Avec Armengol alors et avec Gertrude La Noire ROSE…un moment de receuillement au cimetière du non -oubli…Pétales froissés de larmes d’un destin si fort qu’il étreint le coeur …
Ne pas oublier…Ne rien oublier des choses fortes,des moments bouleversants,des rencontres les plus innattendues, ce sont des trésors que rien ne doit altérer, jamais quand a été aussi pleinement émotionnels ces instants-là qui nous construisent,même si on se tait,parce que parler n’est pas toujours facile,et, que les mots limités aux mots paraissent parfois un peu vains…Le coeur sait être dans certains silence l’éloquence la plus authentique…alors peut-être seulement un murmure à l’oreille ,un souffle de vent,comme une rumeur dans le coquillage du souvenir…
L’âme cherche un abri dauns le Palais du désanchantement, même dérisoire …les âmes grelottent…et si la porte du Palais souvre encore à celle dune tête folle …
Un soupir, un frisson, la nuit nous recouvre de sa moire, le vent décoiffe nos secrétes douleurs…il est l’heure de se dire à bientôt, à toujours dans ces décalages du Temps où se glisse le blème Lune dont je suis le double éclat qui se brise dans vos yeux…N’en dites rien..
ma part de sombre depuis mes 17 ans, ma part de lucidité face à l’existence, celle que l’on garde derrière les illusions, celle qui restera encore debout à l’instant du dernier souffle l’unique, celle qui ne triche pas, la nouvelle aube pâle, the new dawn fades
La première fois que j’ai entendu Joy Division,j’ai été bouleversée. C’était un titre de Closer.
Belle pensée Gertrude…que vous avez -là ce soir!
Remerciez Sébastien qui me l’a fait remonter à la Mémoire.
Sébastien?…je ne sais qui c’est, pardonnez, mais oui alors merci de cet hommage à Ian Curtis.
Le tiroir en dessous.
Quel écho ! Ah!…ces paroles sont si vibrantes…
Gertrude noire à l’unisson, Armengol.
!
???le tiroir….l’émotion sans doute…
Les tiroirs armengolskiens outre quelques géniaux néologismes recèlent des trésors…
Avec Armengol alors et avec Gertrude La Noire ROSE…un moment de receuillement au cimetière du non -oubli…Pétales froissés de larmes d’un destin si fort qu’il étreint le coeur …
Il y a des choses qu’il ne faut pas oublier.
Ne pas oublier…Ne rien oublier des choses fortes,des moments bouleversants,des rencontres les plus innattendues, ce sont des trésors que rien ne doit altérer, jamais quand a été aussi pleinement émotionnels ces instants-là qui nous construisent,même si on se tait,parce que parler n’est pas toujours facile,et, que les mots limités aux mots paraissent parfois un peu vains…Le coeur sait être dans certains silence l’éloquence la plus authentique…alors peut-être seulement un murmure à l’oreille ,un souffle de vent,comme une rumeur dans le coquillage du souvenir…
La musique est comme les odeurs; c’est ce qui subsiste quand il ne reste plus rien, que tout est en ruine…
C’est toujours du côté des ruines que les romantiques posaient leur spleen.
Je suis ,entre autre,une romantique attardée…
Ne pas s’écrouler,se retenir aux ronces qui nous saignent les veines…
Est-ce vous Amie qui chuchotez dans cette ombre?…
Le Palais de Gertrude ne peut être que les ruines de son âme sur les récifs de son dérisoire.
L’âme cherche un abri dauns le Palais du désanchantement, même dérisoire …les âmes grelottent…et si la porte du Palais souvre encore à celle dune tête folle …
Les âmes errantes et décalées sont ici chez elles sous ces sombres lambris.
Ce havre tellement cherché…Ô ma soeur d-ici , ma lointaine…
Installez-vous, allongez vous sous les étoiles…
Belle nuit,
à demain âme ensorceleuse.
Un soupir, un frisson, la nuit nous recouvre de sa moire, le vent décoiffe nos secrétes douleurs…il est l’heure de se dire à bientôt, à toujours dans ces décalages du Temps où se glisse le blème Lune dont je suis le double éclat qui se brise dans vos yeux…N’en dites rien..
ma part de sombre depuis mes 17 ans,
ma part de lucidité face à l’existence,
celle que l’on garde derrière les illusions,
celle qui restera encore debout à l’instant du dernier souffle
l’unique, celle qui ne triche pas,
la nouvelle aube pâle,
the new dawn fades