114 réflexions sur « Mouches à noir. »

  1. Ce serait probablement beaucoup mieux…
    Je suis montée au sixième étage du Centre, pensant que l’accumulation de ces tableaux seraient impressionante et ferait « muraille » à mon regard. Mais c’était juste pour me confirmer encore une fois que la peinture de Soulages ne suscitait chez moi aucune émotion, que cette oeuvre noire n’était décidément pas « oeuvre au noir » pour moi..
    Mais cette ascension m’a permis de visiter dans la galerie adjacente, une expo complètement géniale que jusqu’alors j’avais négligée, « La subversion des images ».

  2. Ce serait probablement beaucoup mieux…
    Je suis montée au sixième étage du Centre, pensant que l’accumulation de ces tableaux seraient impressionante et ferait « muraille » à mon regard. Mais c’était juste pour me confirmer encore une fois que la peinture de Soulages ne suscitait chez moi aucune émotion, que cette oeuvre noire n’était décidément pas « oeuvre au noir » pour moi..
    Mais cette ascension m’a permis de visiter dans la galerie adjacente, une expo complètement géniale que jusqu’alors j’avais négligée, « La subversion des images ».

  3. Ce serait probablement beaucoup mieux…
    Je suis montée au sixième étage du Centre, pensant que l’accumulation de ces tableaux seraient impressionante et ferait « muraille » à mon regard. Mais c’était juste pour me confirmer encore une fois que la peinture de Soulages ne suscitait chez moi aucune émotion, que cette oeuvre noire n’était décidément pas « oeuvre au noir » pour moi..
    Mais cette ascension m’a permis de visiter dans la galerie adjacente, une expo complètement géniale que jusqu’alors j’avais négligée, « La subversion des images ».

  4. Je suis partagée entre l’envie de dire: « Tant mieux » ou celle de vous signifier d’arréter de vous payer ma poire…

    Tout ce que je sais c’est que le très peu de culture que je possède n’est pas wilkipédestre et que je crois aux chemins pédestres du hasard et des champs magnétiques…

    Mais moquez vous, moquez vous, sale Moujik, je m’en balance aux tringles à rideaux.

  5. Je suis partagée entre l’envie de dire: « Tant mieux » ou celle de vous signifier d’arréter de vous payer ma poire…

    Tout ce que je sais c’est que le très peu de culture que je possède n’est pas wilkipédestre et que je crois aux chemins pédestres du hasard et des champs magnétiques…

    Mais moquez vous, moquez vous, sale Moujik, je m’en balance aux tringles à rideaux.

  6. Je suis partagée entre l’envie de dire: « Tant mieux » ou celle de vous signifier d’arréter de vous payer ma poire…

    Tout ce que je sais c’est que le très peu de culture que je possède n’est pas wilkipédestre et que je crois aux chemins pédestres du hasard et des champs magnétiques…

    Mais moquez vous, moquez vous, sale Moujik, je m’en balance aux tringles à rideaux.

  7. Hélas…
    Comme je l’écris à Maitre Low plus haut j’ai eu beau dilater mes narines le fumet de ce brouet noir n’est pas venu jusqu’à moi…
    J’y étais le premier jour et j’ai été déçue par la petitesse de l’essaim à côté du battage médiatique..
    Mais j’adore toujours monter au sixième ciel du Centre qui est un peu comme ma deuxième maison… 🙂

    Petite satisfaction: j’ai volé la photo dans ce lieu trés fliqué…

  8. Hélas…
    Comme je l’écris à Maitre Low plus haut j’ai eu beau dilater mes narines le fumet de ce brouet noir n’est pas venu jusqu’à moi…
    J’y étais le premier jour et j’ai été déçue par la petitesse de l’essaim à côté du battage médiatique..
    Mais j’adore toujours monter au sixième ciel du Centre qui est un peu comme ma deuxième maison… 🙂

