30 réflexions sur « Tensions de tapis. »

  1. Je pourrais vous accuser de terrorisme, à savoir muni de l’intention préméditée de me donner une crise de foi, mais comme Clémence est de toute manière définitivement sans foi ni loi…

  2. ……………………..je vois……………………………………………. Eh! bien ,la chiatique doit être guérie !!!!

  3. Mes chers amis,
    Toutes les familles de France veulent pour leurs enfants ce qu’il y a de mieux. Toutes les familles de France veulent que leurs enfants soient éduqués, soient instruits. Elles veulent pouvoir leur dire, comme nos parents et nos grands-parents nous l’ont dit jadis : « Travaillez bien à l’école et vous aurez une vie meilleure. Travaillez bien à l’école et vous serez libres, libres de choisir la vie que vous voulez, libres de devenir ce que vous souhaitez, libres de réaliser vos rêves ». C’est par le travail qu’on devient libre. C’est l’absence de travail qui est une aliénation.
    Cette France, elle veut qu’on l’aide, qu’on l’aide à faire de ses enfants des adultes, des adultes armés pour affronter les épreuves de l’existence. C’est à cette France qui met tous ses espoirs dans l’école que je suis venu parler. Cette France, mes chers amis, c’est vous, vous tous qui voulez le bonheur de vos enfants et qui voulez que ce bonheur soit au fond plus grand que le vôtre.
    Je mesure votre frustration devant les défaillances de l’école. Je vois votre souffrance à chaque fois que l’école échoue à donner à vos enfants ce dont vous rêvez pour eux. Je vois la souffrance des enfants qui sont malheureux dans une école que l’on n’a pas réussi à leur faire aimer. Mais je vois aussi la souffrance des professeurs en manque de reconnaissance pour la tâche difficile qu’ils accomplissent, eux qui ont si souvent, les professeurs, le sentiment de faire un autre métier que celui qu’ils avaient choisi et auquel ils s’étaient préparés.
    Je veux répondre à cette triple souffrance : celle des parents, celle des élèves, celle des professeurs. À ceux pour lesquels l’école ne serait qu’une affaire de statuts, à ceux qui ne voient l’école qu’à travers le prisme du corporatisme, je veux affirmer cette idée sur laquelle je ne transigerai pas : l’école, c’est l’affaire de tous. Ce n’est pas l’affaire d’une corporation, ni d’un statut. Nous avons tous le droit de dire notre conviction sur l’école de la France.
    L’école est au cœur de la République. L’école est un bien commun. Le rôle des enseignants est capital. Le rôle de leurs représentants est important. Mais l’école appartient d’abord à toutes les familles de France qui lui confient leurs enfants. Et ces familles ne veulent pas qu’on leur confisque le droit de prendre la parole sur le devenir de l’école de leurs enfants.
    Montpellier le 28/02/2012
    NS
  4. Après cette digression veaumitive, il serait bon de se remettre à filer la laine, vous ne trouvez pas?

  5. Vous avez raison. remettons nous à nos travaux pénélopiens : soyons patientes, insistantes et résistantes. J’aime repriser la toile de nos conversations en fil à fil. La chaîne ne se rompt jamais même si parfois la trame se mite.

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