il y a donc plusieurs « sens propres »? et aussi probababablement plusieurs sens sales? avec quoi nettoies-tules tâches des sens, avec ariel skype ou du bon vieux savon de marseille?
je ne peux regarder l’image pas plus d’une mnute elle est belle mais me plonge dans la mélancolie…
Je savais bien que ce petit multiple (vous remarquerez le petit x à au) vous attireriait l’oeil! Vous savez bien que Gertrude se conjugue de tous les sens, avec tous les sens, dans tous les sens (hum… Je sens que vous allez détourner mes paroles..) à tous les temps; et que bien évidemment il y a bien plus de sens sales, bêtes et méchants que de sens propres et bien peignés; et puis Gertrude ne se lave jamais, les détergents risqueraient de lui abimer l’os et elle pourrait perdre sa belle odeur sui generis.
J’ai bien essayé de lui assaisonner la dragée (pardonnez-moi ce glissement langagier, c’est la faute à Ledif qui déteint sur mes bonnes moeurs) avec toutes sortes d’épices hétéroclites, mais je n’ai pas réussi à en faire quelque chose de bien comestible, seulement une sorte de construction dégoulinante et grouillante, et bien heureusement virtuelle.
Mais il est vrai que cette image faute-au-chopée m’étonne moi même par sa splendide laideur, serait-ce parcequ’elle est à l’envers…. Si je lui trouvais quelque ressemblance se serait avec une Charogne célèbre et poétique.
« Et pourtant vous serez semblable à cette ordure, A cette horrible infection, Étoile de mes yeux, soleil de ma nature, Vous, mon ange et ma passion ! »
Je me demande jusqu’à quel point Gertrude influence le quotidien de ses interlocuteurs… Il va falloir que je songe à écrire un article sur la question…
Figurer l’impossible ou retournement du sens voilà qui pourrait nous occuper un pt’it moment! Surtout que la tête en bas, je réfléchs beaucoup moins bien…
Cette image est effectivement d’une beauté noire assez redoutable, précieuse ; quelque chose du « Drageoir aux épices » de Huysmans. De la décadence somptueuse!
Oui la parure de perles de Gertrude est bien belle. Goutelettes d’eau blanche comme un bijou vénéneux et trouble que je porterai volontiers sur ma robe rose!
Vous n’avez pas tort. Je crois que de fil en épingle, je finis par avoir du mal à démêler les chevaux de ces vérités virtuelles qui taquinent mes zétamines. Bon trève de parlote, il faut que l’on boulote et l’ épicier n’aura plus ni roses noires, ni radis jaunes à croquer ce soir.
Avez-vous encore un peu de goudron et de plumes? Il faut en garder pour le 6 mai et faire une réserve pour après. Il nous faudra sans doute plumer beaucoup de poules-peine pour éviter les perforations de l’os.
Quand on a le sens à la tête, il est clair que l’on en perd le motif.
C’est bientôt fini, le vide me monte à la tête !
c’est pour cela qu’il faut avoir la tête à l’envers.
La Rose est bien sombre ?…
La Rose aime s’habiller en noir, quelque fois.
Je me demande si je vous ai jamais vue de noir vêtue ? Hors ,peu-être quand la nuit vous habillait sur un pont capital ?
Évidemment, je ne peux pas rivaliser avec votre splendide plumage!
Les saisons se chargent de pâlir les plus plumages…L’été ,n’est pas très noir aux corvidés 🙂
Vous connaitriez la Magicienne, c’est tout à fait ça!
Vous êtes êtes experte en noirs arachnéens légers comme un souffle de plume.
c’est qu’il y a moins de duvets dans les dessous …à cette saison là 🙂
Euh.. Je ne veux pas tout savoir…
En parlant de duvet… et vu les temps d’hiver qui reviennent, je vous souhaite une bien belle nuit, Magicienne.
et comme je baille aux corneilles ,de même ,chère Gertrude …:)
« aux sens propres »
il y a donc plusieurs « sens propres »?
et aussi probababablement plusieurs sens sales?
avec quoi nettoies-tules tâches des sens,
avec ariel skype ou du bon vieux savon de marseille?
je ne peux regarder l’image pas plus d’une mnute
elle est belle mais me plonge dans la mélancolie…
ah! Huysmans !….
Je savais bien que ce petit multiple (vous remarquerez le petit x à au) vous attireriait l’oeil! Vous savez bien que Gertrude se conjugue de tous les sens, avec tous les sens, dans tous les sens (hum… Je sens que vous allez détourner mes paroles..) à tous les temps; et que bien évidemment il y a bien plus de sens sales, bêtes et méchants que de sens propres et bien peignés; et puis Gertrude ne se lave jamais, les détergents risqueraient de lui abimer l’os et elle pourrait perdre sa belle odeur sui generis.
J’ai bien essayé de lui assaisonner la dragée (pardonnez-moi ce glissement langagier, c’est la faute à Ledif qui déteint sur mes bonnes moeurs) avec toutes sortes d’épices hétéroclites, mais je n’ai pas réussi à en faire quelque chose de bien comestible, seulement une sorte de construction dégoulinante et grouillante, et bien heureusement virtuelle.
Mais il est vrai que cette image faute-au-chopée m’étonne moi même par sa splendide laideur, serait-ce parcequ’elle est à l’envers…. Si je lui trouvais quelque ressemblance se serait avec une Charogne célèbre et poétique.
