Sans faire trop cas d’Éros
Cela fait deux ans et onze mois
Que Gertrude a fait le pari
D’être Os de Paris
En tête Capitale
D’une dame de faire
JC, décembre 2010, La Relique de l’Os de Paris, photographie sous loupe, acrylique, crayon de couleur sur chromo sous verre bombé achetée sur Internet, 2 x 9 x 12 cm
Prenez le métro et faites quelques stations:
gertrudenoire
gertruderose
Getrude et l’obsession des reliques….et des transports en commun !
L’Os de Paris ,faut le faire ! une spécialité unique ,artisanale et estampillée .
Bien vôtre
H.
C’est cela…oui… Les transports en commun, un terme qui convient bien à l’entreprise gertrudienne: vous transporter tous dans mon cyber rafiot dans une folle communion.
Amen!
L’Os-tie en vaut le cierge ,les deux allument
Je me dégage de toute responsabilité sur ces propos éclairés et allumés.
Dans sa bulle, Gertrude semble vouloir se protéger des éruptions érotiques mais Paris sera toujours Paris : les héros tiquent et le Capitaine trinque.
Vous comprenez bien, ma soeur Anne, que faire trop cas d’Éros pourrait nous amener très dangereusement et fallacieusement à nous interroger sur les aspects phalliques d’une vieille ferraille érectile et sur les capacités zéro tiques et spasmodiques des grandes Os.
Mon cher Gustave, ces considérations spéculatives et boursicoteuses sur les envolées de mes côtes flottantes en mailles qui m’aillent sont vieilles comme l’Origine du Monde, et je garde le crâne froid quant à la flambée du gag 40, quand bien même ce serait le quarantième rugissant.
Erre OS ! C’est ton destin !
Malheureux hère de Paris !
EN FIN!!!!!! Le débat s’envole!
Merci ma Mère Cière d’avoir vu la Raie fait rance. 🙂
Et bien, le mec contemplatif assis à droite, un peu constipé sur son socle, il ne m’a pas l’air si d’accord que ça avec le concept de l’os ferrugineux….
Hips….
Tu remarqueras que là, j’ai allumé un beau cierge.
Je pense que les nippons sont moins sensibles à la grotte de Bernadette que les cardinaux. De plus, ils marchent en rangs serrés et ont plus d’un objectif dans leurs sacs ce qui les aident à rester debout.
Oups! Je crois que j’ai attrapé le syndrôme de Ledif Trocas, môa……
Alors là, j’avoue que j’ai quelques manques dans ma culture; Mais en cardinal consciencieux, un tantinet jésuite, tu vas bien me trouver ça pour illustrer tes propos allumés.
Je constate que Sainte Claire du Point G point comme, et dont notre père n’est pas vitrier va se coucher comme les poules mouillées alors que ce n’est même pas l’heure des vêpres ni des dés libération. Pourtant les points cardinaux devraient savoir que le Capitaine, pour ce vieux crâne creux, sous-traite la production de miracles et ne se fatigue pas à en produire à flux et à tir tendu, c’est trop fatigant et elle n’y gagnerait pas plus. C’est pourquoi nous avons parmi nos ouailles et nos brebis quelques princesses Bernadettes sorcinetttes à scoubidous intégrés, des faits du logiques, des bourlingueurs de l’espaces édentés mais pas sédentaires, des chevaux vapeurs et des Bernard ermites, et quelque jésuites en bas résille.
Vous faites voir des os
Vous faites voir des os quand vous riez, Gertrude,
Dont les uns sont entiers et ne sont guère blancs ;
Les autres, des fragments noirs comme de l’ébène
Et tous, entiers ou non, cariés et tremblants.
Comme dans la gencive ils ne tiennent qu’à peine
Et que vous éclatez à vous rompre les flancs,
Non seulement la toux, mais votre seule haleine
Peut les mettre à vos pieds absents,
Qui furent… Peut-être… déchaussés et sanglants
Ne vous mêlez donc plus du métier de rieuse ;
Fréquentez les convois et devenez pleureuse :
D’un si fidèle avis faites votre profit.
Mais vous riez encore et vous branlez la tête !
Riez tout votre soûl, riez, adorable bête :
Pourvu que vous creviez de rire, il me suffit.
Poème baigné dans l’Os de Paris, afin de rendre hommage à Gertrude et à ce qui fait de vieux os.
Je vois mon Bô qu’en ces OS…
En ces os troubles nous nous émouvons
En ces os t(h)ermales nous buvons les maux
En ces os claires nous nous mirons
En ces os dormantes nous rêvons
En ces os sans eau nous brûlons
En ces os dorantes nous nous enivrons
En ces os de pluie nous pleurons
En ces os qui dorent nous brillons
En ces os vidés nous naissons
En ces os séants nous nous noyons
En ces os péra nous chantons
En ces os Catarina tchi tchi
J’en perd les os
Et mes os de lapin
Lapin de messe
Et c’est la foire au pseud’os
Dans ce vert à Os
Si vers galant
Mon Baron
Ah ! Je ris de me voir si Belle en ce Miroir !
Je ne sais si je dois me prononcer sur une telle recette de poteau feu, mais je me demande si un brin de persil sur le porc de la Seine ce ne serait pas plus mâle.
Cong!
……….
Pareille spéculation de Notre Dame de St Aman-les-Ôs sur le lingot de métal blanc risque fort de nous conduire vers un nouveau déséquilibre des marchés et d’entraîner une flambée des places boursières…
Manquerait plus qu’aux pieds de cette tour ne s’envole votre côte de maille !…
Vad & RetrÔ
Trop cas des Rose
Reluqueuses de reliques
S’en est trop d’ÔÔs
Ferrugineuse
Offerte à la vieille dame
Prostituée
D’âge respectable
À laquelle on impose
Quatre fers en l’air
Et grand escarre
Pour une mesure
Nota Bene diction
Des plus Zaléatoires
Saint Antoine priez pour lui !
De quoi faire fondre plus d’un nippon pendant les illuminations
T’as pas dans tes archives une traduction manga de scoubidou ?
Je proteste !… Tu as Toit-même mis la barre très haut… (au sommet duquel toi échappe toute éminente vision du grade oeuf-cul-ménique)… En conséquence de coaaa je confis doigts et confis donc bénédiction en chaire Hécate appâtée, voire à défaut, s’il en manquait à la pelle, à quelque tour de roue de paon de Magicienne, et ce, concernant tous relevés d’empreintes nécessaires à l’an quête toujours et en corps en cours. Bonne nuit !
Ajouter un brin de tain dans le miroir de la relique permettrait de mieux reluquer la recette de l’os à vif.