Gertrudomètre: Treizième version. Le Gertrudonome

 

LE GERTRUDONOME

Machine Indestructible*

à déclaration virtuelle

 

gertrudonome

Gertrudomètre n°13 ou Gertrudonome,
Tour Eiffel miniature, médaille pieuse, paraffine, crayon de couleur/papier, médaillon et loupe en résine,
métronome acheté sur Internet en avril 2010,
12 x 12 x 26 cm

 

De la bonne manière de synchroniser le Nord et le Sud :

 

  • Remontez le mécanisme avec les dents
  • Alignez selon un axe nord-sud la Vieille Ferraille avec la Bonnasse
  • Suspendez à l’aplomb le portrait de votre Défunt d’Amour
  • Imprimez, avec votre doigt le plus caressant, un mouvement  de va-et-vient  au cierge  de Gertrude

 

Alors, là-bas, très loin, à 787 km d’ici un Métro-n’Homme se met en marche….

 

Et vous entendez chanter les cigales en rythme…

 

IMG

Démonstration du Gertrudonome

sur

 

gertruderose


 

*(Non, ne le détruisez pas tout de suite……)

 

98 réflexions sur « Gertrudomètre: Treizième version. Le Gertrudonome »

  1. Géniale et ingénieuse Gertrude !….

                          ( j’imagine l’effet sur …les » cigales  » …)

                                       votre Magicienne en admiration

  2. Piètre !!!…….Peuh!!!!  Allons ,voyons …:)

    Le vol des cigales ……………………………….se fait attendre .Quelque retard clima-tic sans doute .

  3. voui ,je crois comprendre…

           votre transi spacial est à la diette …( prenez de l’avance  )

             miam…je me croquerai bien une t’tite moelle G…( je m’envole….

  4. Je suis venu à pas de loup dés la parution de cette merveille. Il était tard ; mais ce n’est pas la fatigue ou bien l’appel tyrannique de Morphée suceur de vie qui m’a empêché d’écrire, ne serait-ce quelques mots sous les vôtres.

    Je suis resté longtemps en véritable état de contemplation. J’ai écouté votre machine à remonter les artères. Et je ne pouvais rien faire d’autre que rester comme ça, planté comme un durillon sur une toile de maître, comme un oignon qui moisit sur une tête antique sculptée. Longtemps. Cela a duré longtemps.

    Puis, de façon toute naturelle et donc mécanique, je me suis levé et dans la nuit et rompant le sommeil des fous qui ne pouvaient rien encore entendre ni voir comme moi, j’ai remonté mon Métro-n’Homme ; et les résonances, je sais que vous me croyez, étaient en harmonie exemplaire avec votre Gertrudonome.

    Ce fut un moment de grâce intense, un moment de bonheur rare, car le bonheur ne peut être que cela, rare, Rare.

    Vous dire que ce Gertrudonome est le muscle mécanique le plus beau que j’ai vu (Je crois bien que Man Ray, s’il le voyait et entendait, en oublierait son amour cassé pour la belle Lee) serait d’une banalité affligeante.

    Vous dire combien il est « chargé » de ce que nous ne dirons pas en virtuel, tout simplement, pulserait déjà plus « juste ».

    Le temps et la distance qui ne seront plus que poussières d’existence dans quelques jours, n’ont plus de poids. Ils balancent. Ils rythment. Ils battent.

    Et je suis juste ému. Profondément ému. Jusque dans mon sang.

    Les cigales ne sont pas encore arrivées dans mon Sud, mais je les entends déjà… pleurer, avant de chanter.

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  5. Oui, cette nuit, il m’a bien semblé entendre une douce pulsation… une odeur de lavande… un souffle de Mistral… les embruns de la Grande Bleue.

    Et je suis prète à parier que d’ici quelques jours il fera beau à Paname.

  6. Voilà un concert de z’émotion vive …

              Les mots me tombent …

                   ( un aveu : jamais ne me suis autant gavée de gâteaux que dans l’antre de votre transi ! )

             Vos festins seront Destin Nôtre…

                   Je kroas bien que nous sommes tout feu tout flamme de notre chère Gertrude…

                              

  7. Je suis toute saisie par une idée farfelue….!!!!!!!!!!!!!!!

    Gâteau ????

