« D’où vous vient, disiez-vous, cette tristesse étrange, Montant comme la mer sur le roc noir et nu ? » — Quand notre cœur a fait une fois sa vendange, Vivre est un mal. C’est un secret de tous connu,
Une douleur très-simple et non mystérieuse, Et, comme votre joie, éclatante pour tous. Cessez donc de chercher, ô belle curieuse ! Et, bien que votre voix soit douce, taisez-vous !
Taisez-vous, ignorante ! âme toujours ravie ! Bouche au rire enfantin ! Plus encor que la Vie, La Mort nous tient souvent par des liens subtils.
Laissez, laissez mon cœur s’enivrer d’un mensonge, Plonger dans vos beaux yeux comme dans un beau songe, Et sommeiller longtemps à l’ombre de vos cils !
Il est bien évident que sur les deux bonnes centaines d’os que compte ma carcasse, il y en a peut-être un petit morceau qui n’est pas très controlable, mais mon crâne est froid et depuis bien longtemps perdu à toute idée de raison.
Mais n’allez rien imaginer pour autant…
Il existe seulement quelques miracles détonnants dans cet espace virtuel improbable….
Tout cela je le sais, et je vous taquinais en me taquinant moi-maime.
Il y a une très grande connivence entre ce grand oiseau photographe de ténèbres et mon crâne, connivence immédiate et mystérieuse; quelque chose d’un peu fou.
Vous avez lu le texte: « La vérité en Gertrude »? Je tente là une sorte non pas d’explication mais d’élucidation de ce phénomène où tout un code s’est construit en quelques mois, où l’aventure Gertrude a trouvé ses fondations, dans cette performance à quatre mains:
« une performance virtuelle hors du commun… Mais la flottille déployée sur la toile sera toutefois arraisonnée avant d’être sabordée par un pirate informatique. Ainsi soit-il !… «
» Semper Eadem »…
Très bon choix! 🙂
« D’où vous vient, disiez-vous, cette tristesse étrange,
Montant comme la mer sur le roc noir et nu ? »
— Quand notre cœur a fait une fois sa vendange,
Vivre est un mal. C’est un secret de tous connu,
Une douleur très-simple et non mystérieuse,
Et, comme votre joie, éclatante pour tous.
Cessez donc de chercher, ô belle curieuse !
Et, bien que votre voix soit douce, taisez-vous !
Taisez-vous, ignorante ! âme toujours ravie !
Bouche au rire enfantin ! Plus encor que la Vie,
La Mort nous tient souvent par des liens subtils.
Laissez, laissez mon cœur s’enivrer d’un mensonge,
Plonger dans vos beaux yeux comme dans un beau songe,
Et sommeiller longtemps à l’ombre de vos cils !
Après Baudelaire…
Attendre RMB…
On ne peut rien vous cacher et vous êtes la Magicienne la plus curieuse que je connaisse.
En effet il y a aujourd’hui dans ce triblog deux messages tout à fait orientés.
Mais arrêtons là car il y en a un qui finirait bien par se prendre pour une légende vivante. 🙂
Cardinal, si tu m’entends…
…magicienne ,…
légende …
que de contes …semés ici et là …
Je vois l’aigle noir englué dans le crépuscule des pensées sombres d’un poète prométhéen que la finitude du monde enfumé désole…
Quelle marée noire….
Tu as peut-être un peu trop forcé sur les cierges…
Tu t’attendais à quoi?
Me reste à découvrir cet artiste qui vous fait tant vibrer.
Hop ! J’y vais !
Oh! L’ôtre! Vibrer… vibrer… fô p’tèt pas trop zègzagérer!
Vous comprenez, l’Otto Dix fois proclamé… si maintenant, il croit faire vibrer les vieux crânes…. Mon os, oui!
Roh ! Mais ne me dites-pas que vos osselets les plus secrets ne vibrent pas… Je ne vous crois pas !
🙂
Il est bien évident que sur les deux bonnes centaines d’os que compte ma carcasse, il y en a peut-être un petit morceau qui n’est pas très controlable, mais mon crâne est froid et depuis bien longtemps perdu à toute idée de raison.
Mais n’allez rien imaginer pour autant…
Il existe seulement quelques miracles détonnants dans cet espace virtuel improbable….
Je n’imagine rien ma Belle d’Âme Noire.
Je parle ici des vibrations que l’on ressent face à la création de l’autre.
Je ne me permettrai absolument jamais, Ô Grand Jamais, de penser en me tordant l’esprit. M’enfin !
Tout cela je le sais, et je vous taquinais en me taquinant moi-maime.
Il y a une très grande connivence entre ce grand oiseau photographe de ténèbres et mon crâne, connivence immédiate et mystérieuse; quelque chose d’un peu fou.
C’est bien ce qu’il m’avait semblé comprendre.
C’est précieux, magique, extra-ordinaire une connivence, grande de surcroît.
Vous avez lu le texte: « La vérité en Gertrude »? Je tente là une sorte non pas d’explication mais d’élucidation de ce phénomène où tout un code s’est construit en quelques mois, où l’aventure Gertrude a trouvé ses fondations, dans cette performance à quatre mains:
« une performance virtuelle hors du commun… Mais la flottille déployée sur la toile sera toutefois arraisonnée avant d’être sabordée par un pirate informatique. Ainsi soit-il !… «
Je cite!
Je l’avais lu il y a un bout de temps maintenant.
C’est avec grand plaisir que je le relirai. Oui.
Je vous quitte à présent, j’ai des pâtes à ébouillanter toutes crues.
Mais je reviens vous visiter bientôt.
Douce soirée Belle d’Âme
Tu sens pas comme un petit fumet de cochon grillé à l’étage du dessous ?…