27 réflexions sur « Aux trois canards. »

  1. Un grand « SPLASH »

    (Hommage à David Hockney, Sandro Botticelli et Edith Piaf)

    Le grand plongeon…

    Ou peut-être l’émergence,

    la naissance de Venus au sein de l’écume blanche

    glougloutante,

    spiralante,

    fusante,

    érotisante.

    Ou peut-être l’éruption,

    la forge de Vulcain,

    une lave brûlante,

    bouillonnante,

    fusante,

    érotisante.

    Le grand plongeon dans la foule

    qui nous pousse vers la sortie,

    la foule refoulante,

    déferlante,

    perlante,

    parlante,

    blablatante,

    blablabla,

    lalala,

    las !

    La grande peur,

    peur du plein,

    peur du vide,

    peur du sang,

    peur du non-sens,

    peur de la foule,

    peur de la folle,

    peur de la folie.

    Un grand verre,

    glouglouglou,

    la tasse…

    agaçante,

    étouffante,

    ahanante,

    érotisante.

    A grandes eaux, des pleurs, des larmes, des joies.

    Un nouveau jour émergera.

  2. J’ai ouvert la porte de votre boudoir, hier soir! Laissez-moi remettre ma coiffure et mes idées en place tant j’ai été soufflée par cette débauche de poésie et de musique; laissez moi le temps de m’y retrouver et de trouver quelque chose de pertinent, du moins de pas trop piètre à dire sous tant de splendeur.

  3. Moi non plus et les canards laquais sont parfois indigestes. Je préféère les poules d’os ou les veaux d’eau. 

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