JC, janvier 2009, Autoportrait au Piment
Gertrude
À l’absence insoutenable
Je cherche l’impossible regard
Gertrude
Au nom ridicule et tendre
Gertrude
À la limite de l’informe
Presque physionomie à l’identité fugitive
Presque tête de mort à la vanité triomphante
Gertrude
Face à toi ma dérision et mon dérisoire
Gertrude
Devant ton éternité ma vie en un instant
Gertrude
Ton néant et mon rien
Gertrude
Tu es cette petite personne inconnue
J’enserre ta tête de mes deux mains
Gertrude
Tu es ce que tu n’es plus et ce que je serai
Petit os fragile je suis forte à tes côtés
Ta proximité me rend libre
Libre de dire
Libre de hurler
Libre de rire
Libre d’arrêter
Libre de vivre
Libre
Gertrude
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» Ta proximité me rend libre «
« Il ne faut pas refuser
Ce qui vous rend approximatif »
n°25