Passage* n°3


Des Sillages silencieux

de la

Lumière

par les bruyants Sillons

de la

Seine.


Paris, pont d’Austerlitz, samedi quinze novembre, onze heures.

JC, Détail de Gertrude, Collection d’Automne, huile sur feuille morte de platane, 22 x 25 cm.


*Isidore Ducasse, Comte de Lautréamont, Les Chants de Maldoror, Chant deuxième.

(à suivre)

10 réflexions sur « Passage* n°3 »

  1. Merci pour l’aiguillage, ainsi nous marchons ensemble sur les traces d’Isidore Ducasse, l’espace est un absolu, une convergence vers des lieux fréquentés souvent par moi,et, la feuille de platane, marque le jalon  mélancolique d’une adolescence dans  une ville jamais quittée  , d’où je m’envolais vers ces quais de Seine …Déjà, le chant deuxième des CHANTS DE MALDOROR en moi…quelque part… »Je chechais une âme qui me ressemblât, et je ne pouvais pas la trouver. »
    Un rendez-vous intemporel, marqué du sceau de la fatalité, entre Paris et moi, attente incertaine d’événements indicibles… »Après ces commencements, étonnez-vous de me trouver tel que je suis! ». ( chant deuxième,Lautréamont)

  2. Non je n’ai pas lu Ph. Soupaut, sinon quelques phrases au hasard de votre blog que j’ai trouvé très belles .J’ai fait mettre ces références que vous me donnez en favori ,à mon retour je pourrais les retrouver et accompagner Gertrude…si je trouve les mots!…je ne sais jamais si je pourrai!!!( il faut  me croire)…Et…vous voyez, je ne connais pas tout!Le nom de Soupaut ,si, mais ,ses écrits,il ne me semble pas.
    Toujours à découvrir, c’est passionnant.
     A bientôt( je vous ai référencée dans la liste de mon blog )
                                                   Votre Hécate

  3. Merci de m’avoir mise en lien dans votre blog.

    Je vous souhaite un bon voyage (je ne veux pas savoir où vous allez mais cela m’a l’air important) et à bientôt pour nos navigations virtuelles.

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