Vu la chute vertigineuse
de sa fréquentation,
Gertrude décide de partir en guerre.
Ça va saigner* !
*Composition de la Seine de crime: Jus de betterave et sucre de canne
Après plus de trois ans de web
La Rose
commence à sucrer les fraises
et
La Noire
se fait menaçante
Du moins personne n’ira prétendre que Gertrude a du sang de navet !
Z
Comment ? Guerre et sang ? ….Jus de betterave …du sucre coloré à défaut d’orgie de chocolat .Ah!……le pavillon du grand mâte est en chocolat noir avec os en + !!!!!!!!
Misaine …et mitaines ,la guerre en dentelles …
Et personne ne dira non plus qu’elle est une bête rave vu qu’elle a un sang d’os.
Et vous n’êtes pas au bout de vos surprises parties.
….à ce point ? Diantre !!!!!!!
Je n’avait qu’une bête rave constipée sous la main.
Voui.
En plein dans la bidoche alors ?
On vous a déjà dit qu’en guise de bidoche, il s’agit d’une bête rave non humaine.
J’en rave de le savoir
Il est navrant que le sang doive couler, pour qu’on remarque enfin que la betterave dipose d’une grande teneur en bétalaïnes.
Ca me donne envie de manger des crapaudines tiens!
Vous seriez chou en petit radis. 🙂
Encore une fois je RÉPÉTE (et non repète): ce n’est pas du sang de crapaud!
La fleur au fusil, la Mort attend
Dans son jus de betterave
Ô capitaine, il est encore temps !
Ne faites pas le zouave !
Dans vos rêves!
La Seine monte
et je mets les pieds dans le plat.
Sucre de canne et jus de betterave : « Faim » d’une recette avec, en plus, de l’eau de rose… Et dés qu’il s’agit de guerre, c’est toujours d’une violence à corps perdus.
Ah! Ah! Je vois que l’on a trouvé tout seul le chemin des catacombes gertrudiennes pour venir parler cuisine dans mon bac à cendres!
Sache qu’ici il est de mise de parler d’os de Rrose pour donner du corps au ragout.
Bien à toi et reviens souvent!
«La guerre n’est jamais fatale, mais elle est toujours perdue.»
[ Gertrude Stein ] – Les guerres que j’ai vues
Je ne connaissais pas;
Mais où nous mène le jus de betterave!
Je suis bien aise de savoir qu’elle n’est pas fatale, mais j’aimerais bien gagner tout de même!
Des petites pour la route:
http://juliettecharpentier.fr/gertrudes/article-histoire-vaine-normal-48528708.html
http://gertruderosecelavi.over-blog.com/article-histoire-vraie-autobiographie-48527925.html
Les corps à corps sont des guerres éperdues………….qu’importe le décor ,seuls les corps importent aux protagonistes !
Un lit d’os sculpté aux tentures du baldaquin brodées de croix et de lys ,des pétales de rose …
Ah, AhAh, Gertrude, ceci dit en passant, fugitivement, que j’aimerais couler – de longs jours – avec vous… et qu’ils sont bons les fonds marins – avec ou sans boîtes noires -… comme des fonds de veau (marin). Décidément, je lis trop Prévert ! Je vous embrasse, exilement, je vous embrasse. Jus de betterave et sucre de canne, colonisateur et colonial réconciliés, à jamais et à la mort… de l’autre – surtout du moins fort !
Le jus de betterave aurait-il quelques vertus aphrodisiaques?
La guerre du sucre n’aura pas lieu, mais je m’inquiète de l’effet de ma boite noire, mais vide, sur vos vapeurs des sens. Mais une chose est sure, c’est que sans partir dans tous les sens, ce sang sans sens a comme un goût de revenez-y au point de vous faire réapparaitre, cher Vincent, vous que je croyais perdu au fond de l’os séant.
J’en suis ravie au point d’en perdre la tête.
Au sec….! Je coule!
L’eau et ses revenants…
normal Capitaine ……..:)
Ce ‘ravie’, me ravit, oh la la ! … mais c’est Gina qui est ravi au lit, vieille histoire italienne pour laquelle, depuis l’adolescence, j’ai beaucoup de penchant (comme pour l’Italie, en général et en particulière), oh la la ! N’en déplaise à Manhattan Transfert… CQFDSKETC… Quant au sec, c’est votre affaire…
« L’Os et ses revenants » ça sonne bien (sonne l’heure) comme groupe de rock au Cabaret du Néant. Je nous vois bien , vous et moi, en duo, Armengol aux percussions avec des tibias et des péronés sur de vieilles calebasses, Plaiethore à la trompette des morts, Vincent L au violon, Émile au triangle, Ledif en train de souffler dans une flute en nonosse, et surtout le grand chef d’orchestre Revenant Zeherit!
