Ombre de l’ombre des ténébreuses facéties

 

 

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Petit coin d’ombre

pour

Krapo

 

 

   

 

Cela fait quatre ans et un mois que 

GERTRUDE

marche à l’ombre

 

 

 

24 réflexions sur « Ombre de l’ombre des ténébreuses facéties »

  1. Ah… La chair, plutôt l’absence de la chair, plutôt la chair que l’on a dans la tête face à cette tête sans chair. Moins il y en a et plus on cherche le fond.

    J’avais commis un texte, si cela vous amuse (c’est un peu long..)… Il vaut ce qu’il vaut, mais je l’ai écrit avec sincérité, comme tous les textes qu’un jour j’ai eu envie d’écrire. Mais vers la fin je parle de cette mémoire de l’os.

    Cliquez sur ce lien:

    http://gertrude.over-blog.org/pages/La_Chair_de_Gertrude-1707673.html

     

  2. Euh… Merci d’avoir eu la patience de lire ce texte, un tantinet fastidieux  et pompeux (j’en ai écrit des mieux, si vous cherchez bien dans la rubrique des textes gertrudiens).

    Plus je vous lis, et plus je pense que nos réalisations « naturalistes » doivent se rejoindre, ainsi qu’un certain passé déjà évoqué avec un artiste de renom; j’ai hâte d’en savoir  (et en voir) plus…

  3. Quelques jours se présentent à moi où je pourrai enfin trouver un petit moment pour me promener un peu et sortir la tête du tunnel. Que diriez vous d’une escapade à flaner ou à crâner ensemble dans quelque expo de votre choix, chère Marguerite? Si vous êtes disponible…

  4. Pourtant cette toile-ci, la virtuelle, fonctionne à plein rendement. C’est en permanente ébullition : un noir, blanc, bleu bouillant, vibrant, presque rose.

  5. D’accord, mais comme vous le savez, la surface et le fond sont en permanents contacts. La surface c’est une coquille, en somme, qui garde l’empreinte de ce qui fut. La  chair, même absente,  n’est pas loin.

     

  6. J’ai lu le texte : très juste, très fort. L’empreinte : encore un gant à retourner ou un os à ronger.

    J’aime bien aussi réfléchir à la mémoire de la peau, aux traces laissées, visibles ou non qui ont creusé le dessus, le dessous, et nécessairement le dedans 

  7. Ce soir on m’a apporté un crâne…. couvert de mousse. Un crâne de chien ou de renard peut-être, car les canines sont très longues. Rencontre un peu sauvage mais vraie rencontre. J’entre dans l’univers très fermé des crâneuses!

  8. Il me faut encore un peu de temps pour m’acclimater à ces zones de turbulences mais l’idée va son chemin.

     Pour l’heure le fil un peu lâche ces derniers jours s’est retendu grâce à la magnifique présentation d‘Installations à la Manufacture des Gobelins. J’y ai bien sûr retrouvé François Rouan qui crève littéralement le plafond…

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