis sentie grande bique longtemps..
J’aurais bien aimé être un peu plus petite.
Bon vous croyez que nous allons faire pleurer dans les chaumières?
Je m’en vais réfléchir à tout cela dans mon lit douillet contre ma bouillote perso..
Bonne nuit, ma grande.
On pourrait l’envoyer à « Femmes actuelles », au courrier des lectrices.. Ce serait drôle Sniff!!!!!
Bon, ça suffit, arrêtez de vous lamenter; vous êtes très bien; et même si RA avait été sur un rayon au-dessus, avec vos grands pouvoirs et votre magnétisme, il n »y aurait pas eu besoin d’échelle.
Vous savez, moi je me suis sentie grande bique longtemps..
J’aurais bien aimé être un peu plus petite.
Bon vous croyez que nous allons faire pleurer dans les chaumières?
Je m’en vais réfléchir à tout cela dans mon lit douillet contre ma bouillote perso..
Bonne nuit, ma grande.
Cruel destin pour qui accueillit tant de culs!
Amant je m’y vautrais et répandais dessus…
N‘aurais-je pas pour lui un semblant de pitié
Avec un peu de gout je le restaurerais
Peut-être accepterait-il encore d’y recevoir
Et pour des jeux plus fous mes copines d’un soir
Cruel destin pour qui accueillit tant de culs!
Amant je m’y vautrais et répandais dessus…
N‘aurais-je pas pour lui un semblant de pitié
Avec un peu de gout je le restaurerais
Peut-être accepterait-il encore d’y recevoir
Et pour des jeux plus fous mes copines d’un soir
Quelle somptueuse versification sur CANAPÉ, cher Ledif Trocas, pour un si modeste cliché!
Merci.
Donatien dirait qu’en effet ce serait bien triste destinée de sofa que celle des plaisirs solitaires.
Quelle somptueuse versification sur CANAPÉ, cher Ledif Trocas, pour un si modeste cliché!
Merci.
Donatien dirait qu’en effet ce serait bien triste destinée de sofa que celle des plaisirs solitaires.
Certes,certes et qu’elle jolie façon de dire la chose…
Certes,certes et qu’elle jolie façon de dire la chose…
Chère CLéMENCE Chère GERTRUDE
dire la chose est une chose, la faire en est une autre
je n’en dirai pas plus, laissons parler l’apôtre:
Madame, quel est votre mot,
Et sur le mot et sur la chose ?
On vous a dit souvent le mot,
On vous a fait souvent la chose.
Ainsi, de la chose et du mot
Vous pouvez dire quelque chose.
Et je gagerais que le mot
Vous plaît beaucoup moins que la chose.
Pour moi, voici quel est mon mot,
Et sur le mot, et sur la chose :
J’avouerai que j’aime le mot,
J’avouerai que j’aime la chose.
Mais, c’est la chose avec le mot,
Mais, c’est le mot avec la chose,
Autrement, la chose et le mot
A mes yeux, seraient peu de chose.
Je crois même, en faveur du mot,
Pouvoir ajouter quelque chose ;
Une chose qui donne au mot
Tout l’avantage sur la chose :
C’est qu’on peut dire encore le mot,
Alors qu’on ne fait plus la chose.
Et pour peu que vaille le mot,
Mon Dieu, c’est toujours quelque chose !
De là, je conclus que le mot
Doit être mis avant la chose.
Qu’il ne faut ajouter au mot
Qu’autant que l’on peut quelque chose.
Et pour quelque jour où le mot
Viendra seul, hélas, sans la chose,
Il faut se réserver le mot
Pour se consoler de la chose.
Pour vous, je crois qu’avec le mot,
Vous voyez toujours autre chose.
Vous dites si gaiement le mot,
Vous méritez si bien la chose,
Que pour vous, la chose et le mot
Doivent être la même chose.
Et vous n’avez pas dit le mot
Qu’on est déjà prêt à la chose,
Mais quand je dis que le mot
Doit être mis avant la chose,
Vous devez me croire à ce mot,
Bien peu connaisseur en la chose.
Eh bien, voici mon dernier mot,
Et sur le mot et sur la chose :
Madame, passez-moi le mot
Et je vous passerai. la chose.
Je vous ai copié le mot et collé la chose dans le cas très improbable
– car je vous devine l’une te l’autre très cul
tivées- où vous ne connoîtriez point le bon abbé Gabriel Charles de LATTAIGNANT
« Gabriel Charles l’atteignant en plein minou
Clémentine croit devoir lui baiser les genoux
tandis qu’elle se baisse elle voit surgir une chose:
un vrai mat de cocagne avec un bout tout rose… »
mais je m’arrête là car je n’oublie pas que je suis sur un blog de dame, qu’en plus je ne connois ni des lèvres ni des dents, dont je pourrais choquer la fragile pudeur.
