12 réflexions sur « Temps clair, vent léger. »

  1. Enfin une percée, de la lumière et une légère brise : idéal pour appareiller et laisser les mots laids au repos.

  2.  La Nymphe auguste allait vers son grand cœur d’Ulysse, toute prête à céder au message de Zeus. Quand elle le trouva, il était sur le cap, toujours assis, les yeux toujours baignés de larmes, perdant la douce vie à pleurer le retour. C’est qu’il ne goûtait plus les charmes de la Nymphe ! La nuit, il fallait bien qu’il rentrât auprès d’elle, au creux de ses cavernes : il n’aurait pas voulu ; c’est elle qui voulait ! Mais il passait les jours, assis aux rocs des grèves, promenant ses regards sur la mer inféconde et répandant des larmes.

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