17 réflexions sur « Interlude: Le Ciel de Gertrude. »

  1. Ciel…vous avez raison!!!Il y a du monde qui vous attend sur Nerval…et moi ,je sens que je vais avoir une houle quand à mon alchimie nervalienne, un peu « toc ».Fallait que ça m’arrive un jour ou l’autre.Si jamais vous me mettez le paquet aussi,je fais quoi? …je vais sourire de mes trois têtes…le carrefour a des dangers…J’assume…enfin …je vais essayer.

  2. Je ne sais pas si je vais aller trainer mes basques de bricoleuse praticienne (et non de péril patéthique sienne) au pays des universitaires…

    Je m’en vais tater mon crâne et consulter les entrailles de mes oracles putrides.

  3. Oula je sens de l’H représailles se profiler à l’Horizon…

    Non je viendrai, c’est promis mais je ne serais peut-être pas telle que vous m’attendez!

    J’agis toujours d’accord avec moi-même, c’est-à-dire en complet désaccord avec ceux qui vivent en dehors de moi.

    PS

  4. Vous viendrez comme bon vous semble…en NOIR, en ROSE ,en SUAIRE…Puis-je mieux dire ?
    Je vous salue d’une révérence des plus enjouées…ravie de votre retour. C’est pas d’usage de trop montrer son plaisir,mais je me moque de ce qui se fait ou pas.
    Ceci dit, j’essaie d’être le plus présentable possible.
    J’aurais la classe d’Oscar…( enfin, vite dit…je ne suis pas  ce qu’il était…nous n’avons pas été dans la même geole…) et ,autre temps, autre époque…Je voulais dire que je mettrais le plus d’esprit possible tout en étant moi-même…Qui suis-je?
    Voila bien le noeud du problème !!!!

  5. Est-ce là une perfide allusion à une des « têtes » de ma connaissance?…une ramification extancée d’ hécatonchyre…j’en apprends des choses à fréquenter ces blogs…on est aimable avec l’inculte que je suis sur certains mots, on m’instruit…

  6. Strates de gris-bouillie à usage folique, ce qui fortement recommandé pour mon âne Emie – une brave bête, un peu fragile, cependant –, qui me suit fidèlement depuis lustre et moult périples.

  7. Je ne sais plus voir un paysage sans qu’une foultitude d’images littéraires me traverse la tête, de Miguel de Cervantès à Georges Bataille en passant par Stefan Zweig…

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