Je sais votre clémence et pense que vous pardonnerez ce petit délire matutinal pondu à l’heure précise (3h57) où se réveille une libido toujours aussi gourmande et jamais totalement satisfaite.
ΦΙΛΙΚΆ
Chère CLéMENCE Chère GERTRUDE
dire la chose est une chose, la faire en est une autre
je n’en dirai pas plus, laissons parler l’apôtre:
Madame, quel est votre mot,
Et sur le mot et sur la chose ?
On vous a dit souvent le mot,
On vous a fait souvent la chose.
Ainsi, de la chose et du mot
Vous pouvez dire quelque chose.
Et je gagerais que le mot
Vous plaît beaucoup moins que la chose.
Pour moi, voici quel est mon mot,
Et sur le mot, et sur la chose :
J’avouerai que j’aime le mot,
J’avouerai que j’aime la chose.
Mais, c’est la chose avec le mot,
Mais, c’est le mot avec la chose,
Autrement, la chose et le mot
A mes yeux, seraient peu de chose.
Je crois même, en faveur du mot,
Pouvoir ajouter quelque chose ;
Une chose qui donne au mot
Tout l’avantage sur la chose :
C’est qu’on peut dire encore le mot,
Alors qu’on ne fait plus la chose.
Et pour peu que vaille le mot,
Mon Dieu, c’est toujours quelque chose !
De là, je conclus que le mot
Doit être mis avant la chose.
Qu’il ne faut ajouter au mot
Qu’autant que l’on peut quelque chose.
Et pour quelque jour où le mot
Viendra seul, hélas, sans la chose,
Il faut se réserver le mot
Pour se consoler de la chose.
Pour vous, je crois qu’avec le mot,
Vous voyez toujours autre chose.
Vous dites si gaiement le mot,
Vous méritez si bien la chose,
Que pour vous, la chose et le mot
Doivent être la même chose.
Et vous n’avez pas dit le mot
Qu’on est déjà prêt à la chose,
Mais quand je dis que le mot
Doit être mis avant la chose,
Vous devez me croire à ce mot,
Bien peu connaisseur en la chose.
Eh bien, voici mon dernier mot,
Et sur le mot et sur la chose :
Madame, passez-moi le mot
Et je vous passerai. la chose.
Je vous ai copié le mot et collé la chose dans le cas très improbable
– car je vous devine l’une te l’autre très cul
tivées- où vous ne connoîtriez point le bon abbé Gabriel Charles de LATTAIGNANT
« Gabriel Charles l’atteignant en plein minou
Clémentine croit devoir lui baiser les genoux
tandis qu’elle se baisse elle voit surgir une chose:
un vrai mat de cocagne avec un bout tout rose… »
mais je m’arrête là car je n’oublie pas que je suis sur un blog de dame, qu’en plus je ne connois ni des lèvres ni des dents, dont je pourrais choquer la fragile pudeur.
Je sais votre clémence et pense que vous pardonnerez ce petit délire matutinal pondu à l’heure précise (3h57) où se réveille une libido toujours aussi gourmande et jamais totalement satisfaite.
ΦΙΛΙΚΆ
Voilà un canapé défoncé qui inspire…voir ,s’il soupire?
Voilà un canapé défoncé qui inspire…voir ,s’il soupire?
inspirer soupirer expirer
pire encore
que de souffle il faut pour exister
heureux de trouver encore quelque canapé
pour s’y reposer et aimer
inspirer soupirer expirer
pire encore
que de souffle il faut pour exister
heureux de trouver encore quelque canapé
pour s’y reposer et aimer
Vous voila maniant le verbe Comme on se couche sur l’herbe, Avez-vous d’Eros le carquois Pour la nuit avoir tant d’émoi?
Vous voila maniant le verbe Comme on se couche sur l’herbe, Avez-vous d’Eros le carquois Pour la nuit avoir tant d’émoi?
attention chère Hécate
mes carquois est encore bien garni de flèches vénéneuses…
à mon âge maintenant je fais moins de malheureuses
j’ai appris d’autres arts pour faire les filles heureuses
et que dans la vie on peut danser sans valseuses
attention chère Hécate
mes carquois est encore bien garni de flèches vénéneuses…
à mon âge maintenant je fais moins de malheureuses
j’ai appris d’autres arts pour faire les filles heureuses
et que dans la vie on peut danser sans valseuses
Éh bien il s’en passe des chÔses sur ce vieux sofa que je croyais expiré depuis des lustres mais qui à l’évidence a encore du ressort et quelque âme qui grince..
