Ses nuits sont mes jours, elle nuit le jour et j’ouvre ses horribles fisses* la nuit longeant le fil en noctambule funambule, préambule du vide.
*Fisses: Néologisme laissé à l’interprétation de chacun.
JC, septembre 2016, Gertrude nuit, fil, toile de jute ajourée, 24 x 30 cm
Cela fait huit ans et neuf mois que Gertrude nuit sur la Toile et que la Crâneuse ajoure les toiles.
L’automne et sa couleur mordorée est revenu, ainsi que les créations ‘mort dorée’ de J.C. (quelles curieuses initiales).
C’est fou j’étais persuadée avoir déjà répondu à votre beau commentaire, cher Luc, mais je ne sais plus quelle élucubration j’avais encore écrite…
De ficelle en aiguille
Le vide de la nuit
Effiloche Gertrude
C’était une journée rude
Rude, oui, rude Gertrude!