Cher Inconnu d’os douce, ce qui est fabuleux c’est cet ici et maintenant, ce topos complètement irréel et virtuel dans lequel nous nous parlons depuis plus de quatre ans.
Vous êtes bien curieuse et vous avez beaucoup d’imagination!
Mais ce que faisait votre crâneuse était bien plus vicieux: avec sa grande soeur, elles sortaient délicatement les bernards de leurs coquilles, puis alignaient d’autres coquilles trouvées ça et là; les pauvres bêtes toutes nues, si pudiques et si fragiles, tentaient désespérement de retrouver leurs habitats de nacre portatifs. Et c’était très amusant de les voir essayer chaque coquille en y enfilant leurs peites fesses molles en colimaçon, exactement comme quand on essaye un pantalon. Elles finissaient toujours par retrouver leurs biens et filaient sans demander leur reste, les pauvrettes!
Je viens de wikipédier, et je ne mourrai pas débile! Je retiens qu’elle est née le 9 avril comme moi (pas la même année et qu’elle a écrit Up Your Ass tout un programme! Moi aussi je serais d’accord de dézinguer Warhol s’il était encore vivant.
Je ne sais, je ne sais… Pour mesurer la distance qui me sépare de cet ailleurs, il faudrait que j’en parle à mon mètre à penser, quid des circonstances et des passions qui l’anime à ce moment-là, car on ne peut trouver la bonne distance qu’en déployant des trésors d’ingéniosités basés sur une cohérence cartésienne, dont la portée, bien que soulagé de son poids, n’est pas soutenue par une logique infaillible et sans faille ; non, loin de là s’en faut… plume, oiseau, nuit sans fin, satanique boussole, sextant frivole… Je ne sais pourquoi cet espace de l’en dedans passe immanquablement par des chemins de traverse… Faut-il perdre la raison pour en dévoiler le sens ?
Il y a l’ici, et ce, maintenant… ce maintenant fuyant qui nous contraint à n’être jamais tout à fait là où nous sommes. Ça ressemble à une marche forcée – avance et tais-toi… Dormir devrait être décompté du temps qui passe, ce n’est pas juste ; décompté aussi tous ces moments où nous nous tenons immobile et silencieux, là où l’ici rejoint le maintenant.
L’inconnu vite me plaît aussi comme une incitation à ne pas lambiner comme ce Lambis, lambis sans doute. Est-ce bien à cette espèce qu’appartient cette coquille aux longues épines. Une femelle peut-être?
Un Lambis qui en a vu de toutes les couleurs en quelque sorte mais qui a eu la chance de rencontrer le crâne inconnu. Personnellement je ne connais pas bien les Lambis mais j’aime les mots qui le décrivent :
« Spire moyennement haute et nodules sur l’épaulement. Labre externe avec 6 épines ; canal antérieur court et large. Couleur de crème à brun. Columelle et ouverture lisses, crème, brunes ou roses ».
Vous les gobiez comme on fait avec les oeufs, vous les délogiez de leur maison d’adoption, vous les tapiez avec un battoir pour qu’ils soient plus tendres sous la dent, vous les passiez à la moulinette ? Ou bien vous les regardiez droit dans les yeux avant de leur tirer les vers des pattes?????
Belle histoire que celle de la petite fille aux épingles. Elle me fait penser à une célèbre comptine : Ams, tram, Gram, pic et pic et colégram , finissant par pique’dam qui trouverait apparemment une de ses origines dans la tradition chamanique nordique destinée à rentrer en contact avec l’esprit Loup (Gram ou grin) que l’on connaît aussi sous le nom d’Ysengrin.
C’est en effet un drôle de Lambis qui a roulé sa bosse et qui a été customisé par une crâneuse.
Cher Inconnu d’os douce, ce qui est fabuleux c’est cet ici et maintenant, ce topos complètement irréel et virtuel dans lequel nous nous parlons depuis plus de quatre ans.
Je vous montrerai à l’occasion les couleurs et les détails crâniques de ce Lambis épineux et coulamielleux.