    Petite satisfaction: j’ai volé la photo dans ce lieu trés fliqué…

  9. Hélas…
    Comme je l’écris à Maitre Low plus haut j’ai eu beau dilater mes narines le fumet de ce brouet noir n’est pas venu jusqu’à moi…
    J’y étais le premier jour et j’ai été déçue par la petitesse de l’essaim à côté du battage médiatique..
    Mais j’adore toujours monter au sixième ciel du Centre qui est un peu comme ma deuxième maison… 🙂

    Petite satisfaction: j’ai volé la photo dans ce lieu trés fliqué…

  10. Cela devient une addiction inquiétante…
    Plutôt je trouve de plus en plus d’inquiétante étrangeté dans ces assemblages de photons qui disent à chaque fois un temps donné à un lieu donné.

  11. Cela devient une addiction inquiétante…
    Plutôt je trouve de plus en plus d’inquiétante étrangeté dans ces assemblages de photons qui disent à chaque fois un temps donné à un lieu donné.

  12. Cela devient une addiction inquiétante…
    Plutôt je trouve de plus en plus d’inquiétante étrangeté dans ces assemblages de photons qui disent à chaque fois un temps donné à un lieu donné.

  13.  

    Merci de votre passage, mais je ne suis pas vraiment d’accord . Il me semble qu’en art il y a toujours concept même de la part d’un vieux con de droite formaliste ; car même si Pierre Soulages n’est pas, à mon avis, le « plus » grand peintre français vivant comme nous le matraquent les médias, il n’en est pas moins peintre ; et la peinture, du moment que l’on choisit de la sortir du pot ou du tube pour l’assembler quelque part dans un acte artistique, devient concept rien que dans ce choix, même si elle est très proche du ready-made dans une intervention minimum ; (Duchamp a bien dit que la couleur sortie du tube pouvait être ready-made au même titre que l’urinoir ou le porte bouteille.)

    Ainsi faire le choix de travailler le noir en ne s’attachant qu’aux effets de la lumière sur la surface de la matière peinture est un choix conceptuel .

    Mais en ce qui concerne l’émotion que l’on éprouve ou pas devant une œuvre c’est, bien sur, affaire de subjectivité.. dont on ne discute pas.  🙂

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  14.  

    Merci de votre passage, mais je ne suis pas vraiment d’accord . Il me semble qu’en art il y a toujours concept même de la part d’un vieux con de droite formaliste ; car même si Pierre Soulages n’est pas, à mon avis, le « plus » grand peintre français vivant comme nous le matraquent les médias, il n’en est pas moins peintre ; et la peinture, du moment que l’on choisit de la sortir du pot ou du tube pour l’assembler quelque part dans un acte artistique, devient concept rien que dans ce choix, même si elle est très proche du ready-made dans une intervention minimum ; (Duchamp a bien dit que la couleur sortie du tube pouvait être ready-made au même titre que l’urinoir ou le porte bouteille.)

    Ainsi faire le choix de travailler le noir en ne s’attachant qu’aux effets de la lumière sur la surface de la matière peinture est un choix conceptuel .

    Mais en ce qui concerne l’émotion que l’on éprouve ou pas devant une œuvre c’est, bien sur, affaire de subjectivité.. dont on ne discute pas.  🙂

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  15.  

    Merci de votre passage, mais je ne suis pas vraiment d’accord . Il me semble qu’en art il y a toujours concept même de la part d’un vieux con de droite formaliste ; car même si Pierre Soulages n’est pas, à mon avis, le « plus » grand peintre français vivant comme nous le matraquent les médias, il n’en est pas moins peintre ; et la peinture, du moment que l’on choisit de la sortir du pot ou du tube pour l’assembler quelque part dans un acte artistique, devient concept rien que dans ce choix, même si elle est très proche du ready-made dans une intervention minimum ; (Duchamp a bien dit que la couleur sortie du tube pouvait être ready-made au même titre que l’urinoir ou le porte bouteille.)

