À vue de nez,
les quarts du trois quart de Gertrude
se calculent
dans le quart écartelé
entre son référent et ses représentations.
« C’est vain » dirait J Croix.
Vous y croyez, vous?
En attendant
cela fait bien quatre fois quatre quarts plus un quart
que
est en ligne
et elle fait toujours des calculs absurdes
L’image montre, sur un carnet de dessins, le carton de tapisserie de Gertrude vue de trois-quart et son nuancier.
Le texte fait allusion
– aux odeurs curieuses de cabinets
– au supplice de l’attente calculée qui nous torture
– aux ‘Vanités d’Anne Hecdoth’ (l’artiste est émue et vous remercie)
– à moi-même, modeste critique et historien d’art
– au doute dubitatif
– à l’absurdité du temps quand on attend
– aux lignes qui nous relient
Le rapport texte/image évoque la vanité du grand écart.
Excellente Anne à lise, cher J Croix, vous oubliez juste la prise de vue décalée!
Très juste, Marguerite… Cela évoque l’intensité cognitive chauffant sous ce crâne écervelé.
La Rose boude le cramoisi ?
……………………………..Aurait-elle peur de la tombe regardée ?
Sachez que deux petits cochons sommeillent au fond de ce blog rose:
Toute une histoire!
Le cognitif chaud c’est équivalent au vain show.
Non, très chair, votre pauvre Capitaine ne boude pas votre boudoir, mais est totalement décervelée par ses vies parallèles. Je viendrai je vous le promets; il faut juste que je récupère un peu de ma matière grise répandue sur le bitume de mes vicissitudes pour affronter votre littérature. Maintenant, je sais que vous êtes entourée d’une bande de soupirants assidu et plus ou moins clignotants et cultivateurs de pétunias scintillants.
Je prépare mes arcs boutant pour être à la hauteur de vos élévations gothiques!
Pas de risque que j’échange un grain de verroterie de plus contre un jambon dégraissé. Il ne reste plus, en effet qu’un seul petit cochon dans mon état j’erre, un pauvre petit cochon déboussolé et sans cervelle. Et comme dirait un de mes oncels agriculteur: un cochon maigre a perdu tout le bon.
Voici bien longtemps que j’ai fait le deuil de ce Jean Bon:
Quant à vous, je sens comme un petit regret attendri des pétunias clignotants…
Mais les roses rouges, ce n’est pas mal non plus!
Mais non ,puisque je n’ai point eu l’heure de voir ces pétunias là .
Les roses rouges c’est éternel …symboliquement parlant ….:)
Vous avez reçu mon mail?
Oui……………….. 🙂
Et les traces sous les trois quarts de Gertrude? Qu’est-ce que vous en faites de toutes ces traces,bavures, macules et autres cochonneries?
Las, las, ma mie, réintégrez vos intérieurs et cessez de gâcher votre belle matière grise et rose. Comme on dit joliment : ne donnez plus de perles aux cochons même s’ils ont de fort jolies fesses!
Allons…chère sans chair …un seul crâne vous manque et tout est dépeuplé aux abords du cimetière hanté de vers luisants …Quoi donc clignote ? Point vu de pétunias depuis des lustres …
Quelque suaire un soir …peut-être …peut-être…là-bas …:)