1984: Trilogie.


Sans précaution d’usage.

Un thème.
Trois points de vue.

*


                 

                            Gertrude                                                                                    Judith                                                                                                                  

*1984, Photographie noir et blanc
dans l’Objectif de Jean-Louis,
génial Photographe.

ce ne sont pas des fils de titans qui l’ont frappés,
ni de fiers géants qui l’ont attaqué,
mais c’est Judith, fille de Merari,
qui l’a désarmé par la beauté de son visage.
Elle avait déposé son vêtement de deuil
pour le réconfort des affligés d’Israël,
elle avait oint son visage de parfums,
elle avait emprisonné sa chevelure sous un turban,
elle avait mis une robe de lin pour le séduire.

Sa sandale ravit son regard,
sa beauté captiva son âme…
et le cimeterre lui trancha le cou!

                                                                    JUDITH,16


Vivre c’est s’obstiner à achever un souvenir.
René Char. La parole en archipel, 1962.

   

Trilogie : Concept Kargulien
Trilogie encore

EXPECTATIVE sur gertruderosecelavi.over-blog.com


18 réflexions sur « 1984: Trilogie. »

  1. Je n’ai touché à rien; probablement les voies impénétrables d’overblog…..
    Merci de ta visite Rébus, maintenant tu connais le chemin!
    Il y a également un deuxième blog plus…rose.

  2. « Tous, pleins de faim ou plein de morgue,
    Lorsqu’ils périssent inconnus,
    Sont mis à l’étal de la Morgue,
    Côte à côte, sanglants et nus !

    Et la foule âpre et curieuse
    Vient lorgner ces spectres hideux,
    Causant de tout, excepté d’eux.

    Mais ils sont la chère pâture
    De mes regards hallucinés.
    -Et je plains votre pourriture,
     O cadavres infortunés ! »
                           
    (extrait de: »La Morgue »de Maurice Rollinat)

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