23 réflexions sur « Vendredi treize, quatorze heures cinquante minutes »

  1. Intéressant en nez fée…

    Mais vous je ne sais toujours pas ce que vous attendez…. Mais dit en Allemand cela me met encore plus la pression.

    Ceci dit, heureusement que vous avez traduit… 🙂 car je n’aurais entravé que pouic.

  2. Mais quelle question !

    J’attends que Gertrude sorte de la sombritude de son carton estivalier !

    J’attends aussi de casser la gueule à un bellâtre sous cloche qui fait – parait-il – la mine d’une célébrité publicitaire ! Ah !

  3. Que diriez-vous, mon Transi d’une petite cloche à deux places pour faire un tour en amoureux dans l’espace? Et j’espère que, vous au moins, vous n’avez pas besoin de coller votre dentier…

  4. …Bonsoir chère Gertrude…Quel joli capharnaüm de « breloques » sacrées…Je n’ai pas parlé des « breloques sacrées du cafard naüm!! » Merci de continuer à passer de temps en temps sur mon blog…celui-ci a tendance à se désertifier ces temps derniers…D’ailleurs, mea culpa, je ne vous ai pas encore mise sur mes liens…Cela devrait se faire dans les particules qui constitueront le lendemain de ce jour! Ne me dites pas que c’est un état n’oeuf… « bio »…D’ailleurs, si j’en juge par l’état de cette étagère…(d’ailleurs dans quel état j’erre?…pfiouuu, plutôt évincé ce jeu de mots!)…elle est tout sauf…Bio…et c’est tant mieux! Bon début de nuit…

  5. Rien n’est bio ici, et tout est faux bois. Seul l’os est vrai, un os beau mais toxique au bio douteux, caustique comme un verre de soude qui a avalé un fer à souder.

    Gardez moi quelques miettes de vos particules temporelles, j’en ferai briller encore et encore mes mirettes à contempler vos magnifiques traits qui, eux non plus, n’ont rien de bio.

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