    Ainsi faire le choix de travailler le noir en ne s’attachant qu’aux effets de la lumière sur la surface de la matière peinture est un choix conceptuel .

    Mais en ce qui concerne l’émotion que l’on éprouve ou pas devant une œuvre c’est, bien sur, affaire de subjectivité.. dont on ne discute pas.  🙂

    <meta name= »Titre »> <meta name= »Mots clés »> <meta http-equiv= »Content-Type » content= »text/html; charset=utf-8″> <meta name= »ProgId » content= »Word.Document »> <meta name= »Generator » content= »Microsoft Word 10″> <meta name= »Originator » content= »Microsoft Word 10″> <link rel= »File-List » href= »file:///Users/didiervermandel/Library/Preferences/Microsoft/Presse-papiers/msoclip1/01/clip_clip_filelist.xml »>

  16. Pourquoi nous imposer ça ? Je me suis déjà retrouvé devant des trucs noirs en séries (trop nombreuses)aux Abattoirs à Toulouse en 1999 ou 2000. Une fois ça suffit.

  17. Ha ! Quelle culture  vous avez ! Vous faites référence au rideau « Le Minotaure » peint pas Picasso et qui effectivement se trouve aux Abattoirs à Toulouse !!!!

    Clémence, vous ne l’avez pas fait exprès mais des fois vous faites des remarques d’une grande culture. 

  18. Il ne fallait pas aller voir les Soulages au 1er mais « Fontaine » de Duduche au 2ème !

  19. LA NUIT

    La nuit chemine sans relâche,
    Et peu à peu s’estompe,
    Tandis qu’au-dessus du monde endormi
    Le pilote se perd parmi les nuages.

    Il s’est noyé dans le brouillard
    Et dans ses vagues a disparu:
    C’est une croix sur une trame,
    C’est une marque sur un linge.
     
    Au-dessous de lui, des bars nocturnes,
    Des villes étrangères inconnues,
    Des casernes, des chauffeurs de locomotive,
    Des gares, des rails et des rues.

    De toute sa longueur sur le nuage
    L’ombre de l’aile s’allonge
    Et voguent les essaims
    Des astres vagabonds.

    Vers le vertige et vers l’effroi,
    Vers des espaces inédits,
    Vers mille univers inconnus,
    Regarde la Voie Lactée.

    Dans l’espace infini,
    Se consument des continents.
    Dans les sous-sols et dans les soutes,
    Veillent les gens de chaufferie.

    A Paris, au bas des toits,
    Vénus, – ou est-ce Mars ?
    Recherche sur les murs
    L’affiche d’une nouvelle farce.

    Et celui qui ne peut trouver le sommeil
    En cet horizon merveilleux,
    Sous les tuiles du toit,
    Seul dans sa vieille mansarde,

    Contemple la planète
    Comme si le firmament
    Avait quelque rapport
    Avec son nocturne tourment.

    Va, ne dors pas, travaille !
    N’interromps pas ta tâche !
    Ne dors pas, lutte contre le sommeil
    Comme le pilote contre l’étoile.

    Artiste, ne dors pas !
    Ne t’abandonne pas au sommeil !

     Tu es l’otage de l’éternité
    Que le temps retient captif.

  20. Pourquoi nous imposer ça ? Je me suis déjà retrouvé devant des trucs noirs en séries (trop nombreuses)aux Abattoirs à Toulouse en 1999 ou 2000. Une fois ça suffit.

  21. Ha ! Quelle culture  vous avez ! Vous faites référence au rideau « Le Minotaure » peint pas Picasso et qui effectivement se trouve aux Abattoirs à Toulouse !!!!

    Clémence, vous ne l’avez pas fait exprès mais des fois vous faites des remarques d’une grande culture. 

  22. Il ne fallait pas aller voir les Soulages au 1er mais « Fontaine » de Duduche au 2ème !

  23. LA NUIT

    La nuit chemine sans relâche,
    Et peu à peu s’estompe,
    Tandis qu’au-dessus du monde endormi
    Le pilote se perd parmi les nuages.

