Ou les voyages de Gertrude
en sphère privée
Le globe terrestre en plastique a été trouvé dans les poubelles de l’immeuble où habite JC.
Cela fait exactement quatre ans et neuf mois que Gertrude fait le tour de son monde
à la recherche de la route de l’Os.
Mais la caravane trépasse…
Il y a aussi les caprices en cornes tropicales.
Révélation de Ste Gertrude :
JC n’habite plus une crèche mais un immeuble !
à loyer modéré, j’espère parce que, avec la crise, la religion ne rapporte plus
c’est MOIne qui vous le dit
L’image me fait penser à une mèche allumée
au bout d’un bâton de dynamite
pour faire péter la planète !
« Quand le fruit est mûr, il choit de l’arbre.
Terre, tu es un fruit mûr,
et toi aussi tu dois tomber.
Je t’accorde un jour encore;
Mais si demain le jugement dernier
n’est pas encore venu,
Je te creuserai en ton centre,
Et ce trou je l’emplirai de poudre
Et je ferai sauter
Le monde en l’air !
et Petofi s’endort…
ou bien qi notre chère Gertrude préfère:
Mindenkinek barátság, kegyelem,
Csak a királyoknak nem, sohasem!
Lantom s kardom kezembül eldobom,
A hóhérságot majd én folytatom,
Ha kívülem rá ember nem akad –
Akasszátok föl a királyokat!
http://www.youtube.com/watch?v=6D2pxgAU97k&feature=plcp
Le poète est une comète …
Le monde a la poubelle c’est le monde à l’envers…Un petit chez soi …plus tôt que courir la planète ? C’est avoir le monde à ses pieds, ya des vaines -art !
Je suis bien d’accord; les loyers même modérés restent bien trop chers même quand on a la Foi.
C’est normal c’est une planète en PLASTIC trouvée dans les poubelles.
C’est du grec? Mais j’ai un petit faible pour l’écriture aussi. Merci Ledif.
C’est triste et beau comme du vrai; j’en avais la larme à l’oeil. Merci soeur Anne.
Cette terre en plastique dans la poubelle était totalement irrésistible et….. irréductible!
mon père avait la même, c’était une lampe .
ah non ! ce n’est pas du grec ! mais de la langue paternelle du nain à talonnettes qui vous servit de pr&sident. Le grec c’est bien plus beau !
Σ’ αγαπάω μ’ ακούς;
Κλαίω, πως αλλιώς, αφού αγαπιούνται οι άνθρωποι
κλαίω για τα χρόνια που έρχονται χωρίς εμάς
και τραγουδάω για τα αλλά που πέρασαν, εάν είναι αλήθεια.
Για τα «πίστεψέ με» και τα «μη.»
Μια στον αέρα μια στη μουσική,
εάν αυτά είναι αλήθεια τραγουδάω
κλαίω για το σώμα πού άγγιξα και είδα τον κόσμο.
Έτσι μιλώ για ‘σένα και για ‘μένα..
Επειδή σ’ αγαπάω και στην αγάπη
ξέρω να μπαίνω σαν πανσέληνος
από παντού, για ‘σένα
μέσα στα σεντόνια, να μαδάω λουλούδια κι έχω τη δύναμη.
Αποκοιμισμένο, να φυσάω να σε πηγαίνω παντού,
σ’ έχουν ακούσει τα κύματα πως χαϊδεύεις,
πώς φιλάς, πώς λες ψιθυριστά το «τι» και το «ε.»
Πάντα εμείς το φως κι η σκιά.
Πάντα εσύ τ’ αστεράκι και πάντα εγώ το σκοτάδι,
πάντα εσύ το πέτρινο άγαλμα και πάντα εγώ η σκιά πού μεγαλώνει.
Το κλειστό παντζούρι εσύ, ο αέρας πού το ανοίγει εγώ.
Un monde en plastique et …. éclairé.
Les pauvres hongrois, c’est pas de leur faute!
Bon, c’est vrai que je n’y comprends rien, mais ça m’a l’air bien beau…. Euh, je me méfie du contenu, avec vous…
Petofi, c’est un grand poète !
SANDOR mais toujours éVEILLé ! chère « éCLATéE.
ah! …Ledif que devenez-vous ?
y a pas que le tropique du cancer dans la vie !