Le Triblog fusionné des trois Os: Miracle permanent et dissection interactive
2 X Noeuf: Marcher sur des Oeufs.
Cela fait dix-huit mois
que Gertrude
a entamé sa délicate
progression
Cela fait un an et demi
que Gertrude
compose avec la fragilité
et
taquine la rupture
32 réflexions sur « 2 X Noeuf: Marcher sur des Oeufs. »
Ainsi Gertrude taquine la fragilité et compose avec la rupture… Bravo, mais de ce pas las, à marcher sur tant d’œufs, dans quel état va-t-on la retrouver ?!
Les casseurs – les coquillards, disait-on, jadis et naguère – qui font l’œuf ne sont pas nécessairement les payeurs… Pour ce qui du Sâr, Péladan est au Père Lachaise, Pelle-à-tarte, sur Lapointe… Et, en ces temps de confusion, mentale notamment, œufs ronds, œufs pointus, qui fait encore la différence ?!
Vous avez raison (toujours…) Tellement raison que mon esprit en escalier ne peut que s’incliner devant la brillance de votre esprit cultivé et de vos réparties. J’aime vos traits sans confusion. Outre le plaisir que j’ai à vous lire, j’ai juste ,là, la,petite satisfaction de constater que vous avez mis un peu plus de trois minute à cuire cet oeuf.
Excusez, mais c’est votre horloge à compter les grains de sable qui déc…, ou votre serveur qui méconnexionne… Croyez-moi, les secondes, je les compte, avec précision, depuis la première : au départ, c’était pour ne pas rater le bac, maintenant, c’est avec l’espoir d’entrevoir un jour le radeau de La Méduse.
Ah! vous taquinez ….et moi j’ai sur le coeur un chat éventré,et je marche au bord d’une mare,mais je ne crache pas sur les tombes!….( vous verrez bien!…) votre Hécate après une nuit d’orgie de glace au chocolat à la liqueur de cerise,d’où l’absence au moment de la publication de G. étant dans le linceul de ses draps avant la dite relevée du corps! )
Chère Hécate, est-ce bien décent d’aller ainsi nuitamment gober des œufs sacrilèges (pattes croisées des poussins à naître comprises) sur la tombe virtuelle du Capitaine ? Je vous conseille plutôt, bien frais, de mélanger le jaune à du vieux et bon porto ou à un fin et pétillant champagne. Cela ‘réchupille », comme on dit dans ma Basse-Picardie.
Bon, je transige. Italiennement, votre melon, accompagnez-le de quelque bon marsala al uovo et de délicates et fines tranches de jambon de Parme… Et… et, revenez-y, au marsala, en dessert, avec un vrai sabayon. Décidément, l’œuf, il n’y a rien de mieux, n’est-ce-pas, Capitaine ?!
Oui, croyez m’en ! De l’œuf foudroyé, aux relents méphitiques et méphistophéliques, avalé une nuit de sabbat et de pleine lune à minuit agonisant, entre deux éclairs d’orage, délicatement chocolatés, au cœur du parc Chauve-Souris… Mais, il faudra patienter un peu, car pour ce qui est de la lune, nous n’en sommes encore qu’à gibbeuse ascendante…
« Un amour mondain ne saurait produire de reflet Il est comme un feu à demi éteint qui n’a plus de chaleur Un véritable amoureus ne doit connaître pendant des mois, des années, Durant la nuit, durant le jour, ni tranquilité, ni repos, ni nourriture »
Je fais de ce quatrain de Khayyam ma ligne de conduite envers ma dulcinée et j’espère que vous en avez fait le beau constat. Taquinez et composez tant que vous resterez à nous faire naviguer.
L’oeuf, une fine structure de calcaire, architectoniquement parfaite, dont les forces s’équilibrent idéalement autour d’un vide qui ne demande qu’à être meublé de vos élégantes conversations.
Ainsi Gertrude taquine la fragilité et compose avec la rupture… Bravo, mais de ce pas las, à marcher sur tant d’œufs, dans quel état va-t-on la retrouver ?!
Cessez vos sar casse me.
Les casseurs – les coquillards, disait-on, jadis et naguère – qui font l’œuf ne sont pas nécessairement les payeurs… Pour ce qui du Sâr, Péladan est au Père Lachaise, Pelle-à-tarte, sur Lapointe… Et, en ces temps de confusion, mentale notamment, œufs ronds, œufs pointus, qui fait encore la différence ?!
Vous avez raison (toujours…)
Tellement raison que mon esprit en escalier ne peut que s’incliner devant la brillance de votre esprit cultivé et de vos réparties.
J’aime vos traits sans confusion.
