Je comprends pourquoi il pleuvait à seaux ce matin sur Paname, c’est celui que vous avez ramené de la plage, il était fait pour une autre bassin que Parisien, mais où avez vous la tête chère Gertrude…
Mais il suffit de demander, ma très chère petite pirate; justement j’ai encore à votre disposition celui qui est en bas à droite de la photo. Donnez moi votre adresse en undeurgraounde ici:
…Bonsoir Gertrude…je reviens d’un paysage de mer, et pas la moindre trace d’arrête de sirène, l’ossuaire de l’Océan est resté silencieux à l’invocation des nages estivales… Vous avez là une jolie plume d’écriture océane qui pourrait me faire penser à une bien étrange carte aux trésors…il suffit de suivre les coquillages à la trace !!! Peut-être gît-il sous celui qui n’est pas retourné, à moins qu’un crâne rieur ne s’y cache et n’accueille un pauvre navigateur échoué avide de découvertes d’or et de diamants…
Ravie que mes modestes cartes postales vous fassent naviguer par ici et merci de vos compliments sur le sable de ma toile; votre plumage n’est pas mal non plus, cher Vincent.
Oui, Gertrude est toujours planqué là à guetter le voyageur qui n’échoue jamais par hasard sur son île.
Quand le facteur chance passe l’écluse, les vanités du factor* Gertrudien, redondantes comme les pièces d’un puzzle amer, échappent à l’oblitération assassine du transit postal. Vain indice : la visite du cabinet des curiosités, succursale de la Galerie 54, se fait sur rendez-vous.
Au bois dormant, il y aurait peut-être bien quelques licornes, quelques nains (allant par sept), quelques sorcières çà et là mais de dodos point encore…
Bon, si je comprends bien : si c’est ‘vain’, c’est ‘sans’… Bof !
En plein dans le « mille »!
Délicieusement fardés ces fragiles coquillages soumis au transport fougueux d’une vague vont parfois hélas se faire se briser !….
C’est une vague à l’âme.
L’un d’eux fût-il épargné au moins ?
( heureusement cette photo est là ….)
Un seul et il n’est pas sur la photo; je ne l’ai d’ailleurs pas photographié… Le ou la propriétaire saura duquel je parle.
Je comprends pourquoi il pleuvait à seaux ce matin sur Paname, c’est celui que vous avez ramené de la plage, il était fait pour une autre bassin que Parisien, mais où avez vous la tête chère Gertrude…
J’attends que l’Os monte pour enfin être à flot.
Il ne manque qu’Hedgaralaan pour que la flot-île de la côte soit au complet.
Croyez vous que j’envoie des coquillages peints à travers l’espace; les méfaits de la Postasse terrestre suffisent…
Et puis ce vieux crâne bourlingueur….
Mieux vaut le VAIN d’ici que l’O(s)-delà !
Et Dac !
Je suis là ! Je suis là !
Et j’annonce fièrement que j’ai appris à adorer, ADORER, faire des… Non… Un, UN, puzzle.
Ce puzzle est à moi d’abord ! L’autre là…
Ce sont mes miettes de plage de bonheur vacant, tendrement rassemblées dans un joli contenant argenté 🙂
Mais quand le vain est tiré, il faut le boire même quand il est à mer.
Attention de ne pas vous éparpiller de trop….
À vous entendre tout le monde va croire que je l’ai fait exprès… 🙂
A chacun ses miettes de petit bonheur…. 🙂
Et bin! L’eusses-tu cru?
C’est tellement beau. Elle est si photogénique, même sur la coquille d’un tout petit crustacé. J’aimerais un coquillage Gertrudien !
Mais il suffit de demander, ma très chère petite pirate; justement j’ai encore à votre disposition celui qui est en bas à droite de la photo. Donnez moi votre adresse en undeurgraounde ici:
gertruderose@lavache.com
et il est à vous!
…Bonsoir Gertrude…je reviens d’un paysage de mer, et pas la moindre trace d’arrête de sirène, l’ossuaire de l’Océan est resté silencieux à l’invocation des nages estivales… Vous avez là une jolie plume d’écriture océane qui pourrait me faire penser à une bien étrange carte aux trésors…il suffit de suivre les coquillages à la trace !!! Peut-être gît-il sous celui qui n’est pas retourné, à moins qu’un crâne rieur ne s’y cache et n’accueille un pauvre navigateur échoué avide de découvertes d’or et de diamants…
Ravie que mes modestes cartes postales vous fassent naviguer par ici et merci de vos compliments sur le sable de ma toile; votre plumage n’est pas mal non plus, cher Vincent.
Oui, Gertrude est toujours planqué là à guetter le voyageur qui n’échoue jamais par hasard sur son île.
Quand le facteur chance passe l’écluse, les vanités du factor* Gertrudien, redondantes comme les pièces d’un puzzle amer, échappent à l’oblitération assassine du transit postal. Vain indice : la visite du cabinet des curiosités, succursale de la Galerie 54, se fait sur rendez-vous.
* mot latin signifiant créateur, fabricant
Oui! Je veux prendre rendez-vous!
A force de voir des dodos partout je vous croyais au bois dormant…
Au bois dormant, il y aurait peut-être bien quelques licornes, quelques nains (allant par sept), quelques sorcières çà et là mais de dodos point encore…
Tiens Mandrin, vous ici! Échoué sur mon os!
Méfiez vous des méduses crâniques! 🙂
on dirait des meduses qui vont braquer une banque !
mandrin lacustre.