« Assissur mon banc,j’écoute les codes « Et ce magistrat,sous sa toge, austère « Qui guigne la dame aux yeux de panthère, « Au corsage orné de géodes ». (Ch.Cros)
Dieu ,n’est-t-il pas le Magistrat de ces lieux de chaises?…Et l’église cette pagode où on récite des odes 🙂 comme l’aurait dit l’humour croquant des crocs de Cros?
Ce magistrat austère est donc en apnée dans le décolleté plongeant d’une panthère..
Il ne faut pas oublier que les églises sont des lieux de confession!
???……..!!!!Il fait sombrement confus dans les églises….
Armengol…voyons! …et la mule du Pape?….C’est trop sérieux ici…Vous allez prendre une bulle!….
Deum de Deo lumen de lûmine, Deu verum de Deovero . Genitum ,nonfactum ,consustantiàlem Patri : per quem ômnia facta sunt, qui propter nos homines propter nostram salûtem descéndit de caelis.Amen…
à quand la peste?
Et oui!
C’est pas très éclairé..
Je sers l’aube qui naît, toi le soir mutiné, Lorsque de l’Océan l’adultère obstiné, Jamais ne veut tourner à l’Orient sa face.
L’Hécatombe à Diane
C’est qui Gertrude?
Blurp…
Oula, les églises cela vous fait un de ces effets!
Bubonique, s’il vous plait..
Vous voulez m’envoyer quelque chose, cher Armand?
…La foi soulève bien des montagnes, alors pourquoi pas des pieds de chaise!…
…La photo est très « claire » et « obscure »…et elle me plait…
Elles ne sont pas encore collées au plafond.
Vous savez ce que signifie l’obscurité dans une église.
…pour ne pas voir les chaises collées au plafond!…Cela jurerait trop par rapport à la déco…et comme dans une église, il vaut mieux ne pas jurer…c’est pour cela que le clair-obscur fut créé…Non? le Caravage ne me contredirait pas, lui, le fameux décorateur de papier peint éclairé à la bougie!…
Vous êtes encore plein d’illusions, jeune homme.
sacré Armand !
Armengol comme veau Marengo d’Agen au benzène, je suis la réincarnation de Luis Mariano, Armand de Nice, oula la ! j’crois qu’Gertrude l’aime pas, j’accumule les mules donc, le cul sur une chaise, bien sage.
Agrippa d’Aubigné
J’ouvre mon estomac, une tombe sanglante De maux ensevelis. Pour Dieu, tourne tes yeux, Diane, et vois au fond mon coeur parti en deux, Et mes poumons gravés d’une ardeur violente,
Vois mon sang écumeux tout noirci par la flamme, Mes os secs de langueurs en pitoyable point Mais considère aussi ce que tu ne vois point, Le reste des malheurs qui saccagent mon âme.
Tu me brûles et au four de ma flamme meurtrière Tu chauffes ta froideur : tes délicates mains Attisent mon brasier et tes yeux inhumains Pleurent, non de pitié, mais flambants de colère.
À ce feu dévorant de ton ire allumée Ton oeil enflé gémit, tu pleures à ma mort, Mais ce n’est pas mon mal qui te déplait si fort Rien n’attendrit tes yeux que mon aigre fumée.
Au moins après ma fin que ton âme apaisée Brûlant le coeur, le corps, hostie à ton courroux, Prenne sur mon esprit un supplice plus doux, Étant d’ire en ma vie en un coup épuisée.
Donc en « Cour d’assise »….!!!
« Assissur mon banc,j’écoute les codes
« Et ce magistrat,sous sa toge, austère
« Qui guigne la dame aux yeux de panthère,
« Au corsage orné de géodes ». (Ch.Cros)
Dieu ,n’est-t-il pas le Magistrat de ces lieux de chaises?…Et l’église cette pagode où on récite des odes 🙂 comme l’aurait dit l’humour croquant des crocs de Cros?
Ce magistrat austère est donc en apnée dans le décolleté plongeant d’une panthère..
Il ne faut pas oublier que les églises sont des lieux de confession!
???……..!!!!Il fait sombrement confus dans les églises….
Armengol…voyons! …et la mule du Pape?….C’est trop sérieux ici…Vous allez prendre une bulle!….
Deum de Deo lumen de lûmine, Deu verum de Deovero . Genitum ,nonfactum ,consustantiàlem Patri : per quem ômnia facta sunt, qui propter nos homines propter nostram salûtem descéndit de caelis.Amen…
à quand la peste?
Et oui!
C’est pas très éclairé..
Je sers l’aube qui naît, toi le soir mutiné,
Lorsque de l’Océan l’adultère obstiné,
Jamais ne veut tourner à l’Orient sa face.
L’Hécatombe à Diane
C’est qui Gertrude?
Blurp…
Oula, les églises cela vous fait un de ces effets!
Bubonique, s’il vous plait..
Vous voulez m’envoyer quelque chose, cher Armand?
…La foi soulève bien des montagnes, alors pourquoi pas des pieds de chaise!…
…La photo est très « claire » et « obscure »…et elle me plait…
Elles ne sont pas encore collées au plafond.
Vous savez ce que signifie l’obscurité dans une église.
…pour ne pas voir les chaises collées au plafond!…Cela jurerait trop par rapport à la déco…et comme dans une église, il vaut mieux ne pas jurer…c’est pour cela que le clair-obscur fut créé…Non? le Caravage ne me contredirait pas, lui, le fameux décorateur de papier peint éclairé à la bougie!…
Vous êtes encore plein d’illusions, jeune homme.
sacré Armand !
Armengol comme veau Marengo d’Agen au benzène,
je suis la réincarnation de Luis Mariano,
Armand de Nice, oula la ! j’crois qu’Gertrude l’aime pas,
j’accumule les mules donc, le cul sur une chaise, bien sage.
Agrippa d’Aubigné
J’ouvre mon estomac, une tombe sanglante
De maux ensevelis. Pour Dieu, tourne tes yeux,
Diane, et vois au fond mon coeur parti en deux,
Et mes poumons gravés d’une ardeur violente,
Vois mon sang écumeux tout noirci par la flamme,
Mes os secs de langueurs en pitoyable point
Mais considère aussi ce que tu ne vois point,
Le reste des malheurs qui saccagent mon âme.
Tu me brûles et au four de ma flamme meurtrière
Tu chauffes ta froideur : tes délicates mains
Attisent mon brasier et tes yeux inhumains
Pleurent, non de pitié, mais flambants de colère.
À ce feu dévorant de ton ire allumée
Ton oeil enflé gémit, tu pleures à ma mort,
Mais ce n’est pas mon mal qui te déplait si fort
Rien n’attendrit tes yeux que mon aigre fumée.
Au moins après ma fin que ton âme apaisée
Brûlant le coeur, le corps, hostie à ton courroux,
Prenne sur mon esprit un supplice plus doux,
Étant d’ire en ma vie en un coup épuisée.
Vous vouliez parler de la poste sans doute ?