Le Capitaine a actuellement d’autres préoccupations que celle de crâner
Cela fait trois ans et deux mois que Gertrude est en ligne
et le Capitaine n’a toujours pas mangé son chapeau
RIEN C’EST TOUT
De l’utilité
de traiter des choses futiles
De la futilité
de parler des choses utiles
Modeste hommage à Robert Filliou
<script type= »text/javascript »> // <![CDATA[ var _gaq = _gaq || []; _gaq.push([‘_setAccount’, ‘UA-6900860-2’]); _gaq.push([‘_trackPageview’]); (function() { var ga = document.createElement(‘script’); ga.type = ‘text/javascript’; ga.async = true; ga.src = (‘https:’ == document.location.protocol ? ‘https://ssl’ : ‘http://www’) + ‘.google-analytics.com/ga.js’; var s = document.getElementsByTagName(‘script’)[0]; s.parentNode.insertBefore(ga, s); })(); //]]> </script>
chuchoté: le 17 décembre, il y a un an,
un homme s’empara d’une éponge et la plongea dans un seau d’eau.
le nom de cet homme n’est pas important.
il mourra bientôt, mais l’art est vivant.
pas besoin de noms dans cette histoire.
ce 17 décembre, je l’ai déjà dit, il y a un an,
un homme s’empara d’une éponge et la plongea dans un seau d’eau.
il attendit cinq secondes.
puis il retira l’éponge.
il la pressa.
il vit que…
qu’importe ce qu’il vit.
je n’essaie pas de tirer une conclusion.
Ne pas essayer de conclure, cela seul est important.
Robert Filliou
Histoire chuchotée de l’art, 1963