Vous avez la libido de 3h57 bien poétique à visiter mes ouvrages de dames, pas patronesses, je vous rassure.
Éh bien il s’en passe des chÔses sur ce vieux sofa que je croyais expiré depuis des lustres mais qui à l’évidence a encore du ressort et quelque âme qui grince..
Vous avez la libido de 3h57 bien poétique à visiter mes ouvrages de dames, pas patronesses, je vous rassure.
Oh, vous complétez ma répnse, chère Hécate..
Vous avez vu ça?
Oh, vous complétez ma répnse, chère Hécate..
Vous avez vu ça?
Je n’ai pas du le photographier par hasard. 🙂
Je n’ai pas du le photographier par hasard. 🙂
Houla, je ne rajouterai rien…
Ni n’enlèverai d’ailleurs…
Houla, je ne rajouterai rien…
Ni n’enlèverai d’ailleurs…
🙂
🙂
Il semblerait que tout le monde ne fut pas de cet avis.
Aucune cacaouète ne vaut le vécu d’un sofa, cher Armengol.
Il semblerait que tout le monde ne fut pas de cet avis.
Aucune cacaouète ne vaut le vécu d’un sofa, cher Armengol.
Me voilà toute cantounnée…….
Me voilà toute cantounnée…….
Point de ledif trocas cette nuit?…J’attendrais….j’attendrai…que passe le poète de la Crète…pédakimou….cardiamou…Je crois que l’on dit cela…?…en Grèce…
Hekate
Point de ledif trocas cette nuit?…J’attendrais….j’attendrai…que passe le poète de la Crète…pédakimou….cardiamou…Je crois que l’on dit cela…?…en Grèce…
Hekate
Eh bien..
Vous êtes toujours là à camper sur mon canapé sulfureux..
Avez-vous lu certains coms sur la Rose et chez Mimile?
Eh bien..
Vous êtes toujours là à camper sur mon canapé sulfureux..
Avez-vous lu certains coms sur la Rose et chez Mimile?
J’en ai lu des coms…chez les deux….Et il y a une certaine Juliette grecque…Ma douée!…
J’en ai lu des coms…chez les deux….Et il y a une certaine Juliette grecque…Ma douée!…
Je renifle certains trucs à des kilomètres.. Vous me suivez?
J’ai à présent une certaine expérience..
Je renifle certains trucs à des kilomètres.. Vous me suivez?
J’ai à présent une certaine expérience..
J’imagine qu’avec ce vieux canapé,ces arrières de boudoirs,(ces glaces sans tains doivent raviver le vôtre)votre expérience doit s’étendre à l’aise…
J’imagine qu’avec ce vieux canapé,ces arrières de boudoirs,(ces glaces sans tains doivent raviver le vôtre)votre expérience doit s’étendre à l’aise…
Jusque dans mes poussières d’étagère!
Vous comprenez merveilleusement bien, ma magicienne.
Jusque dans mes poussières d’étagère!
Vous comprenez merveilleusement bien, ma magicienne.
Diable!….quelle folie allez-vous faire encore?…
Diable!….quelle folie allez-vous faire encore?…
Rien; au contraire je me tiens coite.
Rien; au contraire je me tiens coite.
Ma foi…gardez celà de côté…mais effectivement…je vois un petit quelque chose que notre chère Gertrude pourrait avoir détecté…Je n’y songeais plus toute occupée par ailleurs,mais son os a dû ressentir un léger frisson…avant -coureur…
Ma foi…gardez celà de côté…mais effectivement…je vois un petit quelque chose que notre chère Gertrude pourrait avoir détecté…Je n’y songeais plus toute occupée par ailleurs,mais son os a dû ressentir un léger frisson…avant -coureur…
Là, je ne suis plus…
Là, je ne suis plus…
La date limite de consommation de ce petit canapé est largement dépassée, je vais donc voir la tronche des cacahuètes pour accompagner mon Champagne
LIJCA
Les sofas croient toujours avoir de l’esprit,
Ils sont pénibles,
Je préfère les cantous qui parlent en roulant les « R »
Comme dans » Roucoulade sur la route rurale «
Ainsi parlait Sarah Fouchtra
La date limite de consommation de ce petit canapé est largement dépassée, je vais donc voir la tronche des cacahuètes pour accompagner mon Champagne
LIJCA
Les sofas croient toujours avoir de l’esprit,
Ils sont pénibles,
Je préfère les cantous qui parlent en roulant les « R »
Comme dans » Roucoulade sur la route rurale «
Ainsi parlait Sarah Fouchtra