    Vous n’allez pas concocter les fameux fondants au C….( non ,c’est pas du chocolat !) d’ Alice Toklas ,au moins ?????( vous seriez bien capable d’avoir son livre de recettes culinaires )

    ( maintenant que vous z’avez eu des lectures ,euh…ça m’a flêché le ciboulot ,alors que je rêvassais à Apollinaire ,et l’Hedgarallaan qui a l’air d’être au parfum …)

                                Saigneur! ….Gé gé j’ai …un chouillas de trouille

                                                                        votre H…

                                       

                          

  8. J’ai testé pour vous le gertrudonome mais c’est un peu rebelle à ricaner dans les doigts. La question des moyens est évidente de là où je le contemple. J’ai accompli une synchronisation passionnée qui se hasarde interminablement dans une mobilité virtuelle. J’ai décuplé mes ailes pour flâner en rappel. Que vont dire les cigales après que l’air tombe ? J’ai caressé l’armature de mes dents et soudain mon esprit me ronge. Ainsi l’occasion est bien charitable. Si j’essuie le bouton que je sublime, les couronnements finiront par pousser. L’espace est vaste à découper selon le parfum légendaire que les découvertes ont toujours fait crouler dans le vide. Il y a des noirs interminables et je me borne à les apaiser. Quand je suis appauvrie, plus rien ne me retiens et je défends mon âme. Ma source est un gâteau hautain et bon, alors je flotte.

  9. Le cigale-cake à oscillation perpétuelle et indestructible est une substance psychotrope hallucinogène à accoutumance bien pire que le gateau au cachalot.

     

     

    Mes recherches cacaotières avancent….  🙂

  10. Je ne pense pas qu’il y aura du sang ici.

    Je ne suis pas chauvin et encore moins patriote… De plus la majorité de la populace marsienne me débecte, me gratte, m’horripile, m’écorche, m’épluche, me torse, me rape, m’irrite, me prurite.

    Et les tepus en mini-short ou mini-jupe (comme les « cakes » gratteurs de couilles et geignards de l’extrême), laissant à vue bourrelets et ignobles jambons cellulitiques sont légions à Massilia et contribue fortement à favoriser la pollution de l’air que je respire par des gaz à effet de serre qui me serrent la gorge.

  11. J’avions point pensé me convertir en plaidoirie pour sauver le grand pataphysicien Armengol….Quelle vie ,mais qu’elle vie j’vous jure ,faut pas jeter la manche de la cognée …:)

  12. Il m’en faudrait juste un poil plus afin que je sorte mes cornes !

     

    Et je plussoie. Rôôôôôh l’ôtreuh ! 😀

    Me fait penser qu’il faut que je trouve un nom de blog…

  13. Moi je veux bien manisfester, mais seulement si la cause me suis de près.

    Dans quel pré êtes-vous Magicienne Mia ?

    J’avoue me sentir un peu perdu entre sable des arènes, goudron de mes trottoirs, alpages des hautes terres et caves à blattes…

  14. Eh bêêêêê, je savais déjà que votre colère était à fleur de peau, mais je ne l’avais pas encore vue aussi directement.

     

    Aïe! Je sens vibrer le truc à 700 km…

     

    Tout cela était pour rire!  Je sais que vous vous ne rigolez pas dans votre combat.

  15. C’est que ,à présent ,célèbre comme elle est …elle a du choix et va s’amuser à tromper nos esprits avec de bons vivants ,pardi !…Ah! Hedgarallaan …nos névroses vont se retourner dans leur tombe …

  16. J’ai le chicot frais moâ Môdame ! Brossé, dépoussiéré, lustré…

    Vous n’avez qu’à vous déplacer pour vérifier !

     

    Quant à Robert, ne suspectez pas. Cette carapace reste une énigme totalement hermétique pour moi.

    Je l’observe, il m’observe et… Voilà quoi ! Je m’envole dans les nuages.

  17. Hedgarallaan envolé dans les nuages ….

    Je crois savoir d’où viennent ces crevaisons des nimbus de la nuit  ….Ce n’est pas de la meringue molle pourtant ,un nuage …

  18. Je vois où vous vous fournissez en pastilles effervescentes illicites: chez cet affreux tatoué sous cloche de corégaman!

     

    Quant à l’hermétisme des carapaces laissez moi emettre quelques doutes: c’est plein d’orifices ces choses là.

  19. A cette altitude et dans ce recoin , les putain sont rouges avé des grandes cornes en lyres et elles font du lait qu’on fait du Salers avec. Zon pas de mini-jupes vulgaires pour attirer les touristes en mal de sport chambresque

  20. ici les vaches ont les « cajoles ». Elles restent en estives de la Saint Urbain (Mai) à la Saint Géraud (Octobre) Minja des fleurs, de l’herbe grasse et regardent les tourristes à grosses chaussures qui montent en haut pour redescendre ensuite. Font du bon lait jaune fleurs et qu’elles ont mauvais caractère si on les fait chier, ressemble pas à des hollandaises en batteries.

    la crâneuse va  pas défendre la corrida quand même !

  21. j’me suis mal exprimé alors, j’ai bien pigé votre point de vue et il est clair, j’étais plutôt en train de titiller notre crâneuse qui laissait votre combat à simple une Défense des vaches…Mais j’pense qu’elle deuxième degré la dame sèche.

     

    Bien à vous

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