Un bernard l’hermite deux-en-un avec coquille-pattes intégrée!
Un vrai panier de crabes vous voulez dire! Et je ne vous direz pas ce que je faisais aux bernard-l’hermites quand j’étais enfant….
Vous êtes bien curieuse et vous avez beaucoup d’imagination!
Mais ce que faisait votre crâneuse était bien plus vicieux: avec sa grande soeur, elles sortaient délicatement les bernards de leurs coquilles, puis alignaient d’autres coquilles trouvées ça et là; les pauvres bêtes toutes nues, si pudiques et si fragiles, tentaient désespérement de retrouver leurs habitats de nacre portatifs. Et c’était très amusant de les voir essayer chaque coquille en y enfilant leurs peites fesses molles en colimaçon, exactement comme quand on essaye un pantalon. Elles finissaient toujours par retrouver leurs biens et filaient sans demander leur reste, les pauvrettes!
Valérie S. doit se retournée dans sa tombe… prenons garde à ce qu’elle n’en sorte, une Valérie S. zombie, ça fait froid dans le dos…
C’est qui, Valérie S?
Replacer dans bon contexte, cela ferait-il sens… ?
On peut toujours essayer, mais là je ne vois pas… C’était une tortionnaire de bernard-l’hermites?
Rejoint-il le rivage, où s’en éloigne-t-il ? Je suis dans « Lost » en ce moment… de biens étranges proximités phonétiques !
Valérie Solanas et son « scum manifesto », celle qui tentée de dessouder Warhol…
…qui a… (pardon)
A propos de vos coms (toi & Hécate) sur le féminisme
Donc, sans rapport direct avec ce dont il est question ici.
C’est à l’image de l’hésitation sémantique.
Ce n’est pas [Lost] du même niveau que » Breaking Bad » ou « Les Soprano », mais largement plus passionnant que « Joséphine, ange gardien »…
Je viens de wikipédier, et je ne mourrai pas débile! Je retiens qu’elle est née le 9 avril comme moi (pas la même année et qu’elle a écrit Up Your Ass tout un programme! Moi aussi je serais d’accord de dézinguer Warhol s’il était encore vivant.
Là on ne fait pas dans la dentelle!
Ah! Je comprends mieux! Sauf que Warhol est une bien piètre victime.
Faut-il que tu prennes toujours des chemins de traverse… 🙂
Ah! Breaking bad, j’ai adoré!
Pour revenir au com précédent, ce n’était pas entre Hécate et moi mais entre Marguerite et moi.
J’ai une mauvaise vue, et un pitoyable sans de l’orientation…
‘sens’…
C’est toujours ce que l’on dit, mais on sera deux, pour le sens de l’orientation.
Décidément, les mots sont de vraies peaux de bananes!
Oui, pardon, en plus d’ça ma mémoire me joue des tours…
Allons, allons… 🙂
Peut-être, mais jamais fuyant.
Après Andy, Yves…
Déboussolé, bigleux, et azaillemeur… tu parles d’un cadeau !
Tu deviens un spécimen rare d’un niveau jamais atteint de décrépitude krapoïde!
Je peux au moins m’enorgueillir de ça.
« Chuis snob… »
Vian, je croah…
J’ai cet air dans la tête maintenant…
Visiblement il n’y a pas que Boris qui est snob.
Moi aussi, mais j’ai facilement Vian en tête.
C’est tout d’même mieux qu’être ministre.
Je préfère l’état d’Os léthargique sur étagère.
Snob qui peut !
Faut dire, parler à un crâne depuis tout ce temps, si ce n’est pas du snobisme radical!
Après les crânes misanthropes, le FSR, le Front du Snobisme Radical…
On est loin des lambis…
De la politique misanthrope, incroyable! (Je n’aime pas trop le terme de Front, je préfère l’os-qui-pue)
Loin comme ce petit ailleurs stéréotypée au fond de l’image?
