Penser en couleurs

 

 

Le printemps ne peut être  

qu’exception colorée dans le Noir.

 

 

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JC, Portrait de Gertrude en roses,

pétales de roses, feuilles de rosier, aquarelle sur médium,

20 x 20 cm.

 

 

 

Cela fait cinq ans et cinq mois

que Gertrude ne souhaite penser

que ce que pensent les roses.

 

 

Pendant que la Noire se fait rose,

Gertrude rend hommage aux pensées de Marguerite

et Gertrude rose pense au printemps

parmi les marguerites.

 

 

17 réflexions sur « Penser en couleurs »

  1. Les pensées de Gertrude, et l’idée qu’elle peut avoir de la chaleur, sont des utopies colorées comme celles de vouloir transformer dans une alchimie bizarre de printemps l’os en rose. Mais vous, Marguerite, ne risquez pas devenir une paquerette; juste, au pire, une Marguerite venue du froid. 🙂

  2. Chère Gertrude, vos pensées colorées me vont droit au coeur. Les miennes ne vous ont pas quittée malgré des promenades outre-Rhin dans la froidure et l’humidité! Ces météos ne conviennent guère aux premières fleurs du printemps. La marguerite n’appartient pourtant pas à cette catégorie de belles fragiles, elle est en général considére comme robuste et rustique mais en vieillissant, elle se prend pour une  pâquerette frileuse  et s’enrhume pour un rien. 

  3. Mais bien sûr… et on pourrait dire de Gertrude, comme on disait de ces femmes tornades qui bousculaient la touffeur des salons  :  » c’est une nature, ma chère, (ma chair) »!

  4. Eternel débat entre nature et culture. Pour l’heure je la crois plutôt folâtre, plus sauvage que polissée, à mi-chemin en quelque sorte.  

     

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