Je ne creuserai pas plus loin vos références transal-pines ni ne tenterai pas de comprendre vos rébus transferés en sigles, ni vos transports fluviaux à moinsse qu’ils ne soyent zamoureux, par contre je constate votre forme éblouissante. 🙂
Décidément, vous me mettez toutement en transe !!! 😉 À l’Os… car…
L’orchestre serait follement drôle !…………..
Je nous imagine….
… en transe… napolitaine (c’est Gina qui me le souffle !), bien sûr !
il y a aussi les tranches napolitaines 🙂
Ma très chère Hécate, je vous néglige mais je pense à vous… Excusez un pauvre homme perdu… et éperdu (et cela va perdurer !). Vous, Gertrude, taisez vous oneilles et rongez votre os en silence, s’il vous plaît… L’une après l’autre !
À l’Os…. car Chair… ce serait….
Mortel!
Si c’est Lollobrigida, bien sûr, elle a du souffle!
Ah! Les sucreries, on y revient toujours!
Quoi, moi, me taire????
Un crâne à qui on a donné la parole?
D’abord je n’ai plus d’oreilles ni de bouches, seulement des orifices béants.
En plus j’ai déjà copieusement rongé tous mes os y compris l’enclume, le marteau et l’étrier.
Et puis, et puis, je suis un Os jaloux et vous êtes un homme perdu (qui ne perdurera pas autant que môa) à oser, dans mon espace, faire des déclarations enflammées à une magicienne dont les pouvoirs sur les éperdus ne sont plus à prouver.
Je n’approuve pas… Na!
Bon, soit, prenons rendez-vous ! J’ai une petite ‘garçonnière’ sur les Champs et, lors d’un prochain séjour dans le Gai Paris, nous pourrons en débattre et en découdre jusqu’à l’os, crânement, si vous le voulez bien… Tout le plaisir sera pour moi… et pour vous donc, par voie de conséquence… Ceci dit sans présomption ! Certes, rien à voir avec CQFDSKETC…
Fôte-il que j’amène mon petit tablier?
Bien sûr, cela fait partie du scénario, vous pourrez l’enlever le moment venu, mais, please, rien dessous… Prélude à l’après-midi d’un fauve…
Euh…. Là je crois que vous avez un peu confondu les initiales; moi c’est G comme Gertrude pas comme Gina.
C’est qu’avec ou sans tablier, il n’y a toujours rien en dessous. Rien, vous dis-je, le Néant!
Ah ces zommes, toujours c’est Q et Fesse…. Des est-ce cas?
Bon, disons, pour l’après-midi, rue de Buci, c’est plus ‘classe’… et puis pour ce solfège-là…
C’est vrai que les Champs maintenant…
Saint Germain, c’est mieux habité.
Ceci, dit un petit ‘home’ saint-sulpicien, pas loin de chez Catherine D., ça vous dirait. À la manière d’O. Histoire vécue… Et pour rester dans la continuité bussyienne, manière K. Histoire d’A… comme Art… Et pour, finalement, respecter vos vanités…
Je connais Catherine M , sa vie S et son traité d’A qui n’a rien à voir avec l’Angelus de Millet.
Mais cher Vincent vous sexagérez un peu d’y mêler Saint Sulpice et de prendre les histoires d’os pour des histoires d’O sans eau ni s, et de penser boire ainsi mes vanités cul sec.
Je suis sérieux, allez voir chez Flammarion… (vieille maison protestante au demeurant !)… Je parle de Catherine D., vieille dame du cinéma…
L’autre Catherine M. (j’écrivais Miller !!!) n’est pas du mouron pour mon z’oiseau…
Moi aussi je suis sérieuse; allez donc voir chez le même!
J’avoue que je n’en ai lu que le traité d’art contemporain; le reste, je l’imagine; c’est toujours mieux d’imaginer.
ça me plait cette dualité chez cette femme si intelligente. Enfin peut-être que ce n’est pas une dualité.
Ceci dit (Brahim !) un fort bon vieux wiskhey dans le creux d’une de vos vanités, je ne dis pas non – j’aime les vieux cognacs mais ne les supporte pas… Apportez a genuine and very old single malt, j’aviserai pour le reste… À cul sec… mais non seulement…
Vous postulez pour le Jeu de la Vérité de Gertrude?
Je ne dis jamais la vérité, mes mensonges y pourvoient ! Mais ma proposition est honnête… comme tout ce qui est humainement honnête est honnête… Pour moi, JEU est un autre !
Oulala! L’honnêteté du Menteur! Exactement le credo de Gertrude dans ses quatre vérités. C’est le jeu du je et de G.
Ceci dit (Brahim, bis repetita), placez vos actions dans le sexe de la femme – vous être bien placée ! Une valeur qui ne cesse de monter…, bientôt cotée en bourse (jeu de mot machiste !)… Un conseil d’ami (qui vous veut son bien)…
Excuse ! ‘Vous êtes…’ (ce n’est pas du russe !)…
Je ne tirerai aucune con-clusion à vos astuces Et Femme-I; j’avoue qu’elle est blonde celle-là.