Je ne sais, je ne sais… Pour mesurer la distance qui me sépare de cet ailleurs, il faudrait que j’en parle à mon mètre à penser, quid des circonstances et des passions qui l’anime à ce moment-là, car on ne peut trouver la bonne distance qu’en déployant des trésors d’ingéniosités basés sur une cohérence cartésienne, dont la portée, bien que soulagé de son poids, n’est pas soutenue par une logique infaillible et sans faille ; non, loin de là s’en faut… plume, oiseau, nuit sans fin, satanique boussole, sextant frivole… Je ne sais pourquoi cet espace de l’en dedans passe immanquablement par des chemins de traverse… Faut-il perdre la raison pour en dévoiler le sens ?
Que de nobles coquilles ! Âge !
Perdre la raison reviendrait à perdre toute mesure et ce serait une décision raisonnable et bien pesée.
C’est une coquille de grand âge à ne pas confondre avec une coque premier âge.
Le jeu aveugle souvent le je; à moins que ce ne soit le je qui se joue des jeux d’os.
Sans transition, j’ai envie de vous faire lire ça:
http://gertrude.over-blog.org/pages/Gertrude_et_les_trous_depingle-1719149.html
Encore un clin d’oeil…
blocus ici !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
COMM BLOQU2S PAR BANQUISE D’OS NOIR
Autre forme de CENSURE !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Un peu plus et on bascule dans la fable du Petit Chaperon Rouge à évoquer le Loup ainsi.
Vite, je vais me cacher dans la penderie!
Je suis en train de lire justement un livre sur le chamanisme nordique que j’ai acheté au Musée du Quai Branly. Brrrrrrr……. Je commence à y croire.
Comment ça?
Moi non plus….
Loin de moi de telles intentions!
internet explorer n’affiche plus chez G N….Et le renard de feu est en crève-n’oeil pour H !!!!!!!!!!!!
Un coup de la Noire qui broie!
Les lambis aiment la lumière, le sable, la plage et les nanas, c’est bien connu!
Il y a l’ici, et ce, maintenant… ce maintenant fuyant qui nous contraint à n’être jamais tout à fait là où nous sommes. Ça ressemble à une marche forcée – avance et tais-toi…
Dormir devrait être décompté du temps qui passe, ce n’est pas juste ; décompté aussi tous ces moments où nous nous tenons immobile et silencieux, là où l’ici rejoint le maintenant.
L’inconnu vite me plaît aussi comme une incitation à ne pas lambiner comme ce Lambis, lambis sans doute. Est-ce bien à cette espèce qu’appartient cette coquille aux longues épines. Une femelle peut-être?
Un Lambis qui en a vu de toutes les couleurs en quelque sorte mais qui a eu la chance de rencontrer le crâne inconnu. Personnellement je ne connais pas bien les Lambis mais j’aime les mots qui le décrivent :
« Spire moyennement haute et nodules sur l’épaulement. Labre externe avec 6 épines ; canal antérieur court et large. Couleur de crème à brun. Columelle et ouverture lisses, crème, brunes ou roses ».
Tiens ? Un bernard-l’ermite !
Un bernard l’ermite invité par un lambis coulamielleux et une belle crâneuse, ça nous fait une riche bande copains!
Vous les gobiez comme on fait avec les oeufs, vous les délogiez de leur maison d’adoption, vous les tapiez avec un battoir pour qu’ils soient plus tendres sous la dent, vous les passiez à la moulinette ? Ou bien vous les regardiez droit dans les yeux avant de leur tirer les vers des pattes?????
Le mucus est toujours glissant, non?
Les Lambis, lambis cachent bien leur je …
Belle histoire que celle de la petite fille aux épingles. Elle me fait penser à une célèbre comptine : Ams, tram, Gram, pic et pic et colégram , finissant par pique’dam qui trouverait apparemment une de ses origines dans la tradition chamanique nordique destinée à rentrer en contact avec l’esprit Loup (Gram ou grin) que l’on connaît aussi sous le nom d’Ysengrin.
Emstrang gram
Biga biga ic calle gram
Bure bure ic raeden tan
Emstrang gram
Non ho capito ?????
Noir c’est noir et le lambis se fait rare.