156 réflexions sur « La photo du samedi. »

  43. Il parait qu’il y a plusieurs trous (ne voyez rien là de déplacé) dans son bled, même qu’il y en aurait quelques 83 en sommeil prêts à se réveiller; même qu’ils cracheraient du feu. De quoi faire quelques pouffes allumées, si j’ose dire.

    Bon, maintenant, j’ai dit « plouffer » et non « pouffer ».

  44. Il parait qu’il y a plusieurs trous (ne voyez rien là de déplacé) dans son bled, même qu’il y en aurait quelques 83 en sommeil prêts à se réveiller; même qu’ils cracheraient du feu. De quoi faire quelques pouffes allumées, si j’ose dire.

    Bon, maintenant, j’ai dit « plouffer » et non « pouffer ».

  45. Il parait qu’il y a plusieurs trous (ne voyez rien là de déplacé) dans son bled, même qu’il y en aurait quelques 83 en sommeil prêts à se réveiller; même qu’ils cracheraient du feu. De quoi faire quelques pouffes allumées, si j’ose dire.

    Bon, maintenant, j’ai dit « plouffer » et non « pouffer ».

  88. … »Réflexion balconéaire » plutôt… Il y en a qui pousse le vice à choisir la couleur de la voiture en fonction du lieu où ils se garent…Quoique, les lignes automobiles actuelles sont tellement hideuses que c’est plutôt une bonne idée!…

  89. … »Réflexion balconéaire » plutôt… Il y en a qui pousse le vice à choisir la couleur de la voiture en fonction du lieu où ils se garent…Quoique, les lignes automobiles actuelles sont tellement hideuses que c’est plutôt une bonne idée!…

  90. … »Réflexion balconéaire » plutôt… Il y en a qui pousse le vice à choisir la couleur de la voiture en fonction du lieu où ils se garent…Quoique, les lignes automobiles actuelles sont tellement hideuses que c’est plutôt une bonne idée!…

  107. Coupez moi ces putains de pins qu’on puisse voir la mer, monter jusqu’ici pour ça !

  108. traversent n’importe où ces idiots de touristes à vélos, après viendront pleurer car leur gamine n’est coincée sous la rue du bus et après mettrons la Mairie et ce pauvre chauffeur déjà mal payé,  au Tribunal !!

  113. J’ai moi-même une voisine un peu « jetée » que j’irai bien noyer derrière les pins lors d’une promenade

  114. Il ne manque plus qu’une paire de jumelle pour voir qui va venir s’asseoir en bas prendre le thé …:)

  116.     Bobèche, adieu ! bonsoir, Paillasse ! arrière, Gille !
        Place, bouffons vieillis, au parfait plaisantin,
        Place ! très grave, très discret et très hautain,
        Voici venir le maître à tous, le clown agile

  120. En URSS dans les années 70, un responsable d’une usine de balcons préfabriqués décida de dépasser le plan afin de bien se faire noter par la direction du PC régional. Alors que l’usine de production de logements s’en tenait péniblement à suivre le plan, les balcons sortaient de l’usine en surproduction  et ceci jusqu’ à ne plus pouvoir les stocker. On décida donc de poser les balcons bétons sur des pignons d’immeubles sans ouverture.

  121. ça doit être qq chose les charges communes, les haies et le gazon sont coupés de frais.

    dans l’voisinage ça doit pas supporter les arbres paccarés & parons, sinon c’est l’bronx

  124. Coupez moi ces putains de pins qu’on puisse voir la mer, monter jusqu’ici pour ça !

  125. traversent n’importe où ces idiots de touristes à vélos, après viendront pleurer car leur gamine n’est coincée sous la rue du bus et après mettrons la Mairie et ce pauvre chauffeur déjà mal payé,  au Tribunal !!

  130. J’ai moi-même une voisine un peu « jetée » que j’irai bien noyer derrière les pins lors d’une promenade

  131. Il ne manque plus qu’une paire de jumelle pour voir qui va venir s’asseoir en bas prendre le thé …:)

  133.     Bobèche, adieu ! bonsoir, Paillasse ! arrière, Gille !
        Place, bouffons vieillis, au parfait plaisantin,
        Place ! très grave, très discret et très hautain,
        Voici venir le maître à tous, le clown agile

  137. En URSS dans les années 70, un responsable d’une usine de balcons préfabriqués décida de dépasser le plan afin de bien se faire noter par la direction du PC régional. Alors que l’usine de production de logements s’en tenait péniblement à suivre le plan, les balcons sortaient de l’usine en surproduction  et ceci jusqu’ à ne plus pouvoir les stocker. On décida donc de poser les balcons bétons sur des pignons d’immeubles sans ouverture.

  138. ça doit être qq chose les charges communes, les haies et le gazon sont coupés de frais.

    dans l’voisinage ça doit pas supporter les arbres paccarés & parons, sinon c’est l’bronx

  141. Coupez moi ces putains de pins qu’on puisse voir la mer, monter jusqu’ici pour ça !

  142. traversent n’importe où ces idiots de touristes à vélos, après viendront pleurer car leur gamine n’est coincée sous la rue du bus et après mettrons la Mairie et ce pauvre chauffeur déjà mal payé,  au Tribunal !!

  147. J’ai moi-même une voisine un peu « jetée » que j’irai bien noyer derrière les pins lors d’une promenade

  148. Il ne manque plus qu’une paire de jumelle pour voir qui va venir s’asseoir en bas prendre le thé …:)

  150.     Bobèche, adieu ! bonsoir, Paillasse ! arrière, Gille !
        Place, bouffons vieillis, au parfait plaisantin,
        Place ! très grave, très discret et très hautain,
        Voici venir le maître à tous, le clown agile

  154. En URSS dans les années 70, un responsable d’une usine de balcons préfabriqués décida de dépasser le plan afin de bien se faire noter par la direction du PC régional. Alors que l’usine de production de logements s’en tenait péniblement à suivre le plan, les balcons sortaient de l’usine en surproduction  et ceci jusqu’ à ne plus pouvoir les stocker. On décida donc de poser les balcons bétons sur des pignons d’immeubles sans ouverture.

  155. ça doit être qq chose les charges communes, les haies et le gazon sont coupés de frais.

    dans l’voisinage ça doit pas supporter les arbres paccarés & parons, sinon c’est l’bronx

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