Le Jeu de la Vérité N°5

 

Gertrude et la Mercière

Dans un subtil parfum N°5 à la chlorophylle

Gertrude se met au vert

pour un

Fil Rouge

 

Elle ouvre les malles du souvenir

et déroule l’écheveau d’une

Ambuleuse Brodeuse

à la surface des objectivités.

 

La Vérité serait-elle Os ?

 

Performance réalisée le mardi vingt quatre aout deux mille dix, jour de la saint Barthélémy, dans un jardin verdoyant sous l’oeil bienveillant de Jacques Tati et dans l’ombre fantomatique de Charlotte Corday.
Je remercie Marie-France Dubromel d’avoir accepté de participer à cette expérience.

X X X X X img_0373.jpg mfd pour JC

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Cela fait exactement deux ans et huit mois que Gertrude tisse des liens
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41 réflexions sur « Le Jeu de la Vérité N°5 »

  1. Ah!….un chat noir est passé  plusieurs fois …

    Gertrude et ses rencontres….multiples

    Gertrude entend et se laisse palper sans réticence  🙂

    Très intéressante cette histoire de la peur du crâne derrière ce grillage des années d’autrefois . La Mercière conjure-t-elle quelque chose  en touchant Gertrude ?

    Toujours un Grand Moment que de voir le Capitaine avec son grimoire et ses questions d » Inquisiteur !

    ( je repense au jour où j’y étais ….Gertrude coiffée d’une soie bleue …fichtre ! … )

                                                     Bonjour Madame l’Ambuleuse …:)

                                                                                                        La Magicienne

  2. Les 3 jalonnent le parcours d’événements …:)

    Quel étourdissant moment que de « voir » et « entendre » vos questions et découvrir mes réponses ;dans l’émotion je ne savais plus ce que j’avais dit ,m’étant laissée emportée par ce que je ressentais !…

                                               votre Macicienne

  3. Et moi ,l’ Enfer des Carrefours !!!!!!!!!!!!!!!!!!!

                                                     La Magicienne

                                                                         Hécate

  4. Un jeu où la vérité est plus qu’émouvante… La Dame Ambuleuse n’a cessé de toucher, de manipuler, de caresser Gertrude…

    L’approche n’est pas que la simple intellectualisation d’un cheminement artistique, la sympathique position à pénétrer les pensées de celle qui possède, la confortable démarche à imaginer une vie défunte.

    Il y a une réelle appropriation (jusqu’à la remontée de ses propres souvenirs d’enfance) d’un vécu par le tactile, par la chair.

    Oui, la relation est ici audacieuse et charnelle. Un comble pour un si vieil Os.

     

    Joli… Je suis rêveur…

     

    Belle journée Bel Os de ma Plaie

  5. Emotion. Jusqu’au bout. Ces caresses sensuelles à souhait. Des questions pas si absurdes que ça. Du tout. Bien au contraire. D’une simplicité qui déroute. Soit ! Gertrude intimide. Sûr ! Laisse coi. Quoi ? Puis la langue se délie… Gertrude en voyage fait voyager. Gertrude au regard si profond. Qui claque des dents. Même. Merci à l’Ambuleuse Mercière de nous la rendre si vivante. Gertrude bouge, se balance, virevolte, sourit. Gertrude vit. Je l’ai bien vue.

  6. Gertrude adore les caresses  rrrrrrrrrr…..rrrrrrrrrr……..rrrrrrrrrrr….. Aurait-elle été chat en une vie antérieure?

     

    Maintenant(à part un ursidé de Mongolie) il ne manque à mon tableau vaniteux qu’un petit végétarien…

    Mais je sais que vous ne viendrez jamais, mon Bô, car un végétarien rongeant un os… hum…

    Mais je me suis fait une raison; je vous aimeeuuuuh quand même.

     

    Je crois que je vais me faire mordre par l’autre alien!

  7. Rappelez-vous comment cette satanée Gertrude vous a fait raconter cette magnifique histoire de petit chevreau…

    Là, aussi, elle était bien réveillée; vous pas si coite; elle toute ouie!

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