68 réflexions sur « Interlude: Le Capitaine hors les murs »

  1. En ce moment, je vous trouve un peu trop ésotérique, cher Vincent. Est-ce vous, est-ce moi? ou les chinchillas… Mais il y a quelque chose qui m’échappe. Tant mieux, tant pis.

  2. Éso, éro… quoi ? J’évoquais par ailleurs ‘Du vent dans les branches de sassafras’, je pense qu’il y a eu confusion… Et si vous pensez que je vais vous laisser mener le jeu !

  3. Désolée, je ne connais pas tout. À vrai dire, je ne connais pas grand chose; je sais juste une chose: je n’ai aucun doute sur l’issue d’un jeu sur mon terrain et votre assurance en est presque attendrissante.

  4. Pour vous, je m’arrêterai à « frimeur » car les termes en « ant » et en « ois » sont encore moins flatteurs (bien que non dénués de vérité); je ne voudrais pas simplement trop charger la barque. Ce serait gagner un peu trop facilement.

  5. Vous savez, soeur Anne qu’actuellement la Vanité est vraiment à la mode; elle est même mangée à toutes les sauces.

    Je pense que Gertrude la snobinarde va finir sur une île déserte, à moins qu’elle se trouve une carrière d’os à ronger dans quelque recette de boeuf mode.

  6. Les catacombes? Il y a vraiment trop de monde et on ne sait plus trop qui on y côtoie…

    Comment ça « bon débarras »? Vous n’avez qu’à plus me fréquenter, je ne vous retiens pas.

  7. Oh, incompréhension, mère de tous les malentendus ! Je voulais simplement dire que les catacombes sont un bon débarras, car vu tous ces machins qui vous entourent – et que vous vous fatiguez à imager -, là vous trouveriez de la place où les ranger et donc plus de place dans votre petit intérieur, pour vos exercices, moins de dépenses de chiffons en microfibres, de sac d’aspirateurs poussiéreux et antihygiéniques, etc., etc.

  8. 1) Ce qui m’entoure ne sont pas des « machins »

    2) Je ne me fatigue à rien, même pas à vous répondre

    3) Mon intérieur n’est pas petit

    4) Je ne fais aucun exercice; je suis contre toute forme de sport

    5) Je n’ai aucun budget « chiffons »

    6) Je déteste la microfibre

    7) Je possède un aspirateur sans sac

  9. Décidément ! Comment les publicitaires vont-ils s’en tirer si vous faites école ? Un peu de sens civique ! Le Pays attend de nous tous une nette reprise de la consommation des ménages. Ce doit être un effort et individuel et collectif permanent ! (C’était un message de du ministère de la Con-sommation).

  10. Oui, à l’haleine chargé de bière, la Rodenbach, que l’on accompagne de crevettes grises dans les bars alentour de la minque de Nieupoort… ‘Tout un poème, cette Flandre-là’, comme dit encore la cousine, qui n’a jamais même osé lire, comme poésie, le Cantique des cantiques, dans son livre de messe hérité du trisaïeul.

  11. A la mode de quand ? Mais nous étions là avant !!! Pfffffff ! Ils s’en lasseront avant nous ! La mode ça change tout le temps sauf chez les snobs. Quand cele ne sera plus à la mode, nous serons toujours là… jusqu’à notre mooooooort !

  12. Bon, vous m’indisposez, je vais prendre ma petite dose de magnésie dixmudée… C’est là où ma cousine va en pélerinage, car le Crucifils de Dieu y veille sur la Flandre éternelle. Atchoum !

  13. Voyez-moi ça! On va prendre sa petite poudre de perlinpinpin et sa tisane histoire de faire le coup du calvaire cruxiforme à la cousine.

    Attention Atchoum, c’est le nom d’un des célèbres nains qui ont courtisé Blanche-Neige.

  14. Je ne dois aucun droit aux studios Oualdisné, j’atchoum comme bon me semble… et où bon me semble. Quant à la cousine, elle n’est même pas cruciformée, on verrait ses saints !

  15. Bon, heureusement que vous êtes virtuel, car vous devenez d’anges heureux.

    Je vous prie, Saigneur V., de ne pas trop insister sur l’anatomie bénitière des membres de votre famille, je vais bientôt dîner de quelques produits du terroir; je ne voudrais pas avoir des hots le choeur.

  16. De plus la confiote d’oignons c’est un vieux truc dépassé, un poncif de bof des années 80. Maintenant on en est au confit de vain.

    Mais vos rillettes ne sont rien à côté du foie gras de par chez moi (qui n’a pas besoin d’artifices ni de confitures)

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