22 réflexions sur « C’est ici que je veux vivre. »
Le crâne dans la vallée.
Et la tête dans les nuages.
Le nez en l’air et dans le vent.
Oh! là là là…
Ah… Le Lys dans la vallée! Mille excuses… Mais tout est possible!
Comme vous dites… La crâneuse ne rajeunit pas…
Que fera un Crâne dans ce paysage ????
Rouler sans amasser mousse.
Le Crâne ne tourne pas rond !
Cela lui permet de rebondir sur toute aspérité et de s’adapter aux accidents de terrain!
Effectivement vous êtes avisée ! ( à viser le champ …hum !…)
Tout est prévu ou presque car rien ne sera laissé au hasard ou presque.
Elle pense aux petites routes de la Creuse, aux chemins creux, aux chênes, aux châtaigniers, aux champignons, aux bords du lac, ces petites routes sinueuses, gracieuses, sauvages, désertes, les arbres, le ciel, l’air pur, la rosée, les odeurs de terres, d’herbes, de foin, de lait, de bouse, de petits matins frisquets, les couleurs des saisons, des rayons printaniers, de la pluie, des fruits et des baies, des digitales, des coquelicots et des bleuets, les bruits étouffés, lointains, un chien jappe, une vache rumine, une poule glousse, des cris de bonheur dans le pré, l’heure de la traite, faire manger les bêtes, aller chercher les œufs, retourner les fromages, et regarder très loin, le soleil au bout du champ, l’horizon tout là-bas, au volant de sa 2CV, l’espace sans fin… elle se souvient.
Vous avez déjà un nom approprié!
C’est tout à fait ça ma soeur Anne; comment savez-vous que j’ai eu une deuche pendant vingt ans?
Toute ressemblance avec des personnages ou des faits réels ne peut être que fortuite.
Tout est fortuit mais rien ne sera laissé au hasard.
Si ce n’est pas Vanité…
et le nez dans le lys… ?
J’avais donc divagué en imaginant que Gertrude la tourangelle était peut-être le crâne de Madame de Mortsauf !
Moi aussi, je voudrais bien vivre là entourée de vaches et de crânes!
A la belle énumération bucolique de votre soeur ne manque que les marguerites ou humbles pâquerettes. Cela dit je comprends cette omission car l’image aux trois couleurs aurait risqué déraper vers une douce France pas si douce.
Le crâne dans la vallée.
Et la tête dans les nuages.
Le nez en l’air et dans le vent.
Oh! là là là…
Ah… Le Lys dans la vallée! Mille excuses… Mais tout est possible!
Comme vous dites… La crâneuse ne rajeunit pas…
Que fera un Crâne dans ce paysage ????
Rouler sans amasser mousse.
Le Crâne ne tourne pas rond !
Cela lui permet de rebondir sur toute aspérité et de s’adapter aux accidents de terrain!
Effectivement vous êtes avisée ! ( à viser le champ …hum !…)
Tout est prévu ou presque car rien ne sera laissé au hasard ou presque.
Elle pense aux petites routes de la Creuse, aux chemins creux, aux chênes, aux châtaigniers, aux champignons, aux bords du lac, ces petites routes sinueuses, gracieuses, sauvages, désertes, les arbres, le ciel, l’air pur, la rosée, les odeurs de terres, d’herbes, de foin, de lait, de bouse, de petits matins frisquets, les couleurs des saisons, des rayons printaniers, de la pluie, des fruits et des baies, des digitales, des coquelicots et des bleuets, les bruits étouffés, lointains, un chien jappe, une vache rumine, une poule glousse, des cris de bonheur dans le pré, l’heure de la traite, faire manger les bêtes, aller chercher les œufs, retourner les fromages, et regarder très loin, le soleil au bout du champ, l’horizon tout là-bas, au volant de sa 2CV, l’espace sans fin… elle se souvient.
Vous avez déjà un nom approprié!
C’est tout à fait ça ma soeur Anne; comment savez-vous que j’ai eu une deuche pendant vingt ans?
Toute ressemblance avec des personnages ou des faits réels ne peut être que fortuite.
Tout est fortuit mais rien ne sera laissé au hasard.
Si ce n’est pas Vanité…
et le nez dans le lys… ?
J’avais donc divagué en imaginant que Gertrude la tourangelle était peut-être le crâne de Madame de Mortsauf !
Moi aussi, je voudrais bien vivre là entourée de vaches et de crânes!
A la belle énumération bucolique de votre soeur ne manque que les marguerites ou humbles pâquerettes. Cela dit je comprends cette omission car l’image aux trois couleurs aurait risqué déraper vers une douce France pas si douce.