Dérive.

Peindre des coquillages
ou
la Dérive
comme procédé de Navigation.


Juliette Charpentier, aout 2008

Avertissement:

Attention, sympathique visiteur,
dans cette vidéo,
le Capitaine se laisse emporter
par les flots nostalgiques d’une introspection incontrôlée*.
Si vous ne voulez pas risquer de chavirer et
être complice de ce naufrage,
coupez le son!

*Les dernières lignes de ce texte ont été écrites le 13 aout 2008
à Beynac, en Dordogne, où reposent les cendres de mon père
qui aimait tant la mer et les bateaux.

————————————————————————
ANNIVERSAIRE!

8
Aout 2008

Une Déambulation du Capitaine le long des Hautes Rives de ses Dérives à la recherche des petites coquilles semées par le Hasard.
Soufflez la neuvième bougie :


11 réflexions sur « Dérive. »

  1. De cette dérive improbable, les étapes pourraient, de la façon la plus absurde et la plus logique, se trouver inscrites dans la matière de ces petites coquilles qui parsèment ma route.

    C’était bien la dernière phrase. Aprés  24 c’est le silence.

  2. Bulot toi-même, Cul d’Ossu.

    08/09:
    J’ai compté: tu as cinq* grilles de retard sur moi, Black Horse….
    Et encore je ne compte pas les qui commencent à se périmer.

    *09/09: +4 news

  3. Il y a des années maintenant, je suis allée à Beynac, j’ai mis mes pas en Dordogne…Et par ce texte aussi, j’étais passée, alors je vais aller vers un autre; c’est vaste chez Vous…C’est très vaste une vie, très long, trop long, ou trop court..Tout dépend des heures et des jours .

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *