10 réflexions sur « Interlude: Le Ciel de Gertrude. »
J’aime beaucoup cette photo, elle ferait une belle aquarelle. Une gamme de gris très reposante qui invite à la contemplation ou à la méditation, c’est selon, du gris souris, du gris tourterelle, du gris haut en couleur… Bien à vous Gertrude
Bravo Émile, vous êtes le premier à donner le La sous cet article et à aquareller les gammes de ce lever de soleil. Vous avez toujours le sens de la nuance.
« ….on ne voit pas la flotille bruissante d’ailes qui tient son cap patient vers le lointain sud mais seulement les feux de position des autres migratrices au-dessus de nous les silencieuses les très froides les étoiles de la Galaxie qui dérivent inexorablement dans l’Univers en expansion… »( Claude Roy)
…La respiration de la terre, rejettant des souffles de brume dans un océan de nuages… Etrange rivage que celui des deux mondes… relié par un fragile possible, une main aux multiples doigts cherchant sans cesse à unir l’impossible…
J’aime beaucoup cette photo, elle ferait une belle aquarelle. Une gamme de gris très reposante qui invite à la contemplation ou à la méditation, c’est selon, du gris souris, du gris tourterelle, du gris haut en couleur…
Bien à vous Gertrude
Bravo Émile, vous êtes le premier à donner le La sous cet article et à aquareller les gammes de ce lever de soleil.
Vous avez toujours le sens de la nuance.
Dommage…. 😉
« Malgré la transparence obscure de l’espace
« ….on ne voit pas la flotille bruissante d’ailes
qui tient son cap patient vers le lointain sud
mais seulement les feux de position
des autres migratrices au-dessus de nous
les silencieuses les très froides les étoiles de la Galaxie
qui dérivent inexorablement dans l’Univers en expansion… »( Claude Roy)
Superbe…
J’en clignote…
C’est juste cela..
Une émotion oxymore…
…La respiration de la terre, rejettant des souffles de brume dans un océan de nuages… Etrange rivage que celui des deux mondes… relié par un fragile possible, une main aux multiples doigts cherchant sans cesse à unir l’impossible…
Utopique rencontre que la promesse de l’horizon…
Je gris-bleute dans ce ciel… il y a comme une invitation, mais le chemin passe par les brumes, et dans la brume, souvent je m’enrhume.