INFORMEZ-VOUS!
www.plaiethore.com
www.iran-resist.org
Vous avez bien voulu entendre les clameurs tenues sous silence du peuple iranien qui suinte l’oppression.
Vous avez bien voulu saisir dans les yeux de l’Ange, le dernier regard que l’on extirpait de la vie, le regard déjà perdu en filets pressés et carminés, qui ne comprenait pas et qui pourtant lançait l’ultime APPEL, celui qui ne s’écoute pas.
Vous avez bien voulu voir les mains ensanglantées, les poings dressés, les marches blessées, les courses éperdues, les corps tombés, les genoux à terre, les balles qui perforent, les gaz qui asphyxient, les haches qui tranchent dans le vif, les bâtons qui fracassent, toutes ces images que l’on doit voler au mensonge parce que l’on nous donne qu’une liberté captive.
Vous avez bien voulu lire l’isolement de ces femmes et de ces hommes qui hurlent leur colère avec la toujours fierté de ceux qui n’ont jamais eu peur de porter sur leur visage le sang des leurs.
Vous avez bien voulu saisir dans les yeux de l’Ange, le dernier regard que l’on extirpait de la vie, le regard déjà perdu en filets pressés et carminés, qui ne comprenait pas et qui pourtant lançait l’ultime APPEL, celui qui ne s’écoute pas.
Vous avez bien voulu voir les mains ensanglantées, les poings dressés, les marches blessées, les courses éperdues, les corps tombés, les genoux à terre, les balles qui perforent, les gaz qui asphyxient, les haches qui tranchent dans le vif, les bâtons qui fracassent, toutes ces images que l’on doit voler au mensonge parce que l’on nous donne qu’une liberté captive.
Vous avez bien voulu lire l’isolement de ces femmes et de ces hommes qui hurlent leur colère avec la toujours fierté de ceux qui n’ont jamais eu peur de porter sur leur visage le sang des leurs.
Notre liberté à nous est lovée dans nos cages thoraciques.
La voix de la Résistance iranienne est enfermée dans une cage dont les barreaux sont en chape de plomb insonorisée, doublée de capiton barbu.
Je sors et vous sortez du fond de vos entrailles votre autonomie par les moyens qui sont les nôtres, pour faire surgir l’horreur sous quelques clartés, quelques lueurs de leur Honneur, que les barbares et ceux qui les suivent en troupeau servile dans le monde entier se nourrissent d’un silence empoisonné et indigne de s’associer au qualificatif « humain ».
Plaiethore
Le poète Persan Bahâr s’adressant aux colombes:
« Approchez-vous,mes fidèles compagnes,
je vais ici vous jeter du millet.
Car je suis triste et votre société
m’est plus propice que celle des hommes ».
( BAHAR,mort en 1951,a été professeur à l’Université de Téhéran et a été considéré comme le plus grand écrivain de l’époque moderne .)
Vous avez compris Ma Capitaine pourquoi, agrripé tout en haut du mât de votre vaisseau intergalactique, j’agite depuis quelques jours mon ardeur déroutée comme un étendatd qui gicle le jus écarlate.
Vous avez bien voulu entendre les clameurs tenues sous silence du peuple iranien qui suinte l’oppression.
Vous avez bien voulu saisir dans les yeux de l’Ange, le dernier regard que l’on extirpait de la vie, le regard déjà perdu en filets pressés et carminés, qui ne comprenait pas et qui pourtant lançait l’ultime APPEL, celui qui ne s’écoute pas.
Vous avez bien voulu voir les mains ensanglantées, les poings dressés, les marches blessées, les courses éperdues, les corps tombés, les genoux à terre, les balles qui perforent, les gaz qui asphyxient, les haches qui tranchent dans le vif, les bâtons qui fracassent, toutes ces images que l’on doit voler au mensonge parce que l’on nous donne qu’une liberté captive.
Vous avez bien voulu lire l’isolement de ces femmes et de ces hommes qui hurlent leur colère avec la toujours fierté de ceux qui n’ont jamais eu peur de porter sur leur visage le sang des leurs.
Notre liberté à nous est lovée dans nos cages thoraciques.
La voix de la Résistance iranienne est enfermée dans une cage dont les barreaux sont en chape de plomb insonorisée, doublée de capiton barbu.
Je sors et vous sortez du fond de vos entrailles votre autonomie par les moyens qui sont les nôtres, pour faire surgir l’horreur sous quelques clartés, quelques lueurs de leur Honneur, que les barbares et ceux qui les suivent en troupeau servile dans le monde entier se nourrissent d’un silence empoisonné et indigne de s’associer au qualificatif « humain ».