Outre le plaisir que j’ai à vous lire, j’ai juste ,là, la,petite satisfaction de constater que vous avez mis un peu plus de trois minute à cuire cet oeuf.
Excusez, mais c’est votre horloge à compter les grains de sable qui déc…, ou votre serveur qui méconnexionne… Croyez-moi, les secondes, je les compte, avec précision, depuis la première : au départ, c’était pour ne pas rater le bac, maintenant, c’est avec l’espoir d’entrevoir un jour le radeau de La Méduse.
Vous êtes donc ici chez vous dans l’antre d’un vieux crâne qui compte.
Ah! vous taquinez ….et moi j’ai sur le coeur un chat éventré,et je marche au bord d’une mare,mais je ne crache pas sur les tombes!….( vous verrez bien!…)
votre Hécate après une nuit d’orgie de glace au chocolat à la liqueur de cerise,d’où l’absence au moment de la publication de G. étant dans le linceul de ses draps avant la dite relevée du corps! )
Je reprends un peu plus tard cette liquoreuse conversation.
Je m’éloigne un peu de ce piège à pixels.
Chère Hécate, est-ce bien décent d’aller ainsi nuitamment gober des œufs sacrilèges (pattes croisées des poussins à naître comprises) sur la tombe virtuelle du Capitaine ? Je vous conseille plutôt, bien frais, de mélanger le jaune à du vieux et bon porto ou à un fin et pétillant champagne. Cela ‘réchupille », comme on dit dans ma Basse-Picardie.
Ma fois, le Porto ça me dit….cher Vincent! et au melon, c’est plutôt élégant!
Bon, je transige. Italiennement, votre melon, accompagnez-le de quelque bon marsala al uovo et de délicates et fines tranches de jambon de Parme… Et… et, revenez-y, au marsala, en dessert, avec un vrai sabayon. Décidément, l’œuf, il n’y a rien de mieux, n’est-ce-pas, Capitaine ?!
…et l’oeuf est censé protéger de la foudre,alors par ces temps orageux!…l’oeuf est de rigueur!
Oui, croyez m’en ! De l’œuf foudroyé, aux relents méphitiques et méphistophéliques, avalé une nuit de sabbat et de pleine lune à minuit agonisant, entre deux éclairs d’orage, délicatement chocolatés, au cœur du parc Chauve-Souris… Mais, il faudra patienter un peu, car pour ce qui est de la lune, nous n’en sommes encore qu’à gibbeuse ascendante…
« Un amour mondain ne saurait produire de reflet
Il est comme un feu à demi éteint qui n’a plus de chaleur
Un véritable amoureus ne doit connaître pendant des mois, des années,
Durant la nuit, durant le jour, ni tranquilité, ni repos, ni nourriture »
Je fais de ce quatrain de Khayyam ma ligne de conduite envers ma dulcinée et j’espère que vous en avez fait le beau constat.
Taquinez et composez tant que vous resterez à nous faire naviguer.
Cette vidéo est d’un érotisme sans nom et sans non !
Saigneur…
L’oeuf, une fine structure de calcaire, architectoniquement parfaite, dont les forces s’équilibrent idéalement autour d’un vide qui ne demande qu’à être meublé de vos élégantes conversations.
L’oeuf sert à tout.
Qu’est ce que je disais?
Cher sans Chair,
Je n’ai que cet Oeuf à vous offrir,
Son incommensurable vide et tous ses possibles…
Un érotisme de crypte, assurément.
il y a une crypte idéale…que j’ai indiquée…( tout est possible à cette nef ,même de s’amarrer le temps d’une escale sur « une mer de paille »…)
Bel Os Chairi, cet Oeuf suffit amplement à mon bonheur aux cent creux et aux milles vagues.
C’est pour vous que j’ai cessé de m’alimenter.
Et veuillez excuser mes fotes, je ne maîtrise pas encore suffisament cette scabreuse ortografe.
Oula!
Dans quelle suaire voulez vous encore me mettre, chère Sorcière?
J’ai quelque chose pour vous mon Transi:
http://gertruderosecelavi.over-blog.com/article-23356155.html
Un grand séducteur de l’espace se passe de ce genre de servitudes terrestres. 🙂
Vous êtes si tendrement osseuse avec moi…
Douce soirée Os-soyeux.
êtes vous allé gouter à mon omelette, mon osseux de l’espace?
J’y roule mon os immédiatement…
Vous n’aurez qu’à enlever le lard et garder l’Art et la manière, mon cyber-os.
Vous m’ôtez le lard de la bouche. Merci infiniment ma défundulcinée.
Il vous reste quand même les Noeuf Oeufs à gober, Chair.