    Il s’est noyé dans le brouillard
    Et dans ses vagues a disparu:
    C’est une croix sur une trame,
    C’est une marque sur un linge.
     
    Au-dessous de lui, des bars nocturnes,
    Des villes étrangères inconnues,
    Des casernes, des chauffeurs de locomotive,
    Des gares, des rails et des rues.

    De toute sa longueur sur le nuage
    L’ombre de l’aile s’allonge
    Et voguent les essaims
    Des astres vagabonds.

    Vers le vertige et vers l’effroi,
    Vers des espaces inédits,
    Vers mille univers inconnus,
    Regarde la Voie Lactée.

    Dans l’espace infini,
    Se consument des continents.
    Dans les sous-sols et dans les soutes,
    Veillent les gens de chaufferie.

    A Paris, au bas des toits,
    Vénus, – ou est-ce Mars ?
    Recherche sur les murs
    L’affiche d’une nouvelle farce.

    Et celui qui ne peut trouver le sommeil
    En cet horizon merveilleux,
    Sous les tuiles du toit,
    Seul dans sa vieille mansarde,

    Contemple la planète
    Comme si le firmament
    Avait quelque rapport
    Avec son nocturne tourment.

    Va, ne dors pas, travaille !
    N’interromps pas ta tâche !
    Ne dors pas, lutte contre le sommeil
    Comme le pilote contre l’étoile.

    Artiste, ne dors pas !
    Ne t’abandonne pas au sommeil !

     Tu es l’otage de l’éternité
    Que le temps retient captif.

  24. Pourquoi nous imposer ça ? Je me suis déjà retrouvé devant des trucs noirs en séries (trop nombreuses)aux Abattoirs à Toulouse en 1999 ou 2000. Une fois ça suffit.

  25. Ha ! Quelle culture  vous avez ! Vous faites référence au rideau « Le Minotaure » peint pas Picasso et qui effectivement se trouve aux Abattoirs à Toulouse !!!!

    Clémence, vous ne l’avez pas fait exprès mais des fois vous faites des remarques d’une grande culture. 

  26. Il ne fallait pas aller voir les Soulages au 1er mais « Fontaine » de Duduche au 2ème !

  27. LA NUIT

    La nuit chemine sans relâche,
    Et peu à peu s’estompe,
    Tandis qu’au-dessus du monde endormi
    Le pilote se perd parmi les nuages.

    Il s’est noyé dans le brouillard
    Et dans ses vagues a disparu:
    C’est une croix sur une trame,
    C’est une marque sur un linge.
     
    Au-dessous de lui, des bars nocturnes,
    Des villes étrangères inconnues,
    Des casernes, des chauffeurs de locomotive,
    Des gares, des rails et des rues.

    De toute sa longueur sur le nuage
    L’ombre de l’aile s’allonge
    Et voguent les essaims
    Des astres vagabonds.

    Vers le vertige et vers l’effroi,
    Vers des espaces inédits,
    Vers mille univers inconnus,
    Regarde la Voie Lactée.

    Dans l’espace infini,
    Se consument des continents.
    Dans les sous-sols et dans les soutes,
    Veillent les gens de chaufferie.

    A Paris, au bas des toits,
    Vénus, – ou est-ce Mars ?
    Recherche sur les murs
    L’affiche d’une nouvelle farce.

    Et celui qui ne peut trouver le sommeil
    En cet horizon merveilleux,
    Sous les tuiles du toit,
    Seul dans sa vieille mansarde,

    Contemple la planète
    Comme si le firmament
    Avait quelque rapport
    Avec son nocturne tourment.

    Va, ne dors pas, travaille !
    N’interromps pas ta tâche !
    Ne dors pas, lutte contre le sommeil
    Comme le pilote contre l’étoile.

    Artiste, ne dors pas !
    Ne t’abandonne pas au sommeil !

     Tu es l’otage de l’éternité
    Que le temps retient captif.

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