Ravie de vous voir explorer les coins sombres de mon triblog, mais que diriez vous de venir aussi vous réchauffer à Feue Gertrude dans sa toile principale.
Ah… La chair, plutôt l’absence de la chair, plutôt la chair que l’on a dans la tête face à cette tête sans chair. Moins il y en a et plus on cherche le fond.
J’avais commis un texte, si cela vous amuse (c’est un peu long..)… Il vaut ce qu’il vaut, mais je l’ai écrit avec sincérité, comme tous les textes qu’un jour j’ai eu envie d’écrire. Mais vers la fin je parle de cette mémoire de l’os.
Euh… Merci d’avoir eu la patience de lire ce texte, un tantinet fastidieux et pompeux (j’en ai écrit des mieux, si vous cherchez bien dans la rubrique des textes gertrudiens).
Plus je vous lis, et plus je pense que nos réalisations « naturalistes » doivent se rejoindre, ainsi qu’un certain passé déjà évoqué avec un artiste de renom; j’ai hâte d’en savoir (et en voir) plus…
Quelques jours se présentent à moi où je pourrai enfin trouver un petit moment pour me promener un peu et sortir la tête du tunnel. Que diriez vous d’une escapade à flaner ou à crâner ensemble dans quelque expo de votre choix, chère Marguerite? Si vous êtes disponible…
Pourtant cette toile-ci, la virtuelle, fonctionne à plein rendement. C’est en permanente ébullition : un noir, blanc, bleu bouillant, vibrant, presque rose.
D’accord, mais comme vous le savez, la surface et le fond sont en permanents contacts. La surface c’est une coquille, en somme, qui garde l’empreinte de ce qui fut. La chair, même absente, n’est pas loin.
J’ai lu le texte : très juste, très fort. L’empreinte : encore un gant à retourner ou un os à ronger.
J’aime bien aussi réfléchir à la mémoire de la peau, aux traces laissées, visibles ou non qui ont creusé le dessus, le dessous, et nécessairement le dedans
Ce soir on m’a apporté un crâne…. couvert de mousse. Un crâne de chien ou de renard peut-être, car les canines sont très longues. Rencontre un peu sauvage mais vraie rencontre. J’entre dans l’univers très fermé des crâneuses!
Il me faut encore un peu de temps pour m’acclimater à ces zones de turbulences mais l’idée va son chemin.
Pour l’heure le fil un peu lâche ces derniers jours s’est retendu grâce à la magnifique présentation d‘Installations à la Manufacture des Gobelins. J’y ai bien sûr retrouvé François Rouan qui crève littéralement le plafond…
Je vois l’ombre de la Noire ,mais pas d’image chez la Rose ….
Merci Grande Prêtresse de la sombritude, cette image, en plus de me ravir, me va droit cœur (des ténèbres, assurément :).
Si, si je vous assure, il y en a une!
Un coeur de ténèbres ou un coeur de Krapo, n’est-ce pas la même chose? 🙂
Ravie de vous voir explorer les coins sombres de mon triblog, mais que diriez vous de venir aussi vous réchauffer à Feue Gertrude dans sa toile principale.
C’est pas pour vous contredire mais ce matin c’est tout blanc… même pas l’ombre d’un p’tit noir !
Mais est-ce que le grand blanc existerait sans un petit peu de noir dans les coins?
J’ai beau empiler les suaires et les linceuls depuis quatre ans, au final je me retrouve toujours devant une toile blanche!
Les bulles ne viennent pas de moi; moi, je ne m’occupe que de la surface de l’Os.
Ah… La chair, plutôt l’absence de la chair, plutôt la chair que l’on a dans la tête face à cette tête sans chair. Moins il y en a et plus on cherche le fond.
J’avais commis un texte, si cela vous amuse (c’est un peu long..)… Il vaut ce qu’il vaut, mais je l’ai écrit avec sincérité, comme tous les textes qu’un jour j’ai eu envie d’écrire. Mais vers la fin je parle de cette mémoire de l’os.
Cliquez sur ce lien:
http://gertrude.over-blog.org/pages/La_Chair_de_Gertrude-1707673.html
Vous vous trompez en effet: ici on ne cultive pas les soucis, juste un peu de noirceur… Ah, j’oubliais… De temps en temps une Marguerite. 🙂
Euh… Merci d’avoir eu la patience de lire ce texte, un tantinet fastidieux et pompeux (j’en ai écrit des mieux, si vous cherchez bien dans la rubrique des textes gertrudiens).
Plus je vous lis, et plus je pense que nos réalisations « naturalistes » doivent se rejoindre, ainsi qu’un certain passé déjà évoqué avec un artiste de renom; j’ai hâte d’en savoir (et en voir) plus…
Cela nous promet quelques voyages naturalistes! Et là, vous ne pourrez faire l’économie d’un cyber-rafiot crânique sur l’os séant virtuel!
Bienvenue au club.
Quelques jours se présentent à moi où je pourrai enfin trouver un petit moment pour me promener un peu et sortir la tête du tunnel. Que diriez vous d’une escapade à flaner ou à crâner ensemble dans quelque expo de votre choix, chère Marguerite? Si vous êtes disponible…
Que voulez vous que la crâneuse réponde à une telle proposition… 🙂
En ce jour de grande froidure, j’entre dans l’oeuvre au noir.
Oui, d’accord pour la toile principale. La trouver simplement sous tout le blanc.
Pourtant cette toile-ci, la virtuelle, fonctionne à plein rendement. C’est en permanente ébullition : un noir, blanc, bleu bouillant, vibrant, presque rose.
D’accord, mais comme vous le savez, la surface et le fond sont en permanents contacts. La surface c’est une coquille, en somme, qui garde l’empreinte de ce qui fut. La chair, même absente, n’est pas loin.
de ce côté …pas de soucis …
J’ai lu le texte : très juste, très fort. L’empreinte : encore un gant à retourner ou un os à ronger.
J’aime bien aussi réfléchir à la mémoire de la peau, aux traces laissées, visibles ou non qui ont creusé le dessus, le dessous, et nécessairement le dedans
Ce soir on m’a apporté un crâne…. couvert de mousse. Un crâne de chien ou de renard peut-être, car les canines sont très longues. Rencontre un peu sauvage mais vraie rencontre. J’entre dans l’univers très fermé des crâneuses!
Il me faut encore un peu de temps pour m’acclimater à ces zones de turbulences mais l’idée va son chemin.
Pour l’heure le fil un peu lâche ces derniers jours s’est retendu grâce à la magnifique présentation d‘Installations à la Manufacture des Gobelins. J’y ai bien sûr retrouvé François Rouan qui crève littéralement le plafond…
Marguerite est toujours disponible pour aller crâner et dévider en votre compagnie l’écheveau des souvenirs.