Je vois que tout cela pourrait vous donner des idées pour un futur billet littéraire. 🙂
les idées ,les idées ,elles vont ,elles viennent ….mais …il faut inspiration et temps 🙂
Une idée chasse l’autre parfois !
Vous vous rendez compte si je disais qu’une Gertrude chasse l’autre! 🙂
Oh! CIEL !!!!!!!!!!!!!
…..je me tais ….:)
c’est presque ….censuré ici
Une Gertrude de perdue, dix de retrouvées.
Juste presque!
Grotesque à souhait !
« Et pourtant vous serez semblable à cette ordure,
A cette horrible infection,
Étoile de mes yeux, soleil de ma nature,
Vous, mon ange et ma passion ! »
Adolescente, je déclamais ce poème tant et plus!
Je peux friser plus si vous voulez.
Je peux déformer plus si vous voulez.
GERTRUDE EN DAMAS !!!!!!!C’est beau
Décontenançante…
J’ai eu un doute moi aussi!
Enfin quelque chose de sympa!
GERTRUDE COMME DRAPEE DE PERLES C’EST BEAU
Les drapés de perles cela m’évoque les rideaux anti-mouches…
Cela doit être la faute à Baudelaire!
vous alors !
Croyez-moi Gertrude fait une bien piètre parure de marguerite:
je retiens le machin anti-mouche
Ne soyez pas contrariée par les goûts douteux de Gertrude Rose… 🙂
Je commence d’ailleurs à me demander ce que Gertrude n’a encore pas fait…. Cela devient de plus en plus dur de faire l’article dans cette boutique.
Vous savez, un machin anti-mouches, cela peut être très joli et perlé à souhait, trés kitch!
J’ai adoré votre compliment, très chère Magicienne.
kitch …je suis kitch …en effet
NON! Pas vous! Seulement la Gertrude Bouliwoude!
Je me demande jusqu’à quel point Gertrude influence le quotidien de ses interlocuteurs… Il va falloir que je songe à écrire un article sur la question…
ce sera follement rome antique avec dégoulinades de perles en crânes ,le joli collier à croquer …..:)
Je veux bien dégouliner mais je vous avertis, je ne serai pas comestible pour autant.
Il va , à cette heure, vous sortir quelques radis de glace de son congélo derrière les fagots.
Pour le frais, faudra repasser.
Repasser !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! NON…………ça brûle ,de repasser !!!!!!
Mais pour faire du chaud de froid, il faut bien repasser.
hum ….J’ai pas tout compris je crois …
Moi non plus.
C’est ce que je disais!
oh! làlà
ça !…c’est à l’Os de répondre .Je ne suis pas chez moi 🙂
…
Bonne question.
Je ne suis pas omnicrâne.
ne suis pas omnidiableries
Ouf!
Aux urnes ( ne pas se tromper ,pas celles du cimetière favori )
Vous avez raison, il faut savoir non seulement démêler mais garder le bon.
On va aussi préparer le tonneau avec le goudron et les plumes.
Quoi ?…………..
Vous voulez goudronner des plumes ????
Juste un coq en talonnettes.
….:) !!!!!!!!!!!
Je suis optimiste pour le départ du coq la queue cuite et la plume cramée.
Je ne vais pas gâcher mon bitume pour si peu, par contre je glisserai le bon bulletin dans l’urne.
L’animal est en train de perdre ses talonnettes dans la friture.
Il arrive que le crâne s’éclipse…
À très bientôt.
Le problème est de savoir si même frit, c’est comestible.
Figurer l’impossible ou retournement du sens voilà qui pourrait nous occuper un pt’it moment! Surtout que la tête en bas, je réfléchs beaucoup moins bien…
Le noir, c’est du rose à l’envers.
Cette image est effectivement d’une beauté noire assez redoutable, précieuse ; quelque chose du « Drageoir aux épices » de Huysmans. De la décadence somptueuse!
« Tout cela descendait, montait comme une
vague,
Ou s’élançait en pétillant ;
On eût dit que le corps, enflé d’un souffle
vague,
Vivait en se multipliant. »
J’imagine que c’est à cette Charogne-là que vous pensiez?
Maniériste à souhait !
Oui la parure de perles de Gertrude est bien belle. Goutelettes d’eau blanche comme un bijou vénéneux et trouble que je porterai volontiers sur ma robe rose!
Je ne savais pas que Gertrude effeuillait si bien les marguerites. J’en suis toute rose d’émotion!
Je laisse Gertrude nous faire la danse du ventre pour aller acheter de quoi faire une salade de roses au loukoums.
Vous n’avez pas tort. Je crois que de fil en épingle, je finis par avoir du mal à démêler les chevaux de ces vérités virtuelles qui taquinent mes zétamines. Bon trève de parlote, il faut que l’on boulote et l’ épicier n’aura plus ni roses noires, ni radis jaunes à croquer ce soir.
Moi non plus!
Dans ces cas-là qu’est-ce qui se passe?
Aux urnes citoyennes! On trouvera bien après comment démêler tout cela…
Avez-vous encore un peu de goudron et de plumes? Il faut en garder pour le 6 mai et faire une réserve pour après. Il nous faudra sans doute plumer beaucoup de poules-peine pour éviter les perforations de l’os.
Certes, il ne faut jamais gâcher, surtout pour un si vil volatile vociférant et dégoûtant d’autant que je suis comme vous optimiste et VIGILANTE.
Vive la friture!
Allo, allo Gertrude. M’entendez-vous? Le premier mai est un jour de vrai repos pour vous peut-être?