26 réflexions sur « Hauteur corrèzienne. »

  1. Meuuuuhhh non! Juste que Clémence, dans sa vie parallèl,e est surchargée de travail; elle vient vous voir, sur, à la fin de la semaine quand elle pourra légèrement et momentanément lever le pied. Là je prendrai le temps de vous lire et de poser mon piètre commentaire.

    À très bientôt, chère magicienne.

  2. Espérons qu’aucun noir sorcier dont nous ne pouvons prononcer le nom soit derrière cette affaire. On a déjà viré un gnome même pas magicien.

  3. C’est vous qui êtes d… car il doit bien avoir entre la Corrèze et vous un petit volcan qui vous bouche la vue. Moi j’ai mon voisin de derrière, c’est une autre histoire.

  4. Si je commencais à raconter toutes les histoires que génère mon voisinage, ce n’est pas un blog qu’il me faudrait mais un fleuve long (très long) mais pas tranquille.

  5. Je ne sais pas si je dois…. Car sachez que dans le passage où j’habite, il y a une méchante, une vraie… et devinez qui c’est…

  6. cessez donc de dire des sottises ! Piètres coms ? Allons donc!!!

    Ce fût ma façon de faire campagne contre les extrêmes…Poésie ,arme de combat .

    Je suis épuisée ,des souffrances atroces depuis cet accident de brûlure,enflure qui gagnait le haut du mollet…médecine impuissante .( suis allée chez un « sorcier » hier …)

  7. J’aime la corrèze et les corrézienziennes. D’ailleurs j’en suis une, d’un aussi Beau lieu que Turenne.

  8. Le voisin de derrière  dans une autre histoire racontez, j’adore les cons te deufé… 

  9. La vieille purge du RDC ? Je sais, il en faut toujours une et c’est tombé sur vous.

    Celle qui gueule quand on claque la porte, quand on la ferme pas, quand on la ferme mal, quand on laisse les poubelles dans le couloir, quand on balance ses pub’ à côté de la poubelle,

    quand on laisse son vélo au milieu, quand on parle fort quand on rentre bourré à trois heures du mat’, quand on laisse pisser son chien dans l’escalier ou gratter son chat dans vos fleurs, ou encore laisse ses gosses gueuler dans la cour sous prétexte qu’ils doivent s’amuser et que ce sont des gosses malgré tout. Vieille peau !

    c’est vous hé ! hé ! Vivement la vie à la campagne loin des homosapiens-sapiens. 

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