48 réflexions sur « Chateau d’eau. »

  1. Refrain :

    Do, ré, mi, frissonnent les gouttes de pluie

    Mi, fa, sol, elles coulent dans la rigole

    La, si, do, fait la chanson de l’eau

    La chanson de l’eau

    (BIS)

  2. Je ne vous ai mis que le refrain car ma chanson est longue. Mais j’ai trouvé ça aussi dans « mes écrits » :

    Jour de pluie

    Buée. Fumée de vapeur recouvrant la vitre. Elle y dessine un soleil. De l’index elle trace aussi des vagues, un paysage humide de mots qu’elle efface à peine… La buée s’en est allée et la vitre pleure. Les larmes de pluie rigolent de l’autre côté et la fille les file du bout du doigt comme pour accueillir ce chagrin qui goutte du ciel. Elle passe son doigt mouillé sur sa joue. C’est froid. Elle se fabrique des vraies fausses larmes pour regarder et voir le monde à travers. Un monde flouté, hors du temps et des réalités, un monde imaginé qu’elle réinvente en aspergeant d’eau le papier qu’elle aquarelle.

  3. Venez donc passer un moment du côté d’Hécate ,Marguerite …une tasse de thé au jasmin ,un sopha …quelques mots ..entre deux lectures …Nous attendrons son retour  🙂

  4. Je crois, chère Anne, que vous avez dans vos cartons un magnifique roman dont de temps en temps vous nous faites l’honneur de nous livrer quelques bribes… Mais que dis-je… ce serairt un roman eau-tobiographique que cela ne m’étonnerait pas, non pas une histoire d’eau mais un fleuve pas forcément tranquille qui partirait de ce fameux sourire énigmatique de votre mère…

  5. A force de réchauffement climatique, les nuages fondent en trombe et le ciel crache encore toutes ses larmes. La goutte d’eau fera-t-elle déborder le roman-fleuve ?

     

    Perspicace Clémence ! Non. Pas un roman. Des écrits tout simplement. Oui. Eau(t)eau(bi)eau-graphiques. Pur narcissisme en poulet. Je m’émeus.

  6. Ne pleurez pas ma soeur, il y a bien assez de flotte comme ça. Vous n’êtes pas la seule à vous épancher ainsi en de tels débordements, mea culpa ethonni soit qui mal y pense, et nous aimons quand le fleuve est beau et que la tempête charrie autre chose que du vent.

  7. Je vois que vous devenez une adepte incontournable de la blogosphère! Il ne vous manque plus qu’une petite boutique de radis et de coquilles bien à vous, et nous viendrons boire un petit infusion de fanes chez vous.

  8. C’est long une année …( soupir …)

    L’eau ,la terre ,la lumière…Les demi-teintes ont leur charme …

    Les marguerites ne fânent point …robustes fleurs elles sont …

  9. Imaginez quatre saisons ainsi arrosées, cela nous fera combien d’aquarelles? Vous allez être obligée d’ouvrir plusieurs blogs!

  10. Ah! Une Marguerite votive avec des bulletins un peu, beaucoup, passionnément, à la folie, pas du tout!

     

    Bon je ne comprends pas tout, mais c’est drôle!

  11. Aïe! Vous voici dans une vraie pelote virtuelle à essayer de démêler tous les fils de la crâneuse!

     

    Moi, je suis perdue depuis longtemps; j’ai renoncé à l’idée de m’y retrouver.

  12. Oui,beaucoup d’eau sans Clémence, c’est un peu nostalgique. J’en profite pour aquareller. Il ne faudrait cependant pas que ça devienne une habitude, l’eau sans Clémence c’est comme un bois sans soif.

  13. Ah, je vous retrouve!. Vous m’avez manqué. Mais rassurez-vous, ce  ne sont pas mes larmes qui ont créé cette aqua alta. D’ailleurs, je me suis consolée de votre absence en allant faire un tour chez Hécate : bien m’en a pris, sont thé est délicieux!

  14. Je suis une art-tisse un peu fânée  : trop longtemps confinée sous-terre, je ne savais plus  comment faire pour mélanger l’eau, la lumière et les couleurs. Mais je commence à me dérouiller. Pour ce qui est de l’eau, je suis servie. C’est nettement moins bien, en revanche du côté de la lumière et des couleurs. Alors donnez-moi encore un peu de temps  et d’ici une petite année, je devrais pouvoir vous inviter à déguster quelques breuvages de ma composition. 

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