24 réflexions sur « Aseptie symphonie. »

  1. À propos de relique, Le Capitaine s’est lancée dans l’entreprise la plus folle, celle de faire naviguer son étagère!

     

    Vous la verrez bientôt poindre à l’horizon! 🙂

  2. À propos de relique, Le Capitaine s’est lancée dans l’entreprise la plus folle, celle de faire naviguer son étagère!

     

    Vous la verrez bientôt poindre à l’horizon! 🙂

  3. Saint Phony, priez pour nous !

    Le bienheureux Saint Phony fut benoitement canonisé pour sa contribution colossale à l’implantation de centres de tri hospitaliers. Connu aujourd’hui dans le monde entier pour son humble simplicité, cet homme modeste ne faisait pas dans la dentelle.  Né à St-Glinglin (il fut surnommé Glinglin dans sa jeunesse) de père et de mère inconnus, il était le huitième de leurs quatorze enfants. Etant pauvres, ils se nourrissaient exclusivement des déchets jonchant la chaussée face à la morgue. Mais le petit Glinglin avait l’estomac fort fragile et devait trier méthodiquement sa nourriture. De nature enjouée, il faisait preuve d’un grand courage et jamais ne se plaignait. A 18 ans il partit sur les chemins et découvrit l’Amérique et ses belles Cadillac chromées à pédales. Il décida de les copier/coller mais n’arriva jamais à leur donner les mêmes lignes élégantes et aérodynamiques. Elles ressemblaient à de vulgaires boîtes cylindriques. Alors il s’en débarrassa et les jeta parmi les déchets jonchant la chaussée face à la morgue qui l’avait vu grandir. Conscient toutefois d’avoir péché par vanité, il décida de faire pénitence et se mit à trier et à répartir dans ses Cadillac ratées tous les déchets qui jonchaient dans le but de venir en aide aux enfants pauvres sommés de trier les déchets jonchés pour manger. Cet immense élan de dévouement et d’abnégation devint l’objet d’une vénération et d’un culte qui se perpétue encore de nos jours…

  4. Saint Phony, priez pour nous !

    Le bienheureux Saint Phony fut benoitement canonisé pour sa contribution colossale à l’implantation de centres de tri hospitaliers. Connu aujourd’hui dans le monde entier pour son humble simplicité, cet homme modeste ne faisait pas dans la dentelle.  Né à St-Glinglin (il fut surnommé Glinglin dans sa jeunesse) de père et de mère inconnus, il était le huitième de leurs quatorze enfants. Etant pauvres, ils se nourrissaient exclusivement des déchets jonchant la chaussée face à la morgue. Mais le petit Glinglin avait l’estomac fort fragile et devait trier méthodiquement sa nourriture. De nature enjouée, il faisait preuve d’un grand courage et jamais ne se plaignait. A 18 ans il partit sur les chemins et découvrit l’Amérique et ses belles Cadillac chromées à pédales. Il décida de les copier/coller mais n’arriva jamais à leur donner les mêmes lignes élégantes et aérodynamiques. Elles ressemblaient à de vulgaires boîtes cylindriques. Alors il s’en débarrassa et les jeta parmi les déchets jonchant la chaussée face à la morgue qui l’avait vu grandir. Conscient toutefois d’avoir péché par vanité, il décida de faire pénitence et se mit à trier et à répartir dans ses Cadillac ratées tous les déchets qui jonchaient dans le but de venir en aide aux enfants pauvres sommés de trier les déchets jonchés pour manger. Cet immense élan de dévouement et d’abnégation devint l’objet d’une vénération et d’un culte qui se perpétue encore de nos jours…

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