L’ÉTAGÈRE EN VALISE*
OU
AUTO PSY
DES PLANCHES D’UN
TRI MARRANT
JC, octobre 2010, L’étagère en valise, collage d’éléments divers, ancienne boite à bijoux en bois trouvée dans une poubelle Paris 18ème, 5cm x 24cm x 30cm fermée 2,5cm x 30cm x 48cm ouverte.
La grande majorité des composants de cette réalisation sont la conséquence directe de l’interaction de Gertrude avec ses interlocuteurs.
Une mention spéciale et un grand Merci à la très Magicienne Hécate, à Plaiethore écorché, à ma Mère Cière, fabuleuse ambuleuse, et à l’Inconnu Navigateur des quatre points Cardinaux.
Si vous voulez en savoir plus, consultez les
de cette expérience,
et explorez chaque étage de l’entreprise.
Aujourd’hui, cela fait exactement deux ans et dix mois que le Capitaine fait voguer n’importe quelle planche pourrie à la surface d’Internet.
* Parce que Duchamp est inimitable
J’aime la poésie qui se dégage de cette valisétagère.
Décidément, chère Gertrude, vous faites, avec permanence, dans l’hétéroclectique… réussi. C’est ce que semble prouver l’éperdue présence flottante de votre planche à Toile… pas si pourrie que vous le prétendez. Ce radeau, finalement, me méduse. Bien à vous. V.
Merci mon cher Cap’tain; heureuse de vous voir à nouveau fouler les planches de mon rafiot.
Le Bricolage est un de mes sacerdoces…. C’est une poésie à laquelle je m’essaye…
Et sans me prendre pour une « artiste »:
La poésie du Bricolage lui vient aussi, et surtout, de ce qu’il ne se borne pas à accomplir ou exécuter ; il « parle », non seulement avec les choses, mais aussi au moyen des choses. ( …) l’artiste tient à la fois du savant et du bricoleur.
Héhé, je n’ai jamais quitté ces planches là ! Je suis juste quelqu’un de discret parfois. Je devrais m’y mettre moi aussi. Récemment je me suis procuré de la terre pour faire un terrebricolage mais je ne trouve pas le temps…
Mais que deviendrions-nous mon cher V. si les radeaux n’étaient pas faits de quelques planches pourries…
Toujours prêt à sombrer mais flotte encore! Fluctuat nec mergitur.
Il est bien de rester proches des méduses…
Merci d’être toujours là.
Vous trouverez, vous trouverez, j’en suis sure! J’ai cru voir que vous aviez toutes les aptitudes pour devenir un capitaine du modelage!
Sinon, je sais très bien que vous venez fureter dans mes cales de temps en temps… 🙂 et vous serez toujours la bienvenue.
La Fluctuat nec mergitur…, pour une belle péniche, c’est une belle péniche… et je n’ai pas trop de souci pour elle… Nonobstant…
Les péniches sont parfois un peu plates. J’aime bien aussi les tris marrants sur les mers déchainées…
Bon j’arrête là mes images, ne poussant pas trop la dérive…
Avec vous, on ne sait jamais dans quel os séant on navigue… 🙂 nonosse tant
Des péniches plates… Avec un seveu sur la langue, on peut appeler ça des langues de chat… Bon ! moi aussi j’arrête là mes jeux de mots laids…
Euhhhhh…..
Ze l’attendais zèle-là! Chat alors!
Bien à vous, cher V des Je de maux (et non du Brie de meaux)
Ne pas confondre ‘Bris de mots’ avec ‘dégâts des os’, n’est-ce pas !
Ces cata strophes en ces catacombes me comblent!
Si l’on m’avait dit un jour que j’aimerais autant retrouver des bouts de moi « enfermés » dans une valise… comme dans une mallette… j’aurais sûrement cracher sur mon interlocuteur.
Et voilà que maintenant je crache sur mes ongles pour les polir et les faire briller !
Bel Os de ma Plaie, vous savez tout de même que la dé-boussole n’a pas été modifiée par mes soins et qu’elle est un véritable mystère de magnétisation qui se marre ?
Polissez, polissez, mon Bô… Mais ne soyez jamais poli, vous si brillant!
NON!!!!?????
Donc un vrai raide y made à bruit secret!!!!
J’en suis abasourdie, toute esbaudie!
Aucune crainte sur le polissage du bon poli ; je ne sais même pas prononcer des condoléances… alors bon ! 🙂
Nous sommes deux! 😉
« Les oeuvres de génie ont le pouvoir de représenter crûmement le néant des choses ,de montrer clairement et de faire ressentir l’inévitable malheur de la vie ,d’exprimer de terribles désespoirs ,et d’être néanmoins une consolation pour une âme supérieure accablée ,privée d’illusions ,en proie au néant ,à l’ennui et au découragement ou exposées aux peines les plus amères et les plus mortifères .
En effet les oeuvres de génie consolent toujours ,raniment l’enthousiasme ,et ,en évoquant et représentant la mort ,elles rendent momentanément à l’âme cette vie qu’elle avait perdue : ce que l’âme contemple dans la réalité l’afflige et la tue ,ce qu’elle contemple dans les oeuvres de génie qui imitent ou évoquent d’une autre manière la réalité des choses ,la réjouit et lui redonne vie « . (LEOPARDI )
Un petit » sabayon « admiratif …:)
Waooo!
Gertrude ne serait rien sans quelques génies de lampes magiques….
.. ».lampe au bec d’argent »…
🙂
votre M…
Oui… vous êtes bien M…
Toussa pour chat!
Es-tu allé voir les détails?
L’oie rien de telle quand elle est bien grasse! Cong!
C’est la vie, chère amie..
C’est la vie en Rose (rouge)!
Merci à vous et au ROUGE que vous faites circuler sur mes planches.
Troquez votre stylo rouge contre une encre sympathique !!!
Moi? Jeter l’encre? Vous n’y pensez pas!!!!!!
Ton cranibus abrite une rangée de triples états j’erre en bois de être…
C’est comme cela que long thème…
Et les petits chevaux, et les dames et le jeu de l’oie sont à la poubelle maintenant ?
On va être dans l’obligation de regarder la télé maintenant ?