Je vous remercie pour eux, les Iraniens, je vous remercie pour cet Iran qui ne cesse de faire battre ma pompe sanguine.
Bien à vous et sur le pont.
Merci également à cette magnifique Magicienne, qui comme vous a su poser avec finesse toute son attention sur ce que beaucoup continuent à ignorer.
… Un petit doigt (du village de Monpetitdoigt) m’a dit que la surprise de Gertrude n’était plus très loin d’arriver ; l’on me crie aussi (le petit doigt est très autoritaire) que la surprise doit s’apprêter avant de se montrer, car elle tient à faire honneur au beau crâne…
Merci encor’ cor’ cor’ cor’ !
Et les femmes là dedans?
Un minuscule clic de souris face à une souffrance incommensurable…
Votre écriture est …
Je ne suis pas au bout de mes surprises avec vous, Plaiethore!
Quoi? Cor?
Vous avez retrouvé le corps de Gertrude???!!!!!!!!!
Raaaaaaahhhhhh!!!!!
… honorée car posée sur votre pont.
Du tout, du tout ! Point de cor ni de corps… 🙂
C’est la moindre des choses et cela tombe sous le sens: qui d’autre que vous pouvait écrire cet article?
Vous allez tuer ce qui reste: le peu qu’il me reste…
Un cor au pied ne me servirait pas à grand chose, tout bien réfléchi…
La Magicienne remercie le Capitaine de l’avoir acceptée à son bord et à Plaiethore de son estime pour l’Ombre où elle se tient…présente comme elle le peut…avec son Amitié aux carrefours des Nuits.
C’est que j’espère bien vous tuer (au sens figuré hein) de joyeuseté quand la surprise se présentera à vos pieds absents.
🙂
Ce sera donc chaussure à mon pied.
Vous m’ôtez le talon de ma bouche.
A bientôt Chère Capitaine.
ça fait mal?
Pour répondre à la Capitaine,des femmes Persanes poètes,je n’ai qu’un nom à ma connaissance, Râbe’ é,mais point de poème à lui citer,hélas de cette gazelle duXèm siècle…Navrée!
Non ce n’était pas le sens de ma question, et vous êtes toute pardonnée.
Je me questionnais (bêtement) sur la « société » des femmes; à moins que les colombes…
Cela faisait mal tant qu’il était dans ma bouche, vous pensez bien… un talon aiguille en plus !
Je m’en va pour de bon, mais je reviendrai vous donner des nouvelles de ma tête en perdition.
Douce fin de jour.
je répare:
« L’amour de lui m’a ressaisie dans son étreinte,
mon grand effort est resté sans profit.
L’amour est une mer,la côte hors de vue:
sages,vous le savez ,à quoi bon tenter de nager? » (Râbe’è )
Donc c’est d’intérêt public de venir vous tirer les pieds pour sauver votre tête. 🙂
Bonne soirée à vous, cher Plaiethore.
Vous savez quoi?
Vous êtes une fieffée obstinée!
Pour vous ma plume se fait au mieux,afin de vous satisfaire!…
est-ce un reproche?
ça pour vous faire la plume, je vous fais confiance…
Que nenni!
Je suis une cornue qui admire les têtus de tout poil et de toute plume.
Ah!…je vais pouvoir courir chez la boulangère la plume moins frissonnante!!!
En corps???!!!!
Vous avalez combien de baguettes par jour?
À moins que vous ne soyez amoureuse de face de grenouille..
Je vais me poser des questions sur le soi-disant sexe à pile de mon crâne…
C’est que en corps perdu en Perse…la baguette!!!!!!!!!!!!!!!!!faut lui courir après,et face de grenouille a fermé boutique ce tantôt,alors me voilà à checher une autre mare,vous croyez que c’est mar-rant????
Quel chagrin! Qu’allez vous devenir sans miss Crapaude?
Vous devriez essayer la mandoline…
ou lui déclamer quelque poème de la fratrie Brontë.
(je vais me faire jeter un sort…..)
Que de provocation!!!!
Oula!!!
C’est bien ce que j’avais dit…. Aïe! Aïe!
Avouez que vous adorez ça!
Je n’ai plus que cette option pour vous intéresser, tant vous êtes couverte de fleurs (justifiées); vous ne voulez tout de même pas que j’en rajoute une couche…
point!!!!!!!!!!….ce serait m’enterrer,voyons,et avant l’heure.
Patientez encore…A moins que ma dispararition ne vous presse?
Non justement..
L’oraison est loin, aussi loin que l’horizon.