Non, je n’ai pas encore pondu la Gertrude matriochka CQFDSK.
Plus tu la désOsses, plus tu en trouves une nouvelle… Bonne idée !
Mortel l’effeuillage!
N’est-ce pas la réalité ? Le désir s’y épuise…
Relire Bataille (quel nom ajusté !)
C’est Charles Cros qui proposait, typographiquement, de créer un point d’ironie ! Quant aux angelos joufflus, voire bouffis, soufflant dans la flûte, image trop con-notée (comme dirait Gertrude)…
… et quant au petit dieu moqueur, P.P. Pasolini a fini par épuiser l’image dans ses ‘Contes de Canterbury’… mais la remarque n’en demeure pas moins fine et juste. Gertrude, au secours !
C’est vrai que plus on est dur de la feuille, moins on effeuille.
Un vain combat!
Sacrée petite sorcinette masquée qui ne manque rien du chaud show! 🙂
Moi je vote pour le point d’ironIe et j’ai toujours préféré les flèches aux flûtes, comme dirait Saint Sébastien.
Je ne peux rien pour vous, cher Vincent, vous avez définitivement perdu Bataille dans les thés au Harem, Pasoliniens de surcroit.
Ii est des flûtes qui valent bien maintes flèches, et récicorpsment… N’est-il pas ?!
Li est italien et chinois, Il est mon île à moi…
Flûte alors!
C’est du pipo….
Là je crois que j’ai raté un épisode; j’aurais du être plus attentive au cycle Bruce Li sur Arte.
… et comment en jouez-vous de ce pipeau-là ?
Et voilà que l’on nous refait un petit syndôme DS-cas…
Je m’en vais diner avec mon bien aimé et hop! La rechute!
Attention de ne pas glisser dans l’escalier (conjugual), chez Chabrol, c’est rédhibitoire (écrivez-le comme vous voulez) !
Redi-bitoire et diabolique!
J’ai juste l’esprit en escalier et pas conjugué du tout.
Oui, mais de la rampe qu’en faites-vous, sauf à (délicieusement) glisser dessus ? (C’est mon côté Robbe-Grillet !)
Je sais, glisser dessous serait plus acrobatique… mais gare au coup de barre !
… Un prévenu en vaut l’autre, comme on dit au Barreau de Paris (Seine).
J’ai un vague souvenir de Robbe-Grillet comme d’une torture rampante (et non d’un lièvre glissant), lecture imposée à mes dix sept ans.
Je crois y avoir pris un certain plaisir.
Je constate que vous avez donc essayé.
Un coup de barre et ça repart à veau l’os dans la mise en Seine.
Vous voici donc métresse en Seine ! Celle qui ne sort de son lit qu’à cru…
Vous n’allez pas nous faire le zouave, tout de m’aime.
PITIÉ MAGICIENNE!!!!
Ne me laissez pas toute seule avec Ce K Vincent!
🙂
Moi nous plus ! J’en ai l’Alma toute chavirée et qui mergitur… Mais K vous-même Déesse !
RRRRâââââââhhhhh!!!!!
Je savais bien que j’étais le crâne d’une princesse anglosaxonne défunte et médiatique!
Mourir là, dans ses conditions, quelle destin roturier ! La reine Victoria, elle, était moche, mais au moins elle avait du panache… Dommage qu’elle ne se soit pas arrangé, sur ce plan-là, avec Félix Faure – qui avait des goûts plutôt simoniens (pas de Saint, plutôt de Michel), c’eût été une Entente plus que Cordiale. B…, My God! Vous venez, on essaie ?!
Essayer quoi? Le pont de l’Alma?
Alors c’est moi qui conduit.
Excusez les ‘fautes’ de français à répétition… Décidément, il faut que je sorte de mon exil et renoue avec la FranceTerre… et pratique la langue avec plus de dextérité… À Paris, ça peut servir !
Non, pas la Lady de l’Alma, la méthode Félix Faure !
… Et puis finir comme ça, en beauté, associant, dans un même dernier élan, petite et grande mort, reconnaissez que c’est le pied… Bien sûr, la belle, a dû, elle, pour la vérité officielle, se dérober de l’Élysée par une porte du même nom…
À mon humble avis, vous êtes resté un peu trop longtemps sur une île déserte au large des US….
Je suis un peu déçue…
Je vous imaginais mieux que ça:
Euh…
Vous savez l’autre CQFD… n’a pas eu le temps de devenir président, lui.. Il a fait le truc à l’envers, si je puis m’exprimer ainsi…
Mais il est toujours possible d’emprunter une voie rapide sur berge.
» ça va chier » aurait été plus marrant à illustrer
Du sang de pavot ?
Un duo éclos sous le signe des roses et des flêches d’un petit dieu moqueur ,ça va saigner 🙂
Je vous laisse en tête à tête…Eclipsons nous….